L’étudiant burundais mortellement battu en Inde il y’a plus de deux ans est décédé ce mardi 1er juillet, deux semaines après son retour au Burundi.
Toujours inconscient, Yannick Nihangaza est arrivé à Bujumbura dans un avion-ambulance après plus de deux ans d’hospitalisation dans un établissement privé de Patiala, en Inde, dans l’État du Punjab.
Né en 1988, Yannick, qui passait sa licence en informatique au Lovely Professional University avait été attaqué le 21 avril 2012 par neuf jeunes indiens, dont sept ont été condamnés à 10 ans de prison, alors que deux sont en fuite en Australie.
> Lire aussi : Un étudiant Burundais entre la vie et la mort en Inde
I feels extremely sad to know that a father’s two years hard work and patience was unsuccessful . His murderers, kids of big shots in punjab, who feel law is in their hands, should be hanged.. The one accused who’d fled to Australia should also be caught. And the universities, who attract students from different countries by offering scholarships, too should work for establishing harmonial relations between the students.. A lost life (yannick) as well as wasted life(in this case accused languishing in jails) is always tragic…..RIP Yannick…Being an Indian, I am ashamed this happened in my country. Sorry and very sad you had to go this way, Yannick. May there be peace and joy where you are now.
Yannick Hope you get justice!
Mes condoléances à la famille éprouvée, je salue l’amour ,le coeur et le courage du Pappa qui a été à son chevet jusque qu’il rende son âme.
Vous avez fait votre devoir de pappa, et Jannick doit être fier de son pappa dans sa demeure éternelle.
Bon courage
Repose en paix cher fils, recois nos sympathies chère famille.
ces criminels meritaient une condamnation à vie, mais notre fils n’était pas un indenien.
c’était le destin.
Courage
Le Seigneur se rit du mechant, car il voit que son jour arrive. Psaumes 37: 13
Si toutes les races du monde nous haissent a cause de notre peau,laissez -les mais demeurez dans le Seigneur car Il nous a prepare une place ou la haine raciale,la peine,la mort,la maladie et j’en passe n’existent pas. La bonne nouvelle est que Dieu nous aiment toujours et nous sommes aussi crees a son image meme si les autres races nous appellent des singes. Notre heureux temps viendra ou nous allons oublier toutes ces peines causees par les mechants.
We love you Yannik. you are the victim of racial hatred. May Almighty God receives your soul.
Quelle forme de contestation/réaction le Gouvernement Burundais a-t-il faite à ce sujet?
Les excuses diplomatiques et les condamnations de sept jeunes indiens à 10 ans de prison. Peut-on savoir combien pour indemnités à la famille ou dommages intérêts je-ne-sais-comment on appelle cela. A ceux qui sont encore ou qui iront en Inde, soyez prudents.
Je propose une marche manifestation et une demonstration pacifique devant les locaux de l’ambassade de l’Inde a Bujumbura (s’il y en a une) pour exiger les explications claires sur la mort de notre compatriote feu Yannick; et que justice soit rendue. The Indians should not be allowed to keep behaving that way, who they think they are? Finally Idi Amin was right to kick them out of Uganda. I think we have to do something to prove them that they are not what they think to be.
RIP Yannick!!
Rondera amazina y’aboba barahungiye muri Australia hanyuma dusabe abagenzi baba yo b’Abarundi bafashe police yaho kubahiga.
Toutes mes condoléances à la famille!
Quand on nous dit d’être des vrais patriotes, dukunde igihugu nivyo et je suis parfaitement du même avis car j’aime de tout cœur mon pays mais que nos dirigeants soient aussi de vrais patriotes en protégeant et en faisant respecter les ressortissants malmenés injustement pour une bonne image du pays à l’extérieur.
Par exemple, notre pays pouvait exiger des sanctions sévères, des dédommagements à la famille étant donné que notre pays a de quoi se faire entendre étant donnée que dufise une grande communauté indienne au Burundi.
J’ose espérer yuko Leta yatereye au moins la famille murayo magorwa baciyemwo sinon yoba ari ibara.
Kandi hariho un autre officiel qui a récemment fait un accident grave étant en mission de travail en Egypte, il est entrain de se faire chasser des hôpitaux égyptiens comme un mal propre e surtout sans être soigné faute d’appui et d’assistance de l’Etat burundais.
Je suis désolé mais pour les deux s’il n y’a pas d’autres actions zoba zarabaye en coulisses, mwibanga, ivyo gukundishishwa igihugu tuzoba tubikeneye twese na cane cane nos dirigeants kuko nibo bategerezwa kwerekana inzira.
