Le Mouvement pour la Solidarité et la Démocratie estime que les discours globalisant sur la violence des jeunes doivent cesser. Pour ce parti, les véritables auteurs matériels et intellectuels doivent être identifiés.
9 octobre 2013. Me François Nyamoya, secrétaire général du Mouvement pour la Solidarité et la Démocratie (MSD), adresse une correspondance au représentant de Ban Ki Moon et à la Commission en charge des droits de l’homme. Le message est clair : malgré les discours officiels, le parti craint l’accroissement de la violence, les agissements incriminés jusque là continuant à l’égard de ses militants.
Cette crainte, explique le secrétaire général du MSD, est fondée sur des indices concordants et circonstanciés : « Des autorités réelles dans la nomenclature de l’Etat mais aux agissements occultes, téléguident la violence des Imbonerakure. » De surcroît, le MSD révèle que les mêmes autorités manipulent à leur guise les enquêtes policières et judiciaires pour disculper les véritables auteurs des faits criminels : « Ou elles inculpent injustement des membres de l’opposition, et en particulier les nôtres. »
D’après Me Nyamoya, si aujourd’hui le parti saisit le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies et la CNIDH, c’est pour qu’ils usent les prérogatives légales dont ils disposent pour poursuivre les cas dénoncés. Le MSD veut que ces institutions diligentent leurs propres enquêtes et y faire suite dans le cadre institutionnel qui est le leur.
Le parti rassure que si ces enquêtes aboutissaient à l’incrimination des membres du MSD des actes délibérés de violence, il en tirera les conséquences du droit qui s’imposent. Malgré les limites légales imposées à ces institutions dans le cadre de leur mission, Me Nyamoya ne doute que l’usage de leur autorité morale peut inverser la courbe de la violence : « Dès lors que fort de l’aura moral qui les entoure, ils rappellent aux autorités à tous les échelons, le contenu de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la responsabilité de protéger et les obligations qui en découlent. »
Et Me Nyamoya de réaffirmer le manque de confiance de son parti à l’égard de la police et de la justice : « Nous restons néanmoins confiants que le jour viendra où les fils et filles du Burundi verront une justice opérationnelle. »
Akarimi,akarimi! ni kabi karadomeka ibirere bigasha! Ijisho ku rindi my mens! Abo nibo ba leader s twimirije kuronka ? Ewe Burundi warigorewe!
Voici un autre politicien a la solde des forces exterieurs , Que peut faire ces organes sans votre volonte de faire asseoir la paix et la securite dans ce pays????
Que le BINUB organise une Journée de réflexion à tous ces jeunes bagarreurs de la rue qui se prétendent défenseurs de la démocratie au Burundi, hanyuma duheze turabe ico vyotanga, kurya babigize avec les leaders de l’ADC-Ikibiri/opposition en cavale et le Gouvernement DD. Sinon, ces groupes de jeunes affiliés aux partis politiques continueront à se diaboliser entre eux inutilement sous l’oeil protecteur évidemment de leurs dirigeants respectifs. Le fait qu’ils continuent à s’entredéchirer entre eux vyerekana yuko impanuro baronswa atari efficaces. Donc, ça prendrait une intervention spéciale d’une entité crédible et apolitique pour les ramener TOUS ENSEMBLE à la raison pour qu’ils arrêtent définitivement ces querelles qui nuisent à la Paix nationale. Autrement dit, il faut les asseoir ensemble kurya kwo mw’ishure, bakabahera impanuro hamwe en présence évidemment des présidents b’imigambwe begukira. La présence et même l’intervention des représentants de l’Unicef, Unesco hamwe n’abajejwe droits de l’homme, à cette rencontre luminaire serait très indispensable. Je suppose cependant que pour les jeunes batumva igifaransa on proposerait des interprètes pour eux… Nta kuri/vérité rero kwobandanya gukorera mu kinyegero kuko ibintu bibandanya kuba umucanwa au sein de ces jeunes devenus trop virulents. Imvugo yo mu ntamatama nayo nihave kuko niyo nakare yishe vyose mu Burundi.
Oeuil pour oeuil, dent pour dent selon le prédident du MSD. Il faut donc qu’il assume les retombées de ses déclarations déplacées. Ce qui est demage c’est que quand les politiciens juouent leurs cartes, les jeunes suivent malheurement sans savoir où ils vont. Il est important que les jeunes fassent conscience pour ne pas tomber dans les erreurs du passé qui ne leur a rapporté que du mal. Le sort de certains Sans échecs et consort s’ils les connaissent devrait leur servir de leçon. Que ce soit pour les Imbonerakure, ou les autres jeunes affiliés à d’autres partis politiques, il faut qu’ils sachent qu’ils ont besoin d’un Burundi de demain meilleurs plus que quiconque. CHERS JEUNES ci-haut mentionnés, je vous exhorte de revenir à la raison avant qu’il ne soit trop tard. Le Burundi a tant besoin de vous non pour sa destruction mais pour son développement durable.
Merci Me Nyamoya pour votre maturité et le sens patriotique que vous manifestez. C’est un grand exemple et une bonne préparation pour notre pays. Néanmoins, j’attendais des noms ou photos des membres de l’adc ikibiri assassinés depuis les élections de 2005. La lettre devrait être accompagnée des nos martyrs et ils sont nombreux. Ca vaut la peine.
nyamoya reka ubwoba bwamatora kuko ntuwutsizwe ubuzima burabandanya.nureke kwiboma kugitandara kinini kuko naco woshikako ndakurakiye.cndd -fdd ihagaze neza mugihugu nibindi muzobivuga kubera ubwoba.
Je trouve que la violence des jeunes ne profite à personne; donc je fais un clin d’oeil à Nyabenda, patron du parti régnant, afin qu’il calme ses jeunes pleins d’énergie, et essaie de canaliser de façon positive cette énergie (car apparemment ils en ont à revendre), les autres jeunes des autres partis ne manqueront pas de suivre l’exemple (restons optimistes)!
Bref, que la provocation cesse et qu’en 2015 le meilleur gagne! Vive la République! Vive le pays de Ntare Cambarantama!
HAHAHA barabonye ko bihenze NInde mutegetsi wumugabwe yavugiye kumaradio ngo ajeunne biwe batane mumitwe n imbonerakure!!! nukuraba neza ivyo muvuga bagabo!!!!