Les informations sont difficiles à recouper, les gens restent chez eux et la circulation limitée. Tout a commencé cette nuit. Des sources à Ngagara affirment que vers 3 h 45 le camp de Ngagara, QG, a été attaqué par des gens armés non encore identifiés. Selon les gardiens de vaches des étables situés le long de la clôture de ce camp, derrière l’école primaire dite « laïque » du quartier 2, plus de 100 personnes, dont plusieurs en tenue militaire , ont attaqué ce camp en se frayant un chemin près de ces étables.
Il y a eu beaucoup d’échanges de coups de feu et des détonations des grenades. Les assaillants seraient repartis peu avant 5h du matin. « Après l’attaque, nous avons entendu beaucoup de cris de douleurs et d’agonie », témoignent les gardiens de vache.
Une attaque a également eu lieu à Muha, à l’Iscam, Mujejuru. Des coups de feu ont été entendus pendant la journée dans les quartiers comme Jabe, Bwiza, Nyakabiga, Ngagara.
La journée, la circulation était limitée et la plupart des gens de la capitale sont restés chez eux.
Dans l’édition de la mi-journée à la radio nationale, le porte-parole de l’armée a confirmé l’attaque des camps militaires de Ngagara et de Mujejuru à Mugongomanga. Le colonel Baratuza a donné un bilan de 12 morts « côté ennemi », 20 arrestations, dont un blessé. Côté armée, pas de perte en vie humaine, si ce n’est que 5 militaires blessés.
Il n’a pas oublié de mentionner la bravoure et le professionnalisme dont ont fait preuve les militaires en se défendant.
Dans sa déclaration sortie la mi-journée de ce 11 décembre, le Cnared, la coalition de l’opposition, s’oppose à toute perspective de décréter un Etat d’urgence. Elle demande l’intervention rapide des forces des Nations Unies. La coalition souhaite une médiation appuyée par la région, l’Union africaine, la communauté internationale et l’organisation sans délai des négociations entre le CNARED et le pouvoir de Bujumbura pour rétablir la paix et la sécurité au Burundi. Le CNARED demande à l’Union Européenne de prendre les sanctions économiques contre le pouvoir de Bujumbura.
FINANCE PAR LA BELGIQUE &CO:
IL FAUT QUE LE CNARED ARRETE DE FAIRE SUICIDER LA JEUNESSE.
LE CNARED EST RESPONSABLE DES ATTAQUES MENEES CONTRE LES FORCES DE L ORDRE.
IL EST GRAND TEMPS QUE LA COURT PENALE INTERNATIONALE PRENNE EN MAINS LE DOSSIER DU CNARED QUI CONTINUE DE MENTIR LA JEUNESSE A PARTIR DE L ETRANGER AFIN DE SEMMER LE DESORDRE AU BURUNDI
Une premiere. Sindimwo Gaston le confirme (sur Bujumbura.be): des camps militaires burundais et pas n,importe lesquels ont été attaqués en pleine capitale. Frapper au coeur meme de l’armee, symbole de souverainete, est une demonstration de force réussie. Les vrais faux bilans de Baratuza cachent mal le desarroi. Attendez-vous a d’autres attaques ciblées préparatoires d’une mutinerie generalisée.
Attention Monsieur, ce n’est pas pcq deux camps militaires sont attaqués qu’il faut te réjouir.
Si quelqu’un de l’opposition radicale se dit que ça y est, les négociations vont commencer suite à cette attaque, qu’il se détrompe.
Les FNL et les FDD autrement plus forts et ayant un réel projet de société ont dû attendre plus des 10 ans pour obtenir de véritables négociations. Je parie que ces rebelles SINDUMUJA attendront encore plus longtemps ou vont périr dans les forêts avant d’atteindre leurs objectifs.
@ Nyambere: Je suis 100% d,accord avec toi sur ceci: les FDD ont un reel projet de société, le meilleur en effet, qui a fait qu,après 10 ans de regne et une aide etrangere de plus de 4 milliards de USD, nous sommes aujourd,hui le pays le plus pauvre de la planète. Felicitations. Songa mbele (a reculons). Quant aux Sindumuja, ils sont trop intelligents pour combattre de la foret. Ils vous épuisent deja rien qu,avec des whatsaps. Demain, ce sera par des drones, justement.
