L’Alliance des Démocrates pour le Changement au Burundi déclare ce dimanche 7 juillet qu’elle va créer un cadre rassemblant toutes les personnes éprises du changement.
Les préparatifs n’en finissent pas, au sein de l’ADC, avec l’approche de 2015 : « Les problèmes auxquels fait face le peuple burundais sont suffisamment graves pour qu’ils ne concernent pas un seul parti politique ou une coalition des partis politiques », soulignait ce weekend Léonce Ngendakumana.
Et pour les résoudre, il faut un diagnostic clair et exhaustif de la situation : « L’ADC va élaborer une vision avec une plateforme conséquente contenant tous les grands défis de la nation burundaise en matière de démocratie, de sécurité et de bonne gouvernance, de réconciliation nationale, de justice pour tous, de l’éducation nationale, de la santé et du travail et le chômage. »
Objectif de ce travail, à terme : instaurer via les élections de 2015 un nouvel ordre politique, social et économique capable de répondre aux préoccupations de la population.
Se dirige-t-on vers une nouvelle formation politique ? En tout cas, « le rassemblement autour de cette démarche sera différent de l’ADC-Ikibiri », lance M. Ngendakumana, qui ne doute pas d’ailleurs du soutien de beaucoup des Burundais à l’initiative : « Ils sont déjà sensibilisés et veulent que le Burundi soit géré et dirigé dans le cadre de la démocratie et de la bonne gouvernance. Ils vont sans doute vont nous emboiter le pas. »
Revenant sur quelques problèmes comme l’impunité, les assassinats, la pauvreté, … qui hantent le pays, Léonce Ngendakumana estime que beaucoup de gens des partis politiques, des associations de la société civile, des confessions religieuses ont besoin que le Burundi retrouve son image de 2005 : « À cette époque, le Burundi était considéré comme un modèle de la démocratie dans la région des Grands-Lacs et un pays qui résout ses problèmes par la voie du dialogue. »
jw mfis ikibazo kurikazoza ka ADC, mb izontambw zizobana koko?wait an see
Courage ADC, courage Léonce et compagnon, nous sommes derrière vous. On ne peut accepter de retourner dans le monopartisme, on ne peut pas accepter que le pays continue à être dirigé par un groupe de généraux et quelques profiteurs du régime. Il faut que la jeunesse se lève comme un seul homme car ce groupe est entrain d’hypothéquer notre avenir. Il faut vaincre la peur pour forger un bon avenir. Les politiciens continue de chanter que tout va bien au moment où tous les indicateurs sont au rouge, les prix montent sans cesse, l’éducation ne marche pas, les fonctionnaires et surtout les pauvres enseignants sont obligés de se taire au lieu de réclamer leur droit, un grand fossé continue à se creuser entre les dignitaires et le reste, la jeunesse est divisée, et tant d’autres maux. C’est grave, il faut agir si non demain sera tard. Un groupe de gens veut monopoliser le pouvoir politique, économique et social. Si rien n’est fait dans l’immédiat, il sera difficile demain de l’arrêter. J’invite la jeunesse intellectuelle de réfléchir sur cette situation et prendre conscience de sa destinée.
yemwe gerageza Leonce ivyuvuga nivyo ariko none ko abarundi beshi bahendwa jewe ndakubwire peter azotsinda kubera ntakundi hanyuma tubandanye tuja inyuma. Raba urwanda 8% de developemment ndumiwe,
ntangoraner,ivyo vyose bizotorerwa umutina M.S.D.de la contraception de 19% à 28%.
Le pays a aussi besoin autant d’un engagement de ses gouvernants que de ses partenaires. A cet effet, les décideurs sont invités de dépasser le cap de déclarations d’intention et d’enclencher de vigoureuses actions visant à faire baisser la fécondité de 6 enfants à 3 enfants par femme en 2025.Une agriculture respectueuse de l’environnement doit s’imposer au Burundi pour atteindre la souveraineté alimentaire. Dans ce sens, une production vivrière compatible avec la gestion durable des ressources naturelles et des écosystèmes devient incontournable. Il est aussi indispensable de consacrer une attention tout à fait particulière à la limitation du gaspillage alimentaire lors de la récolte, de la conservation, de la transformation et lors de la commercialisation.
