Candide Singirankabo a été tuée dans la nuit du 16 juin, sur la sous-colline Kiganza, colline et zone Maramvya, dans la commune Burambi, en province Rumonge.
Selon Pierre Nkurikiye, porte-parole de la police, c’était vers 20h30 lorsque des malfaiteurs armés de fusils ont attaqué le bar d’un certain Jean Claude Niyomwungere, 32ans.
« La victime est morte sur le champ et trois suspects sont déjà dans les mains de la police pour des raisons d’enquête », indique M. Nkurikiye, avant de préciser : « Tous sont originaires de Kunyoni de la sous-colline Kiganza. »
1 Excellence M. Le Président du FNL, pourriez-vous nous détailler les programmes de développement que vous comptez mettre en place si vous arrivez au pouvoir suprême ?
2 Ce marché que vous visitez, cela ne vous choque pas que la population étale les produits alimentaires dans la poussière alors que vous, vous savez bien les problèmes d’hygiène que cela engendre (différentes maladies) ? Regardez la photo et comparez l’allure de la population et la votre.
3 Mwe murongoye abandi canke mushaka kubarongora, ikubite agashi muteze imbere abo banyagihugu.
https://bujumburanewsblog.wordpress.com/2017/06/18/descente-du-president-du-fnl-pour-un-meeting-de-demonstration/
Attaques à la grenades, meurtres, disparitions… pas une semaine sans que n’il se passe quelque chose. Pour un pays supposément « calme » et « sécurisé », pour reprendre les termes officiels, cela fait tache.
Est-ce que toi tu connais combien de pays au monde où il se passe des semaines sans qu’il ne se passe « rien »?
Lisez un peu les journaux du mondes puis éclaire-nous!
@Is : la lumière ne peut toucher que ceux qui sont capables de l’acceuillir
En Afrique tout est permis ! Que faire ?
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/06/18/proces-de-teodorin-obiang-a-paris-la-croisiere-ne-s-amuse-plus_5146620_3212.html
Dans ce pays dont l’avenir est bouché par une des classes politiques les plus médiocres que le Burundi aient jamais connues, les mauvaises nouvelles se suivent et se ressemblent. Elles sont faites d’enlèvements, de disparitions forcées, d’assassinats ciblés sous un fond de dénie et de démenti des autorités nationales mais sans preuves pour convaincre. Il est à se demander quand ce cycle infernal de descente aux enfers va s’arrêter pour que le Burundi retrouve le chemin de la paix, de la sécurité et du développement comme les autres pays de la sous-région de l’Afrique de l’est. Néanmoins avec le projet de changement de la constitution pour que celui qui est à la base de la crise actuelle rempile à vie, je crois que le pire est encore devant nous au Burundi.