Pierre-Claver Ndayicariye, président de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni), appelle à candidature pour la mise en place des commissions électorales provinciales indépendantes (Cepi). Cela dans le but de l’organisation du référendum pour l’amendement de la Constitution. Il l’envisage au mois de mai 2018.
Il l’a déclaré ce vendredi 15 décembre dans une réunion des membres de la Ceni avec les représentants des partis politiques, des confessions religieuses et de la société civile.
M. Ndayicariye indique que les dossiers seront reçus jusqu’au 20 décembre. Chaque organisation en présentera trois par province.
Toutefois, nuance-t-il, l’une ou l’autre pourra s’abstenir dans telle ou telle autre province si elle considère qu’elle n’y a pas de membres. Avant de confier que les critères fondamentaux restent l’ethnie, le genre et l’organisation d’origine.
Pour Evariste Ngoyagoye, archevêque de Bujumbura, le délai de dépôt des candidatures est court. Il appelle à son élargissement pour faciliter aux prétendants de chercher des dossiers.
A ce sujet, Prosper Ntahorwamiye, membre de la CENI, évoque «une façon déguisée d’éliminer ceux qui ne sont pas disponibles». Il soutient que les documents requis sont facilement accessibles : « La carte d’identité et le diplôme, toute personne est supposée en avoir sur soi en permanence».
Le mandat des Cepi sera de six mois. M. Ndayicariye indique qu’un arrêté de la commission en précisera le début.
Bravo M.Ndayicariye. Tu sais répondre présent quand il faut. C’est pour cela qu’on te fait confiance. Prépare gentiment ta sortie c’est tout. Car elle finira un jour par arriver.
Lui aussi est président de la la CENI à vie.
Ewe Afrika???
PC Ndayicariye ava mu biti binoga basha, il est encore là?
Tout comme son patron , il est décidé a enterré tous les efforts de réconciliation nationale, et puis partir par la petite porte, des poches pleins d’argents et la honte sur le front!!! Mais pour aller où? Je m’interroge.
Kibwa
Du boulot enfin! Dieu soit béni. Je me demande ce que faisait P.C. Ndayicariye depuis son dernier court métrage de 2015.
Moi je me demande plutôt où il va trouver « des hommes et femmes responsables » puisque lui-même incarne l’irrésponsabilité au sens cru du terme.
Il y au Burundi des gens qui travaillent pour les Barundi.
Dans nos communes et nos provinces, nos villes et nos campagnes des milliers de personnes font encore du bon travail.
Tout n’est pas noir ! pensez aux médecins, aux professeurs, aux transporteurs, aux humanitaires, etc.