Et en conclusion avant d’enlever la paille de l’œil de ton voisin, retire la poutre qui est dans le tien !
ndasavye nshimitse abarundi baba muri australie ko bokwitwara muri sentare zoho, jewe narasomye article yo mu buhindi ivuga ko hariho umwe yoba ari muri autralie, sizni amategeko yo muri australie muga nibaza ko boshobora kudufasha bagafata abo bicanyi, maze intahe ikabakubita mu gahanga. ahubwo nari nipfuza ko abarundi bosinya petition bakayishikiriza abategetsi bo muri australie, nayo abahindi bazwi nabi mu mahanga ko bafise imigenzo nimitwaro mibi, , mugire AMAHORO
Ico nosaba abavyeyi bo mu Burundi barungika abana mu Buhindi nuko bobanza kuvyiyumvira neza kuko abahindi ni abantu bameze nabi cane, bafatana nabi hagati yabo ubwa mbere, bashikiriye abirabure hoho ni ibindi bindi. Ego nivyo bigisha mu congereza, ariko mwotohoza mukamenya ville murungitsemwo abana, makabaza ville sécurité yoba imeze neza, ambassade y’Uburundi mu buhindi yobifashamwo. Ku bwanje nobahanura ko mushaka kurungika abana hanze ahantu biga bariha make mwohitamwo ubushinwa. Ntawe nokwipfuriza kuja mu Buhindi. Muti kuki? Mu bushinwa nivyo naho nyene ni aba racistes ariko kenshi biherera mu majambo, ntawe bakubita atari cas extrême ya règlement de compte. Barakuvuga nabi hanyuma bakarengana nawe ukarengana. Securite ihari kuba étrangers irakwiye!
Des universités indiennes comme beaucoup d’autres institutions universitaires internationales lancent des publicités appelant tous les lauréats du monde à venir y découvrir une formation qu’ils croient être la meilleure qu’ailleurs. Je ne peux pas me permettre de dire les objectifs précis de cet engouement. Sans doute je peux me permettre d’affirmer qu’un objectif commercial ne manquera pas dans la liste. L’expansion et l’ouverture de leur cultures au reste du monde afin de vendre facilement, la démonstration de force, la construction d’un network élargi,…peuvent surement s’ajoutent à la liste. Absurde, comme pour toujours, est la façon dont les peuples de différents pays où sont implantées ces institutions universitaires et les officiels ne comprennent pas de la même façon les hauts et les bas, le bien et le mal de cette migration légale. Ceci entraine une croissance de haine au sein du citoyen local qui souvent ne comprend pas dans quelle mesure il peut jouir des mêmes droits nationaux qu’un étranger. C’est ainsi donc que dans différents pays, des étrangers sont maltraités par des gens mal intentionnés ou mal informés. Alors que les officiels, eux savent pourquoi ils ouvrent la porte aux étrangers. Le cas de cet étudiant burundais YANNICK NIHANGAZA qui vient de perdre la vie suite à une agression raciste est un cas qui peut illustrer ce que je viens de mentionner ci-haut.
Ce qui est amère est que jamais les Africains ne maltraitent des étrangers qui habitent chez nous (je n’affirme pas qu’il y a pas d’Africains racistes). Souvent agents commerciaux qui ont profité du retard économique et commercial que l’Afrique a connu, des étrangers s’installent dans divers pays africains et y font aisément du commerce à succès. Dans certaines villes africaines, on peut même y trouver carrément des quartiers surnommés tel ou tel autre nom de pays (quartier hindi, quartier arabe, quartier européen,…). A Bujumbura il y a ce genre de choses pour ne citer que là où je connais. Ces gens, réputés travailleurs et forts en affaires jouissent d’un grand respect de la part de la population locale.
Je voulais rappellerais la jeunesse burundaise et africaine, ce qui est arrivé à ce burundais est bien sur un cas isolé mais je suis sûr que si l’on se mettait à recenser des cas semblables, sans doute on aura des dizaines. C’est Yannick mais imaginons que ça pourrait être nous ou notre frère.
J’ai longtemps gardé espoir que Yannick s’en sortira. Mais le destin a surement croisé son chemin. Il nous a quitté, qu’il repose en paix.
Il faut arrêter cela, c’est maintenant ou jamais. Nous devons nous lever et dire NON AU RACISME DE TOUT GENRE.
© Jackson – BukivLab.
Pour moi YANNICK était mort depuis son agression mais seulement maintenu en vie végétative par les moyens modernes de réanimation…! Il n’était donc qu’un légume comme on dit dans le jargon médical….! C’est vraiment triste de perdre la vie dans des conditions dramatiques à 26 ans…! Que Dieu ait son âme et que la terre de nos ancêtres lui soit légère! Quant aux Indiens, ils sont connus dans le monde entier pour les viols en série des femmes et jeunes filles ainsi que pour leur intolérance aux autres races en particulier les Noirs…..! La mort de YANNICK vient une fois de plus ternir leur image diabolique et détestable….! Toutes mes condoléances les plus attristées à Nestor NTIBATEGANYA (Alias KAZADI), le père de YANNICK ainsi qu’à sa mère…..!
*alors que deux sont en fuite en Australie
Ninde yodufasha kwemeze iyi nkuru, twe tuba muri Australia tukabijamwo, author wiyi article navyemeze neza kuko nimba bahungiye muri Australia bofwatwa bidatevye. R.I.P cher fils.
