Une attaque d’hommes armés a été perpétrée dans la nuit de ce mercredi, 17 juin, dans la zone Gasibe, commune de Matana, province Bururi. Des sources sur place disent que des hommes vêtus d’imperméables militaires ont fait irruption dans un bar appartenant à Léonidas Ndikumagenge, alias Gasongo. Ils lui ont tiré dessus et il est mort sur le champ, précise un habitant de la localité, joint par téléphone, précisant que c’était aux environs de 20 h 30.
Une information confirmée par Astère Bizindavyi, administrateur de la commune Matana, qui ajoute qu’avant de quitter les lieux les assaillants ont pris l’argent qui se trouvait dans la caisse. Selon une autre source sur place, cette personne tuée était parmi les chefs du parti au pouvoir dans cette zone.
Arrêtez d’exploiter tout pour nuire à la nation. Je me souviens qu’en 2013 un commerçant au bord de sa voiture, a été tué dans la même zone par les bandits et on n’a pas dit si les bandits portaient une tenue militaire ou si la victime était du parti au pouvoir. Je ne sais pas ce qui s’est passé; mais il vaut mieux ne pas interpréter politiquement tout crime qui est commis . Je voudrais vous dire que ceux qui font la promotion de la haine et de la violence, cela vous poursuivra jusqu’à vos descendants même plus de 100 ans plus tard. Voici la démonstration:
« C’est son profil sur les réseaux sociaux, sur Facebook précisément, qui laisse entrevoir sa fascination pour la suprématie des Blancs. On y voit notamment une photo où il porte une veste avec les drapeaux de l’Afrique du Sud du temps de l’apartheid, et de la Rhodésie avant que celle-ci ne devienne le Zimbabwe, quand ces deux pays étaient dirigés par la minorité blanche. Ces deux régimes sont admirés aux États-Unis par les groupuscules racistes. Selon les médias américains, Dylann Roof ne faisait partie d’aucun des 16 mouvements de ce type recensés dans la région.
Le cousin du pasteur de l’église – qui a été tué dans la fusillade- a rapporté les propos d’un survivant ayant entendu les paroles prononcées par Dylann Roof avant d’ouvrir le feu. « Je dois le faire. Vous êtes en train de violer nos femmes et d’envahir notre pays. Vous devez mourir », aurait lancé le suspect.
Une autre photo (ci-dessus) publiée par l’un de ses amis Facebook, le montre assis sur le capot d’une voiture, dont la plaque porte un drapeau des « États confédérés de l’Amérique », une référence à la Guerre de sécession entre le nord anti-esclavagiste et le sud des États-Unis, à la fin du XIXe siècle. »
A bon entendeur salut !!!
« Hommes vêtus d’imperméables militaires « . Vérifier s’ils n’ont pas de relations avec « ba rukoti ». Quant aux paradoxes de Tubayabandi (La peur s »installe dans le camp de ceux qui font peur. Inimaginable mais possible. Ils nous retrouverons dans les camps de réfugiés en Tanzanie, au Rwanda ou au Congo Kinshasa). Il n’y a pas longtemps, l’exil était senti comme destiné à une seule catégorie de burundais. Le raisonnable est plutôt de travailler pour la paix et non à monter les surenchères.
Si cet homme avait ete de l,opposition, son identité politique aurait été dans le titre, mais comme il est du cndd-fdd,
son identité doit etre cachee dans la derniere ligne de l’article. Cher iwacu, est-il possible d,eviter le deux poids-deuxmesures?
merci de nous informer correctement.
La peur s »installe dans le camp de ceux qui font peur. Inimaginable mais possible. Ils nous retrouverons dans les camps de réfugiés en Tanzanie, au Rwanda ou au Congo Kinshasa. Nous pourrons alors négocier à tête reposée la paix pour le Burundi. Après un chef des Imbonerakure tué quelquepart dans Bubanza, c’ est le tour du Président du parti CNDD FDD qui se fait lâchement assassiner à Matana….Quelle est la suite?
Savoir commencer une guerre est toujours facile.
Savoir la terminer est encore plus délicat.
Estimer le coût d’une guerre avant son début est impossible.
Ce qui est sûr, c’est généralement un coût très élevé!
A bon entendeur, salut!
Imbonerakure murazirembeje basha, ariko ndababwiye ko iyo provocation ya ba Pacifique, Vital, Nsinduhije na Rukindikiza ataco izoshikako. Ahubwo ni mwemere muje mumatora.
Ahubwo nimurungike kwitoza ababirekuriwe n’amasezerano, kandi mwemere tushireho CENI yemerwa na bose, uheze wirabire ko hari uwutaja gutora.
Ariko abo bana b’uburundi mubona bariko bazira iki? Bati kura ibigwanisho mubanyagihugu abandi mukazibira amatwi.Nukuri uwo untu yahawe ikigwanisho wese atari umupolisi canke umusoda ico azogikoresha ntikizozanira ineza abarundi. Jewe nukuri ubushobazi bwanje bugarukira aha nyene ariko ndahojeje cane umuryango wabuze n’abandi bose baguma babura abo batanse. ku bica nabo nibaza ko mutazi ikibarindiye na cana cane abatumwa kwica murazi ko munyuma arimwe mwicwa kugira ntimuvuge ababtumye uburorero mumaze kubona sibuke nimba mutarabubona naho muzobwibonerako.
nibaza ko n’aba polisi badakwiye ibigwanisho kuko munyandiko akazi kabo ni kuzana umutekano n umwumvikano mu banyagihugu! ntakuntu bogendana ama kalash mu gihugu c ijambo kweli!
C’est le coup pour coup qui commence ou bien … ?