Est-ce que l’existence, sur papier, d’une quarantaine de partis politiques est un gage de démocratie ? Non. Certaines formations sont, d’ailleurs, quasiment inconnues. S’il s’en tient à ce que dit la loi, on ne voit pas en quoi l’initiative du ministre de l’Intérieur serait hostile à la démocratie.
Mieux, ce « toilettage » pourrait conduire à des rapprochements, voire des fusions. Condamnés à disparaître, pour survivre des partis pourraient essayer de mettre ensemble leurs moyens et, qui sait, devenir plus forts… Mais pour cela, il faudrait que ces leaders sans militants mettent de côté leurs illusions et pensent à ce vieux dicton qui dit que « l’union fait la force. » Car de nombreux partis politiques n’ont pas beaucoup de moyens, pour ne pas dire pauvres.
Or, asseoir un parti politique, diffuser son projet de société (pour ceux qui en ont un), demande des moyens. Sans parler du financement de la campagne électorale, opération toujours budgétivore : il faut faire le terrain, louer des véhicules, rencontrer les militants, imprimer des affiches, etc.
Aujourd’hui, combien de partis politiques, en dehors du parti au pouvoir, peuvent vraiment supporter toutes ces dépenses ? Mais les partis de l’opposition dénoncent avec raison l’exploitation des services publics par le parti au pouvoir …
Pour une fois, le ministre Edouard Nduwimana prend une décision qui ne fera pas beaucoup de vague. Plusieurs partis n’existaient plus tout simplement… S’unir ou disparaître, c’est le choix qui s’impose désormais à plusieurs formations politiques.
Il parait que Abasa, Pacona et PPDRR ont fusionne! Hahaa, 0+0+0= 0!!!
Il existe des gens courageux. C’est bien.
Mes chers compatriotes, Jewe nibaza ko hari ikindi kintu kinyegeje inyuma y’iyo ngingo ya Mininter Mwosigura gute ko mw’ikete yandikiye Premier Vice-Président le 25/11/2013 amushikiriza rapport y’ukuntu imigambwe yifashe, imigambwe itatu yavuye kuri PALIPEHUTU (Icanzo, iragi, agakiza) yari mu migambwe 28 yari en ordre!!!!! None mu kwezi kumwe ngo nifutwe! Harimwo amanyanga muri iyo ngingo yiwe murazi ko ataco akora kiroranye!
Jewe mbona utwo tugambwe twose twabatutsi twoja hamwe na UPRONA hanyuma udusigaye twaba hutu tugafatanya na CNDD FDD ingorane zoba ziheze. Hanyuma mumatora ya 2015 hazoba ingorane nke kuko umututsi azotora mwenewabo umuhutu uko nyene uwutsinda atsinde muduhe amahoro twebwe banyagihugu bato.
Les idéologies fondées sur les ethnies conduisent au génocide. Pas cela, mais de vraies idéologies pour avancer le pays, les divergences ne manquent pas, mais pas sur base des ethnies. On aura par exemple un parti défend la peine de mort pour les pires criminels et d’autres non, l’homosexualité et d’autres non, le capitalisme à l’extrême et d’autres non, le socialisme et d’autres non, l’intervention à l’étranger et d’autres non, et expliquer pourquoi, etc. Droite, Gauche, Centre, Centre-gauche, Centre-Droite, Extrémistes X 2 peut-être, donc 7 maximum partis politiques.
Mbega ndakubaze Ali wibaza ko abatutsi bose bashigikiye uprona aho ntuzohihendere,abayishigikiye nabatazi canke nabatabona ico ikora,abamanyacakubiri,abicanyi,intagira ubwenge,les aveugles politique,nayahandi ho ,uwukunda uburundi ntuzomubwira uprona
Le mieux serait d’effacer tous les partis politiques burundais et en créer maximum six autres nouveaux. Surtout, commencer par l’Uprona, le Cndd-Fdd, le Fnl et d’autres. Pourquoi ? Leurs noms font penser à tous les crimes que nous avons connu et ces partis « emprisonnent » en eux-mêmes les leaders dans la peur que ceux qui ont pris les armes méritent mieux de diriger ce pays au détriment de vrais politiciens qui peuvent faire avancer le pays, comme la plupart de rapatriés très intellectuels hutus avec de bons plans pour le Pays mais qui se trouvent bloqués par les généraux. Idem dans l’Uprona, le sang nouveau est barré par les ténors dudit parti qui sont les grands criminels sous toutes les formes dans ce pays. Ce serait une bonne voie pour la réconciliation, le développement et essayer d’oublier les cauchemars que les noms de parti portent en eux-mêmes.
Monsieur Barekebavuge, je crois qu’il faut plutot viser l’objectif et non le subjectif.
