Pour avoir plus d’énergie lors de la cuisson et prévenir les risques liés à la déforestation, BQS produit une biomasse renouvelable (Tabarigiti) qui utilise des foyers améliorés que propose Burundi Quality Stoves (BQS).
Le charbon de bois est devenu un véritable casse-tête pour les ménages de Bujumbura, suite à l’interdiction de dépasser 80 sacs de charbon par camion. Cela a obligé les transporteurs de ce produit de cuisson à multiplier son prix par deux. Le DG de la BQS rappelle que le ministère de l’Environnement a indiqué que plus de 50% du couvert végétal a été détruit depuis la crise.
Ephraïm Ndayishima, directeur général de la société, affirme que ce nouveau combustible remplace valablement le charbon dans la cuisson. Il est fabriqué par le recyclage des déchets agroforestiers : les déchets du café, du riz, de la canne à sucre, du pinus, etc. Après avoir fait des expériences comparatives entre le nouveau combustible et le charbon, ce chimiste de formation trouve les résultats satisfaisants. « 10 kg de bois produisant 40 mille kcalories donnent 1 kg de charbon qui va produire 6000 kcalories. », explique-t-il. Après calcul, il estime à plus de 85% de perte en énergie.
Les exemples ne manquent pas. M. Ndayishima a aussi cuisiné, pour 16 personnes, 1kg de riz, 1kg de haricot et 1kg de farine de manioc en 3h : « J’ai premièrement utilisé 5kg de briquettes qui coûtent 1500 Fbu. Pour la même quantité de nourriture et pour les mêmes personnes, j’ai utilisé 5kg de bois à 1000 Fbu. Pourtant, avec le charbon, je dépenserai plus ou moins 5000 Fbu. »
Une capacité de production de 90 tonnes par jour
Ephraïm fait savoir que sa société peut fabriquer 90 tonnes de biomasse renouvelable par jour avec ses trois machines de compilation. Avec 30 tonnes, c’est 1ha de forêt qui est protégé et sur les 365 jours c’est 1000 ha qui sont protégés. Il indique aussi que sa société dispose de nouveaux foyers adaptés à ce nouveau combustible : « Ce sont des foyers d’une durabilité d’au moins 5 ans et sont dotés d’une grande capacité énergétique et qui ne coûtent pas cher. »
Les économies, propose-t-il, que l’on peut faire par rapport à l’achat du charbon peuvent suffire pour acheter ce foyer. BQS a essayé de contacter certaines microfinances pour qu’elles donnent des crédits payables sur environ 3 mois. M. Ndayishima demande au gouvernement de lui prêter des terres à long terme pour y planter des arbres. Ces arbres serviront de combustible en plus de la biomasse renouvelable produite par l’entreprise.
Signalons que BQS a l’armée et le HCR comme clients. En outre, cette société est enregistrée dans la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques.
Courage Monsieur, j’espere que vous n’allez pas chercher a vous enrichir en un peu de temps en procedant a la hausse des prix aussitot que vous aurez remarque que votre produit est for envie. Le pouvoir d’achat des burundais est extremement faible mais grace a l’economie d’echelle on peut s’enrichir tout en vendant a bas prix. je parie que la Brarudi pourrait gonfler son chiffre d’affaire en baissant les prix.
Burundais, ce n’est pas l’esprit de creativite qui le tue mais plutot copier,calquer, plagier afin d’etoufer’bousculer, phagocyter et asphyxier a mort le creatif. Donc, protection de la propriete intellectuelle des braves du genre Ndashima exige.
Excellente innovation que je soutiens et encourage.
