Les Etats-Unis ont demandé ce dimanche 13 décembre tous les Américains à ’’quitter le plus vite possible le Burundi’’, en proie à une nouvelle vague de violences. Ce message contenu dans un communiqué du Département d’Etat américain, fait suite à l’attaque simultanée de trois camps militaires, vendredi dernier, par des insurgés.
L’armée burundaise parle de 87 personnes tuées dans ces affrontements, dont 79 insurgés, 8 soldats et policiers. Le porte-parole de la FDN indique également qu’il y a eu 21 blessés, 45 insurgés ont été faits prisonniers, 97 armes ont été saisies ainsi que des munitions.
Mais au lendemain de ces attaques, des dizaines de cadavres de jeunes gens, tués par balle, dont la plupart avaient les bras ligotés derrière le dos, ont été découverts dans les rues notamment à Nyakabiga, Jabe, Musaga, Kinanira, Mutakura et Buterere.
C’est au moment où Bujumbura voit derrière ces attaques contre les camps militaires par des hommes armés non identifiés, ‘’’une main étrangère’’.
Il faut vérifier si ces cadavres de Nyakabiga sont des résidents de Nyakabiga ou des cobayes tuées par les insurgés après, pour faire une mise en scène credible au niveau international. L’art d’irementanya est devenu une science commune.
Allez dans votre pays, de toute les façons le Burundi est plus sure sans aucun occidental