Il n’y a que des Africains qui peuvent se faire tuer a l’etranger sans qu’il n’y ait ni enquete ni condamnation. Le mutisme des autorites africaines face a ce cancer est inacceptable, quand on sait la vehemence avec laquelle ils condamnent le racisme de la CPI s’agissant de leurs collègues mis en mal.
Cela dit, les populations africaines doivent prendre la situation en main et user des moyens a leur disposition pour faire cesser ces milliers de crimes et hummiliations dont sont victimes les Noirs de l’etranger.
En represailles au racismes contre des etudiants congolais en Inde, les Kinois s’en etaient pris au commercants indiens de Kinshasa, amenant ainsi les autorites congolaise et l’ambassade indienne a exiger/promettre justice pour ces jeune congolais.
Seuls les malades mentaux croient qu’il s’agit de rappeler la charte des droits de l’homme a nos bourreaux pour que cesse le traitement inhumain dont est victime l’homme noir.
Le jour ou nous nous donnerons les moyens de repondre par la reciprocite a ces imbeciles, ce sera probablement le debut de la fin. Devant le risque de voir sa diaspora fuir l’Afrique, avec les enormes consequences economiques que ca comporte, un pays comme l’Inde se verrait bien oblige de combattre le racisme dont sont victimes les Noirs chez eux.
Le respect ca s’impose, il est temps que nous disions stop, car ca suffit.
Oeil pour oeil, dent pour dent.
N’exagérez pas, il y a eu condamnation, lisez correctement l’article. Quant aux « condamnations diplomatiques » , je me demande encore si Kavakure (Relations Extérieures et Coop. Intle) ou Butore (Enseignement Supérieur et Universitaire) ne l’a fait et si pas encore qu’est-ce qu’il attendrait depuis deux ans plus?
10 ans, c’était quand il était encore vivant, maintenant c’est un meurtre qu’on doit les charger
C’est sont ces universités indiennes qui font de la propagande incessante auprès des jeunes lauréats des humanités au Burundi alors que les Indiens n’ont aucune civilité en termes de respect des droits de l’homme. Ces sont des xénophobes même ici au Burundi. Aucun respect de la personne humaine. JEUNES BURUNDAIS, A QUI VEUT ENTENDRE!!!
le noir ennemi de tous, partout ont le deteste
pourquoi toutes les races nous haïssent?
C’est faux Odilon. Pas toutes, pas tous, cela s’appelle globalisation. Est-ce que chez vous il n’ya aucun nègre qui hait d’autres nègres comme lui? La haine n’est pas dûe à la race mais à d’autres raisons! Comme tu disais pourqoui les Hutus haïssent les Tutsis et vice-versa? Serait-ce vrai?
Tu as raison, mais là c’est du tribalisme. Par contre pour avoir voyagé un peu partout en Europe et au moyen orient, je t’assures que le noir est un sous homme, que tu soit hutu ou tutsi ces gens n’en ont rien a foutre, du moment où ta peau est noir tu es un esclave et tu es mis dans le même lot que les autres noirs. Il est certe vrai qu’en Afrique, tous les pays connaissent les problèmes de tribalisme, mais à l’étranger le plus souvent les noirs s’entraident car ils sont rejetés presque par la population locale et aujourd’hui avec la crise économique qui secoue l’Europe , le noir est le parfait bouc émissaire aux problèmes des européens pourtant ont en rien à y voir. Un autre exemple, durant mes études de 1 année j’avais fait un stage à la Banque africaine de développement (BAD) à Tunis en Tunisie et dans ce pays ont à remarqué qu’il y’avait une sorte d’apartheid envers les noirs tunisiens qui sont considérer comme des esclaves. Tu comprend cette BAD a fait 11 ans dans ce pays mais elle n’a jamais plaider pour l’émancipation de ce peuple martyrisé, c’est pour te dire que nous les noirs ont ne s’aiment pas et c’est pareil à L’union africaine, chaque fois qu’un pays a un problème c’est les européens qui s’en occupent car nous sommes incompétent et cela n’augure pas une bonne image, cela renforce le mépris des autres races envers nous.
partout où le noir foule le pieds, il est detesté
C’est à cause de lui que le noir est maltraité partout. ce sont courbettes(lèche-pieds) qui font que nous soyons traités comme des esclaves parce que nous nous comportons comme des esclaves réellement. Regardez pour le cas d’espèce, comment le gouvernement burundais a saisi cette occasion pour faire comprendre à l’Inde qu’elle doit respecter les Burundais. Rien n’a été fait sauf demander une assistance économique pour feu Yannick. ça ne suffit. Nous avons un gouvernement qui met en avant l’argent en tout et partout seulement au lieu de combiner avec le respect, la dignité et le droit de l’homme. regarder comment nous nous comportons devant les blancs quand ils sont même chez nous, nous les prenons pour des dieux. C’est aux jeunes de réagir pour le cas de Yannick comme les Congolais ont fait pour les leurs. Il ne faut pas compter sur ce gouvernement.
R.I.P. pour Yannick.Toutes mes condoleances a la famille si durement eprouvee par le Destin de leur fils.J’imagine que Nestor a garde le courage qu’il avait jadis au college du Saint Esprit. R.I.P