Il faut initier des publicités et installer des points de démonstration et de vente dans différents quartiers et centres urbains. Des études sur la pollutions et les effets sur la santé seraient bienvenues
Courage Mon Frere Euphraim NDAYISHIMA . Vous avez ete a l’ecole du blanc pour apprendre et mettre au service les connaissances acquises au service de la nation contrairement aux autres qui sont restes a croire qu’on a ete a l’ecole pour etre apres une charge de l’Etat . Vous meritez un prix national vous decerne en tant que citoyen honnete et integre qui vit a la sueur de son front et la matiere grise que seul Dieu vous a dote . VOus n’etes pas nombreux le pays devrait normalement prendre soins de vous et vous encourager dans vos activites . Voila ce dont le pays a besoin aujourd’hui . Ca me rappelle bien le projet Biogaz ave lequel les burundais commecaient a consommer ce qu’ils avaient eux meme produit wow !
ariko « nzobandora » wewe uri ikijuju kubera ubwiza si izuru, kuko nkaho wosanga ufise izuru rimeze nkumusumali ariko ukaba mubi ntihagire nuwo woha amazi ngo ayanywe, ugasanga urirabura tsikitsiki gusumba nkinkono iteka, canke ugasanga ufise ibihere vyuzuye mumaso ,canke amasununu kandi ufise izuru risa n’urushinge, canke ugasanga ufise igisusu kimeze nkicabakobwa kandi witwa ngo uri umugabo, kandi umugabo agiye gusa nabakobwa ntaba akibaye mwiza kuko igitsina cose gitegerezwa kugira physike yaco.
Canke ugasanga ufise inda yafatanye n’umugongo, canke ugasanga ufise ibishatsi vy’inzwiri vy’irende bimwe bica biza mwo imvi vubavuba utarashikana n’imyaka mirongibiri nitanu umaze gukura usanga ufise ibizwiri vyera mumutwe, none ngaho wumva uri mwiza hehe ngo nuko ufise izuru risa n’urushinge. Ndakubwire umugabo akomeye ameze neza ni urya afise inguvu ziboneka .
Ivy’uvuze biragaragaza yuko utari ikijuju gusa nukuri hariko akabirya.
Ntaco umuntu yovyongerako ngira ababisomye harico baza kubikuramwo jewe ndi ikijuju nk’uko wavuze numvise ataco vyungura umntu numwe kiretse wewe ngira.
Umuntu nkawe ntamwanya umntu yomutako kuko uri IKIKEHA BWENGE!!!
Ndeka mbandanye nabo twariko turavugana tunganya ubwenge canke ubujuju nkuko wewe ubibona mugabo wewe sinzi n’uko ufise abana mugabo nibaba baviye ubwenge buzoba bwavuye kuri nyina.
Ngira uraronse inyishu y’ibitutsi vyawe.
A+
« les déchets du café, du riz, de la canne à sucre, du pinus, etc. »: Ces déchets fertilisent les sols en principe; ils ne polluent pas l’environnement! Ce qu’on va gagner d’un côté on le perd de l’autre, à mon avis!
Les temps ont changé et les Burundais changent aussi, lentement mais surement. Ce genre d’innovations, et beaucoup d’autres, montre que les Burundais commencent a comprendre que le gouvernement n’est pas necessairement la meilleure vache laitiere sur laquelle on doit compter. L’experience d’ailleurs prend finalement de l’ampleur et montre que le secteur privé au Burundi est capable de se developper a condition qu’il y ait un environnement d’affaires competitif propice et, surtout, libre de toute ingerance des gens « hauts placés ».
J’ajouterais que les Burundais doivent se defaire des idees de reussite individuelle et penser a se mettre en associations d’affaires. Avec cela, les capitaux sociaux sont faciles a constituer en meme temps qu’on partage les gains et les faillites.
Je conseillerais a Monsieur Ndayishima de chercher a s’associer aux autres entreprenneurs de confiance (2 ou 3) pour batir une entreprise juridiquement forte et perenne. Il faut que ses maux de tete, habituels aux entreprenneurs, soient partagés. Entretemps, bravo et, bonne chance!
Bravo mon cher Euphraim. On mobilisera les ressources pour ce beau projet.