@ nyambere une lutte a un prix . Cette jeunesse se sacrifie pour une cause juste que ca prenne meme un siecle l’essentiel est l’objectif soit atteint . Sache que la victoire de tout le burundais ne viendra que par le dialogue inclusif le contraire ne serait pas benefique meme pour la suite du soit disant pasteur president. La faiblesse de la force et de croire que la force est une solution.
Bwana, uvuga ivyo utazi (pas de ta faute, pas de radio), c’est une simulacre d’attaque orchestree par le pouvoir pour plutot tuer les jeunes dans leurs maisons. Je doute fort si les Sindumuja soient capables d’affronter l’armee au camp.
Ariko ntimuruha: imyaka 5 muturirimbira ikibiri ubu mutanguye sinahead nayo! Mbe ahubwo ko hamaze kuba ibitero vyinshi ariko iyo sinahead ntivuge ubu hahindutse iki? Nibo babikoze?
Hama kwandika ko abateye QG barenga ijana ariko bakaba banyikiye mungagara ni ugushaka kwitiranya abanyengagara nabitwaje ibigwanisho. None burya mwandika ivyo mwumvise vyose ata gutosora? Redaction yose! Mbe nyene iyo redaction yakoraniye he?
Mukama, tabara Uburundi.
Ariko ga yemwe aho twaririye ntubona amaborogo yacu???
Urakenyeye akagwi gatoyi k’abarundi baryanira ubutegetsi
gatume abarundi 90% twicwa n’intuntu n’amaganya???
Mwami w’ikigongwe, tukirire ikigongwe uduhe amahoro.
Akarinyuma ntigahinda kuko umwansi yatujijwe. Ariko turasaba abo bashora urwaruka kw’icumu! Intwaramiheto zacu mufatane munda mumokobyanyu atandukanye. Turabeje
Sorry
Abashora urwaruka kw’icumu babireke( correction du SMS precedent)
akari inyuma karahinda, il aut négocier sans délai atari aho amahoro ari kure!
Quelles négociations ? Mais les négociations sont en cours sur terrains Où le seul médiateur est le gun. Les militaires doivent défendre la souveraineté de notre pays. Car ces gens qui mettent avant les négociations ne sont pas burundais, ce des assoiffés de sang. Il finiront mal.
Donc cnared niyo yateye kwisaba kuganira?
Ibiganiro niwo muti urama ku kibazo c’i burundi. Ariko rero umenga hariho abataravyumva ntaco nahone umuti wo kubibumvisha uriho!!
Monsieur BWARIKINDI vous parlez de la souverainete , je suis d accord avec vous
mais la souverainete d un pays est le respect des lois et reglements qui regissent toute une Nation
S il ya quelqu un qui a passe a cote en oubliant la constitution et les accoeds d Arusha
Ce lui la doit etre combatue pour que la souverainete du Burundi soit respecte
Vous parlez des assoiffes des sangs ,il n ya jamais au Burundi un president comme celui
d aujourd hui l hisoire nous les dirons Qu on a jamais vu un gouvernement qui autolise la police d entre les
quarties pour tuer Je regrette cela ne sont des policiers pour la securite
Quand on parle des negociations c etait pour eviter une guerre pour que les deux cotes s entendent
maintenant le cote fautif ne veule pas aller dans la negociation il continue a tuer Les Burundais doivent se lever comme un seul homme pour le retour d un etat des droits
@Rose Hakizimana
C’est bien Rose continue à voir la paille qui est dans l’œil de l’autre au lieu de voir le poutre qui est dans le tien, la suite on le connait tous (aho inzovu zigwaniye ubwatsi nibwo buhahonera).
Tu dis qu’il n y’ a jamais eu un président comme celui d’aujourd’hui, il y en a qui ont connu plus pure que ça(Micombero ) , mais c’est toujours facile d’ignorer le malheur des autres quand on n’est pas touché.
S’il te plait madame en peu d’honnêteté merci!!
@Rose Hakizimana
« Vous parlez des assoiffes des sangs ,il n ya jamais au Burundi un president comme celui d aujourd hui… »
Depuis 1960, le pays a eu autour d’1 million de tués! Dire que le pays n’a jamais connu un président du genre, c’est danser sur des cadavres. A moins que vous étiez dans un sommeil profond depuis cette époque. En même temps, moi j’attends impatiemment qu’on sorte de ce cycle de violence auquel j’assiste tristement depuis 40 ans de l’étranger!