Est ce que si l’on effacait les trois petits partis politiques que tu mentionnes tu serais satisfait au moins. En cherchant dans Google, je trouve au moins que ces leaders(Ndayikengurukiye,Nzojibwami et meme Nzobonariba) ne sont pas des novices sur la scene politique burundaise. Au contraire, je vois que Ndayikengurukiye est parmi les 1ers createurs et a meme dirige le cndd Fdd pendant la guerre et que Nzojibwami etait le moteur du Frodebu en tant que secretaire General et l’un des grands artisans du processus de paix d’Arusha.
Ils sont donc potentiellement tres forts dans la direction des grands ensembles. Et ceux qui n’osent pas les toucher meme s’ils etaient touchables savent pourquoi.
Je propose de ma part que 13 autres partis soient rayes de la liste pour ne rester qu’avec 15 partis politiques pour mieux respirer.
Il fallait peut etre s’inquieter des partis comme FDS Sangira,
Uwutoshigikira Nduwimana ntiyoba akunda igihugu. Mbega ko dushaka gutera imbere nk’ibindi bihugu; kubera iki tutovyigana? Mbega uwovyiga neza yosanga ivyo bihugu biteye imbere bifise imigambwe mirongo ine « 40 » ?????
@Ndemeye
Ibindi bihugu biteye imbere harimwo ibifise imigambwe mirongo ine. Ikidutandukanya navyo n’uko amatora iyo aheze umugambwe utashikanye 3% baca bawibagira! Aho i wacu umugambwe uraronka amajwi atarenga 0, 001% ukabandanya utumena amatwi! Nico twibagira kenshi!!!
None guca kumazi ni ryari???
Que Nduwimana leur sert la vis au niveau des lois constitutives mais pas au moment ils sont déjà constitués et opère en toute légalité. Par exemple, qu’on établisse une CONTRIBUTION ANNUELLE un peu plus costaud mais raisonnable pour tout les partis officiels actifs. Dufate nka 15.000.000 de FrBu annuels pour le parti présidentiel, ici Cndd-Fdd, et puis 10.000.000 de FrBu annuels pour le parti politique principal collaborateur du parti présidentiel, iciUprona, et 7.500.000 de FrBu annuels pour chaque parti politique satellites du parti présidentiel, ici partis-Nyakuri ou de l’opposition siégeant à Kigobe et pour clôturer 5.500.000 de FrBu pour chaque formation politique officielle non élue au court du mandat en exercice c.à.d les plus de 15 formations politiques candamnées à disparaître et consorts inactifs. Ainsi, les 3/4 de ces argents amassés seraient attribués aux oeuvres caritatives burundaises à tous les 5 ans correspondant à la fin de chaque mandat présidentiel, une belle façon de responsabiliser et de stimuler les activités de nos partis politiques officiels et surtout les inactifs… Les montants contibutifs ont été cités à titre d’exemples pour démontrer au Gouvernement qu’il y a d’autres chemins à empreinter pour valoriser ces partis politiques inactifs auprès des banyagihugu ou tout simplement les inciter à l’action citoyenne. C’est ce même problème que nos chômeurs(les sans emplois) rencontrent aujourd’hui au Burundi. Au lieu de les outiller pour se sortir de la paresse chronique, le Gouvernement les laisse à eux-mêmes ce qui multiplie les clochards et malfaiteurs dans les villes et régions s,il faut qu’ils survivent à tout prix c.à.d par tous les moyens bons ou mauvais. À bon entendeur …
A. 16 partis à effacer
ALIDE
NADDEBU
PRNB-RUSANGI
SONOVI
RADEBU
Verts-INTWARI
ABASA
PSD-DUSABIKANYE
FNL-Icanzo
PIT
PL
PACONA
ABAHUZA
FNL-PALIPEHUTU:
a. FNL-PALIPEHUTU
b. FNL-Iragi rya Gahutu
Cause disputes de leadership
c1. FNL-Bigirimana
c2. FNL-Rwasa (légalement inexistant)
Source: Isanganiro, 07 janvier 2014.
La précèdente liste n’est pas exhaustive.
B. Au cas où ces petits partis non mentionnés ne s’unissent pas pour former un bloc, il n’y restera que
1. CNDD-FDD, 2. FRODEBU NYAKURI, 3. UPRONA, 4. FRODEBU SAHWANYA, 5. CNDD-NYANGOMA, 6. PARENA, 7. MSD Sinduhije, 8. BAYAGANAKANDI-colonel-Rurenzangemero.
C. Le groupe des FNL-PALIPEHUTU pourrait se réconcilier.
Le ministre n’enterre pas des partis, mais des cadavres (ou squelettes) de partis.