A tres bientot (cet été).
Tropicana, 81.
Wewe tropicana 81, ngira mwahora musangira igishushe mu Nyakabiga! Ariko urabona we ko yakimironza atekumutwe! Ewe sha Euphraïm, congratulations!
Tout a fait. No kwa Bujeni (si ca te dit quelque chose), et a credit. Les beaux vieux temps! Où etais-tu a ce moment? C’est comme ca que le reseautage commence.
Autre question: “ko yakimironza”, washatse kuvuga iki aha?
Aho mwabukaranga nari munsi y’urujo. Je vois toute la scène et c’était encore aux vieux beaux temps. Kukimironza naho wakiwe na rya zuba ryo muri Tropicana, c’était l’avaler avec soif et bonne volonté sans se soucier de d’abord la tester sur la langue…car ce n’était pas nécessaire! Rien que cela. Ariko sha jewe Bujeni ntiyari bwanyandike mwikaye mwaransutse! Komera!
Bujeni yandika les clients les plus reguliers; ceux qui prenaient un apero a midi, pour ne pas faire la queue au resto avec les puants. On allait au resto a 13h50 (a 10min de la fermeture) et on etait servis comme des princes. En parlant du resto, j,ai eu des larmes aux yeux en voyant recemment les photos de ses murs exterieurs. Des ruines! C,est a se demander s,il y a un pilote dans l’avion.
Le déficit énergétique et le prix du peu d’énergie que nous avons, toutes formes confondues, font que la bonne initiative de cette société, très louable, n’en sera pas moins une goutte dans l’océan.
Encourageons-les et surtout mettons-nous y twese ababishobora pour promouvoir de nouvelles sources d’énergie, renouvelables de préférence. Je pense au soleil inépuisable tant que nous sommes sur terre. Comme notre cher gouvernement DD n’a pas le temps de se tourner vers là et préfère l’or de BUTIHINDA, que les partis d’opposition mettent ce point dans leur programme, car demain ce sera leur tour de diriger le pays.
Journal Iwacu, afin de promovoir BQS, pouvez-vous nous communiquer son addresse? Numeros de contacts? etc. Merci.
Il faut ajouter à l’article l’adresse de l’entreprise. Et cette entreprise doit utiliser son service de marketing pour procéder aux expositions afin de mettre au courant la population notamment dans la ville de buja et centres ruraux. Et même dans les pays limitrophes.
Big up , Mr Ndayishima ! Uri intwari .
Ahariho hose wize, ntiwasamaye ,la preuve en est votre noble initiative pour le pays et le monde entier.
Harya naho woba wanka agakwavu, wokwemera ko kazi kwiruka. Imbura kimaze zize amashure basunikisha igiti , abandi nabo bakayasimba ni basubire kwishure kugira batahure ivyo biga nka wewe.
Donc, bareke kwiyumvira kwiba no kunyuruza itunga rya bene Burundi , ariko bige kukoresha ubumenyi bahawe.
J’insiste , que le president de la republique fasse un decret speciale ,vous autorisant a ne pas payer l’impot et la taxe!!! Maudit soit les agents de l’OBR bazoza iwawe !!! Uhayukingira abarundi n’uburundi ,et le monde entier en general. Komera mutama.
Felicitation Mr Euphraim et Courage!!
Bon chimiste celui-ci je le connais bien meme a l epoque quand il etait encore a la cotebu..Toute mes felicitation a votre travail!Muga baba DD buca baza kukuronderamwo amafaranga.
Mr. Ephraïm Ndayishima ,
J’ai juste une question, Vous pouvez me répondre directement ici car je n’ai pas votre addresse e-mail.
Peux-t-on utiliser votre produit pour guturira ama foroma y’amatafari ?Ngira urabona ingerne bagira bariko barabumba amatafari. Je suis très interessé.
