Sous l’injonction du conseil d’administration de la Radio Télévision Nationale du Burundi (RTNB), Chanel Nsabimbona le directeur général est revenu sur ses récentes décisions de limogeage des chefs de services. Selon Salvator Barutwanayo, secrétaire exécutif du syndicat des travailleurs de la radiotélévision nationale (SYRT), quatre chefs de services ont été rétablis dans leurs postes. Il s’agit d’Athanase Ntiyanogeye dans le service internet, Pascal Nyabubu dans le service commercial, Claver Nzeyimana dans le service vidéothèque et bandothèque et P. Claver Nahimana dans le service documentation radio. Le secrétaire exécutif du SYRT qui se dit optimiste sur l’issue de la [tension entre le syndicat et le Directeur Général de la RTNB->http://www.iwacu-burundi.org/spip.php?article1423] indique que d’autres démarchés sont en cours pour que le climat soit serein. C’est dans ce cadre qu’une réunion s’est tenue ce mardi 29 novembre au siège de l’ONATEL sous la supervision de Salvator Nizigiyimana, président du conseil d’administration de la RTNB.
Archives
Une lueur d’espoir à la RTNB
A nos chers lecteurs
Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.
Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.
Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.Je soutiens Iwacu
Lire sur le même sujet
Editorial de la semaine
Question à un million
Quelle est cette personne aux airs minables, mal habillée, toujours en tongs, les fameux ’’Kambambili-Umoja ’’ ou en crocs, les célèbres ’’Yebo-Yebo’’, mais respectée dans nos quartiers par tous les fonctionnaires ? Quand d’aventure, ces dignes serviteurs de l’Etat, d’un (…)
Les billets d'Antoine Kaburahe