Aujourd’hui, la volonté de relever le défi de démographique et de la sécurité alimentaire est une évidence au Burundi si on analyse les discours politiques. Au-delà des déclarations, des actions de sensibilisation et de grande envergure sont à mettre en œuvre pour briser les pratiques socioculturelles qui constituent le grand noud du problème
Revenant sur quelques problèmes comme l’impunité, les assassinats, la pauvreté, … qui hantent le pays, Léonce Ngendakumana estime que beaucoup de gens des partis politiques, des associations de la société civile, des confessions religieuses ont besoin que le Burundi retrouve son image de 2005 : « À cette époque, le Burundi était considéré comme un modèle de la démocratie dans la région des Grands-Lacs et un pays qui résout ses problèmes par la voie du dialogue. »
AHO TRERO NTAKWIHENDA KURIMWO,M.S.DIYOPROGRAMME IRAYIFISE.Y COMPREIS NABANYWANYI BAYO,MUTIBAGUIYE JEWE NYENE.AHO VYABEREYE NI KERA DUKUREHO IZOMBWEBWE ZATUMARUYE IGIHUGU.
abo nagabo ba Leonce ubwo ndabona kweri ntako batagira mugukina Poritique .ariko jewe hari ikibazo nkunda kwibaza ariko narabuze umurongo nohamagarako kuri RPA kuko mbona ariyo radio ikinigwako poritique cane;kubera iki bavuga ko igihugu capfuye;bakavuga ngo amakungu arabibona ngo ntazovyihanganira.umukuru wigihugu agatumwako nayomakungu ahabwa agashimwe.mbere numugore wiwe bakamuha agashimwe biva kuki ?ntibabona ko twebwe abanyagihugu bariko baduhenda kandi dukanura tubona tuzi ubwenge?LEONCEyatwaye intamanshingamateka kangahe? nikiyakoze yokwereka abanyagihugu? president Ndayizeye niki yakoze? BAVUGINYUMVIRA niki yakoze,nduma nka jewe umuntu yatwaye yokwirata ivyo yakoze kugira abarundi bamwumve ego akananegura ariko akanegura atwibutsa ivyo yakoze.naho gukuranako agashambara ntaco bitwungura twebwe abanyagihugu giramahoro
Mureke Léonce yigeragereze n’aho mubisanzwe yamaze gusha (il est déjà grillé, comme on dit)!
Iyo hapfuma havuga uwundi atarafata amabanga niwe ashobora kutwemeza ko ashobora kugira ibitangaro! Nawe umuntu yatwaye inama nshingamateka imyaka indwi yose ntihagire ibitangaza akora ico gihe jewe sinyurwa n’amagambo yiwe! Mugabo ndamubwira nti « ugire umugisha » gusa!
Ivyo bikorwa vya ADC-IKIBIRI turabinyotewe cane kandi tubihanze amaso.
None ko tutababona kuri terrain? Tu ne peut pas gagner la popularité alors que tu reste à Bujumbura. Et, je ne cesserai jamais de le dire pour autant que vous ne voulez pas changer ce comportement. Mais, combien de burundais lisent les journaux, l’internet, écoutent la Radio.
Levez-vous et dispersez-vous dans tout le pays, innondez toutes les collines du pays pour proclamer la bonne nouvelle. Je le dis et je le répète, « ntayindi nzira ishika atari uguhaguruka mugashikira abanyagihugu batobato bari ku gatumba ».
Parole, Parole, Parole…On attend les actes! Sinon tout ceci ne nous mènera nulle part. Bandanya mwiyumvira ukuntu aba DDs bazokwirukanwa kubutegetsi!
ayo majambo niyo azobirukana murihenda !!!! badya bahungu nabakobwa wumva batavuga ukagira ngo bobo baricaye ntabo muzi bazotsinda mubareba
Monsieur Léonce,où est Magera/Rwasa?L’ADC les a enterré avec les Diplômes inférieurs au Licence.Continuez mais tes collègues vont enterrer comme l’ont fait pour Rwasa à Kayanza.Ils diront peut-être que tu as dirigé l’Assemblée Nationale durant sept ans et qu’il est temps d’aller à la retraite.
Messieur,tu te contente de parloter à la radio alors que les autres sont toujours sur terrain et tu crois que les burundais d’aujourd’hui restent toujours ceux de 1992 qui ont voté les nez! Uzotaha wipfutse amaboko ndakurahiye je mwene Ntumirirwakurinda!