Merci
Paul
Ephraïm Ndayishima
Félicitation, seulement, il faut que tes ouvriers travaillent dans de bonne condition. Tu as vu comment ils sont? Comment ils sont habillés. Protéger les arbres ok mais aussi protéger l’humain avant tout.
Ewe Mupenzi nawe ntujebwo! Ubasabiye gukora bambaye ama costumes n´amacravate? Nibaba bashobora kuronka ibirato vy´intoke (gants), n´ibibakingira poussières z´iva mur´ivyo, ni´intambwe ikomeye. Kandi ndabona kw´ifoto ko babifise mugabo batavyambaye. N´ukubategeka bakabikoresha.
Félicitation Mr,
B’aba politiciens na fiscalité bidon yabo bararonse aho bakura ayo bacokeza mu mipfuko, tu vas les voir débarquer.
Le ministère de l’environnement devrait soutenir cet innovateur et lui faciliter l’accès aux matières premières par la mise à disposition d’un terrain qu’il pourra louer/acheter à un prix preferentiel.
Le Burundi a besoin d’entrepreneurs innovateurs, pas seulement des vendeurs de boisson.
De son côte, le gouvernment devrait multiplier les efforts pour appuyer l’innovation. Si seulement la moitie des ressources utilisees pour museler l’opposition y etaient accreditees, on n’en serait pas là.
Une initiative plus qu’à encourager car les déchets du café, riz, et sucre sont très facilement accessibles et en permanence afin d’interdire purement et simplement le déboisement forestier avec les conséquences que nous subissons actuellement pluies diluviennes, chaleur insupportable et la pluie qui ne tombe pas même au mois d’Avril ; du jamais vu sans parler des risques de famine.
Néanmoins, sans être naïf, avec votre nez niwaba utazwi au sein du parti ou si ton projet n’apporte rien ou pas grand chose dans les poches de certains tu ne seras pas appuyé ; c’est dommage mais c’est aussi simple que ca
Tu es indigne monsieur/madame!
Shame on you!
Ariko nzobandora nawe uri ikijuju cahebuje! Aho abandi berekana imigambi y’iterambere wewe uca wadukana amazuru? « Agatonda gatonda akamyira, ubwiza buba ku mutima ». Ako ni akagani k’abakura mbere. Ubonye abantu uca ubona amazuru? Mbega ni inde afise izuru ryiza? Aho ubona izuru ry’uyo mu savant ari exceptionnel? Mbega hamwe amazuru yoba ariyo agira abantu beza, aba fransa bafise maremare, mato kandi agororotse boba abambere mu bwiza. Uwo mugera wawe w’amacakubiri wureke upfe, hanyuma nawe wemere uzuke!…..Le monsieur a fait un bon travail. Ivyigwa nk’ivyo n’abize nk’abo ni vyo dukeneye, abandi nabo bata amajambo gusa ngo barize!!!!
Muthuzi,le Genie Noir,
Vous pouvez dire ce que vous voulez mais ceux qui vivent dans les pays savent que c’est une triste réalité. Allez savoir le nombre d’investisseurs même étrangers qui sont allés investir ailleurs faute de donner des dessous de table. Quand on parle de la corruption au Burundi pensez vous qu’on parle des 200Ofbu des policiers de roulage seulement?
Vous pouvez dire ce que vous voulez je ne suis pas extrémiste mais des fois il faut appeler chat un chat en disant des choses telles qu’elles sont n’en déplaisent à certains.
Quel est le rapport entre la corruption et la forme du nez?
Croyez-vous vraiment que les gens corrompus se soucient du nez du corrupteur? Comme si tous les maux qui frappent le Burundi ne visent que les seuls Tutsis. Hier victimes de multiples genocides, aujourd’hui exclusion et corruption et demain encore de genocide… C’est ridicule.