Jewe hariho ibintu ntumva!
Mbe none iyo migambwe muvuga ngo ni myinshi, mwebwe ibatwaye iki?
Umuntu wese yipfuza gushikiriza ivyiyumviro vya politique kugira ahiganwe, bakwiye kumurekera ubwo burenganzira ahabwa na constitution!
Uko ni ugusamaza abanyagihugu canke naho hari umutego uri imbere!
Umushikiranganji siwe ashinzwe gushirahamwe imigambwe, kandi ntiyarakwiye kuyisambura nkuko duhora tuvyumva!
Muramaze no kubona ingene ahora aruhisha imigambwe imwe imwe aciye kubiri y’amategeko!
Ariko ashatse, azohore yubaha abanyagihugu, bitebe bitebuke, kirya kibanza arimwo azogihereza abandi, ariko kumenyesha imillioni z’abarundi ngo aritaba ubutumire bwa Serges Nibizi muri Kabizi, hama agaca yizimiriza telephone, iyo nyifato siy’umushingantahe!
Serges, ntawe nzi ariko akazi akora ndazi ko kubashwe n’abarundi benshi cane!
Umwaka mwiza!
Si le Gouvernement par l’entremise de son Ministère de l’intérieur procédait à une vérification régulière et possiblement annuelle à la conformité aux loix et règlements de tous les partis politiques officiels du Burundi, il y aurait moins de problèmes et dissidences dans l’administration de ces derniers, vyumvikana que Nduwimana et les formations politiques burundaises ont encore du pain sur la planche!!!
Agiye yarirwako!!!bravo Nduwimana!!! Uragaba nibakurungika muri université de Musaga
Urategura aga caution haaa!!!
Qu’est-ce que ca veut dire etre sur terrain alors que c’est interdit de se rassembler, manifester, tenir des reunions. En realite c’est interdit d’etre sur le terrain. Ce qui veut dire, pour moi, que meme les partis qu’il ne veut pas supprimer de cette facon, en etant « supprimes » sur le terrain, n’existent que sur papier.
Il faudrait aller chercher d’autres arguments pour me convaincre. Par exemple, auraient-ils enfraint la loi x? Et que, en l’enfreignant, ils meritent la dissolution?
Quant a leur nombre: 40, 50 etc..pourvu qu’ils se conforment a la loi les regissant. Il nous appartient, a nous electeurs, de les « supprimer » dans les urnes.
Ntaco nzopfa ntabonanye. Umututsi yitutsuye aba mubi kurusha bose. Ni Edouard NDUWIMANA. Na UPRONA yahoramwo ubu ariko arayibiza urwuye mu kuyicamwo za nyakuri. Akinda agaramye mu gusagata.
Reka guswaganya nta kintu uwo mugabo Nduwimana arigera akora cotuma tumutera amashurwe. Utwo tugambwe twinshi yafuse niwe yari yadushinze utundi natwo yadutuma gukoma amashi no gushigikira amanyanga ya Nkurunziza. Mbega none mwomenya igituma atafuse Sangwe-PADER ya Nzojibwami Augustin, Kaze-FDD ya mwene nyina jean-Bosco NDAYIKENGURUKIYE canke RPB-nturenganywe ya Philipo NZOBONARIBA? Utwo tugambwe tugizwe n’abapfasoni (abakenyererarugamba) babo gusa, mugabo kubera ko bemeye kwishikana mu kwaha kwa CNDD-FDD no mu gikoni kwa NKURUNZIZA, Edouard Nduwimana yaratinye kudukomakoma.
Mugabo ntaco, ijambo rya nyuma niryo turindiriye en 2015.
Mon constat est que l’on a oublié sur la liste les trucs fictifs comme Sangwe-PADER, Kaze-FDD, RPB-nturenganywe, pour ne citer que ceux-là. Ils n’ont que les noms de leurs chefs et leurs épouses comme membres actifs. Je cite NZOJIBWAMI Augustin, son frère Jean-Bosco NDAYIKENGURUKIYE et le célèbre Philippe NZOBONARIBA. Au bout de sa cruelle politique de nyakurisation des organisations politiques ou apolitiques au Burundi, Nduwimana Edouard ne mérite aucun applaudissement, cher Kaburahe. On ne peut pas se limiter à ce seul geste de supprimer des parits pour l’évaluer. surtout que beaucoup de ces partis étaient ses propres créations entretenues avec la bénédiction de Nkurunziza. C’est probablement les moyens de la caisse noire qui s’éssouffle pour expliquer la proposition de Nduwimana à la cour suprême.
Tout à fait d’accord avec le Ministre!! 40 partis politiques dans un petit pays comme le Burundi !!!c’est trop!!!!