Arretons de melanger les dossiers.le genocide qu’on parle dans l’autre rapport nulle part l’on parle des tutsi mais plutot des opposants politiques .Peut etre que c’est la pauvreté du kirundi puisque le genocide et ethnocide signifie la meme chose en kirundi càd ihonya bwoko,ou bien c’est une signification apportée sciemment pour remuer avk les divisions ethniques.Mais nous ne sommes plus en 93 n’en deplaisent à certains,la preuve que je ne suis pas du tout extremiste.En parlant du nez je m’excuse si ca ta déplu mais je voulais simplement dire les facilités sont rares pour tous les investisseurs mais pour lui s’il n’est pas connu dans les salons des decideurs ca risque d’etre plus compliqué pour lui.Pour le reste tu peux narguer ou te rejouir du malheur des autres en disant qu’ils pleurent pour rien mais ler faits sont lá.Pour anticiper ta prochaine reponse ceux du passé
ont commis la meme injustice je l’accepte,accepte iyiba ubu puis je pense qu’on est tous les deux d’accord qu’on ne perdra pas eternellement une journée pour aller elire ceux qui viendront a chaque fois repeter les erreurs des gouvernements précedents
cordialement,
None ga mushinganta, aho ubona ko baka igiturire abafise gusa amazuru ameze ukuntu? Oya nawe nu urarengeje urugero: ikibi n’ikibi , ata kuraba uwugikorewe. Hanyuma kuvugako igiturire cakwa ubwoko bumwe umenga urarengeje. None ko abashomeri bari mu bwoko bwose? Reka dushire imbere ibindi, amazuru nayo tuyareke. None aho mwibaza ko atabakora imigambi mu Burundi batari muri Leta canke batayishigikiye? Mbega muri abo batunzi b’i Buja abashigikiye DD ni bangahe ko ata n’iyo batoye i Buja? Kore imigambi y’iterambere tureke kwitwaza politike: uzi gukora neza bizoteza imbere wewe nyene: hanyuma naho niwaba ugomba kuzotunga kubera ukorera leta birashobora kukugora, abize bose ntibazoba abakozi ba leta. Twiga kugira ngo dushoborere kwikorera utwacu neza!
Faut tout faire pour que la politique ne s’invite dans l’entreprise. Ne fut ce que pour les contributions obligatoire si c’est pas l’impôt reconnu.
Mbega iyo entreprise ikorera he? Umunyagihugu mutomuto aje kugura muramuha?
Kuki tutabona vos produits muma quartiers atandukanye ngo tuzigure? Je ndavyumva kumatwi gusa canke nkabisoma kuri net ariko nararindiye ko vyodushikira ndabura.
Bref, duhe umuco w’ingene tworonka izo produits
C´est à encourager. Il faudrait aussi voir comment améliorer l´utilisation de la tourbe dans les ménages. Il y´a près de 20 ans, ONATOUR avait initié un projet de production des briquettes (sous forme de boule), mélangées avec les parches de café et la mélasse comme liant. Ces briquettes étaient de très bonne qualité. Malheureusement l´ONATOUR n´a pas eu de financement pour exécuter le projet.
Avec ce genre de projet, il y´a moyen de développer les regions qui produisent la tourbe en produisant ce genre de charbon ou même de l´électricité.
En oubliant pas que l´exploitation de la tourbe devrait aller parallèlement avec l´amélioration de l´environnement d´une manière ou d´une autre.
Courage Monsieur, les innovateurs au Burundi ne sont pas très nombre. Il faut que l’Etat encourage de telles initiatives combien louables.
Mon Cher MFurayimu, Uri Imfura pe!
Bravo pour votre initiative pour sauver le bois!
Mon conseil est de chercher un bailleur exterieur pour soutenir votre projet en subventionant les Foyers utilisant votre produit(en remplacement des Mbabula traditionnels). Ciblez un seul quartier pilote, et cela permettra la penetration de votre produit dans les menages.
Juste une question: Pourez vous garantir la disponibilite si votre produit devient un success dans les ménages, compte tenu de la matiere premiere?