Tout a commencé avec une société, SG2. Théoriquement, cette société est spécialisée pour la facturation des appels entrants internationaux afin de calculer la part qui revient à l’État. Cependant, les opérateurs expliquent que « ce n’est pas tout à fait ça le but. »
Les appels entrants ne représentent que quelques pourcentages du chiffre d’affaires global d’un opérateur. On se demande donc pourquoi cette initiative menée par l’ARCT et SG2 cible une toute petite portion du business des opérateurs. L’explication pourrait être celle-ci : c’est que ce sont des sommes reçues en devises et les opérateurs ont tous reçu l’ordre formel de l’ARCT de changer exponentiellement à la hausse le tarif par minute pour les appels entrants (de $0.06 à $0.34 !). L’ARCT exige aux opérateurs de lui verser le surplus.
Plus étrange encore. Les opérateurs ont reçu l’ordre d’orienter ces recettes vers un compte spécial, ouvert dans une banque de la place, alors qu’elles devraient être acheminées vers le compte de l’Office burundais des recettes (OBR).
Tout ceci est très troublant, et aussi pour l’OBR. Selon plusieurs témoignages crédibles, le Commissaire Général actuel, Kieran Holmes, n’est plus en odeur de sainteté au Burundi.
On sait qu’il avait protesté contre les avantages octroyés à Viettel et la combine montée avec SG2 pour les appels internationaux.
Les SMS sont plus sûrs
Quand aux écoutes, plusieurs techniciens des sociétés de la place nous ont confié : « Nous avions l’obligation de donner à la société SG2, quelques 200 numéros gratuitement et d’autoriser leurs techniciens à accéder à nos centraux. Ils ont branché leurs systèmes. Nous sommes sûrs qu’ils avaient la technologie pour réaliser des écoutes téléphoniques » Et de conseiller : « Quand vous pensez que vous pouvez être mis sur écoute, utilisez le SMS. Il est impossible à tracer. »
Depuis l’introduction de ce système, les appels vers le Burundi sont devenus très chers, et tous les Burundais de la diaspora se rabattent aujourd’hui sur Skype et d’autres systèmes d’appel (Viber, Whatsap etc). Bientôt, ils le feront même pour les appels locaux afin d’éviter les écoutes.
Bararaba neza baharure kuko ndazi amahera binjiza ubu ko ari make. ubu abantu bo hanze bararetse guterefona kuko biragoye. plus tureka guterefona ,plus baburiramwo vyose. nibikebuke nyabunawe ,bakore nkibindi bihugu. ubu dukoresha whatsap, viber, line, muzodukurahe?mpore
Pour appeler ma famille, je dépensais 200EUR par moi. Aujour’hui, j’utilise viber, whatssapp et je dépense 0 EUR/ moi. None uwutakaza ninde ubu? C’est le gouvernement.
Les écoutes existent depuis depuis bien longtemps, d’abord sur le fixe. En France, vous pouvez votre conjoint sur écoute pendant un mois à 700 euros seulement. Les messages peuvent être interceptés et transformés et vous les recevez avec le même numéro de départ. Méfiez des rendez-vous suspects. Ce n’est pas nouveau.
Merci Kaburahe;
Abatwara i burundi sinzi iyo bakura abahanuzi babo! jewe ntangorane nogira cane iyaba ayo mahera yaja muri tresor publique nopfuma mvunga nti azofasha abanyagihugu ariko aya kumbure aja mumifuko yabatari banayakeneye niba atagura vyabigwanisho tumaze iminsi twumva bagurirwa imbonerakure vyo muri rapport ya ONU.
Ceux qui haussent les prix des appels entrants se trompent énormément. Saviez-vous que des membres de la diaspora souhaitant investir au pays prenaient généralement leur temps d’échanger avec les partenaires au Burundi parce que les communications le permettaient ? Aujourd’hui, c’est fini! Comme on dit souvent, trop d’impôt tue l’impôt ; comme vouloir engranger trop de bénéfices sur les appels téléphoniques entrants ne fait que dissuader les membres de la diaspora de continuer à perdre leur temps et leur argent. C’est quand même déplorable que cela se passe au moment où le Gouvernement burundais était dans la phase de vouloir impliquer les membres de la diaspora dans les activités de développement du pays et que, en même temps, il met en place une politique pareille en matière de taxation des appels entrants. Ils devraient vite revoir la copie!
Une chose est sûre, c’est qu’il n’y a pas de développement sans télécommunication. Ce que le gouvernement du Burundi a fait en surtaxant les appels entrant aura comme finalité de perpétuer la pauvreté parce qu’apparemment les princes qui nous gouvernent ne comprennent pas le sens du mot développement. Je me dis que ces gens ne font jamais de recul pour voir si leur mesure a porté ses fruits, mais pour ce qui est des membres de la diaspora comme moi, je n’appelle plus. J’envoie l’argent au pays et dès qu’ils ont besoin de moi, ils m’appelle. Sinon, je « bipe » et ils me retournent l’appel et le tour est joué. Avant la hausse je dépensais autour de 40$ par mois mais aujourd’hui, rien! Qu’est ce que le Burundi gagne alors? Rien. Si on veut investir, on ira ailleurs si c’est le voeux de cet Etat érodé par la corruption. Il y a quelques semaines une délégation conduite par le ministre des Relations Extérieures et de la Coopération a sollicité le concours de la diaspora pour appuyer le développement du pays qui nous a vu naître. Mais avec une communication aussi chère, cette tournée ne rapportera rien. Quand on ne peut pas appeler quand on veut et comme on veut c’est frustrant. Et en matière de business, quand on est frustré ici, on se déplace ailleurs.
C’est toujours la même chose: corruption, corruption et encore corruption…! Pour nous autres qui vivons en dehors du pays, appeler le Burundi est devenu non seulement cher mais aussi dangereux à cause des écoutes. C’est donc depuis belle lurette que nous avons cessé cette aventure-là.
Un autre fait très troubalant au Burundi est que les sociétés de téléphonie mobile se trouvant dans ce pays n’existent nulle part ailleurs dans les pays de l’EAC. Ceci n’est pas de nature à favoriser les échanges avec nos voisins… ! Il est clair que les intérêts de nos dirigeants ne sont pas dans le développment du Burundi. Ils se trouvent ailleurs, je veux dire, dans le business et la corruption. IGIHUGU SI ICANA KIZOBANANIRA BAKIBONA….!
Birababaje kutavugana n’abawe kandi ubukeneye; vyitwa embargon!
Ababigize barakwiye kwikebuka.
Ego gukoresha skype, viber, etc ntivyoroshe uvugana n’abavyeyi n’imiryango bari mu misozi.
Muragize neza « journal Iwacu » gushira ahabona iyi ngorane ihanze abari hanze n’imiryango yabo iri mu Burundi!
C’est dommage qu’on empêche de communiquer avec nos familles en haussant les impôts sur les appels entrant au Burundi. Aujourd’hui, notre pays est le plus cher au monde quand tu veux passer un appel. Même la Somalie est moins cher. Mais les autorités jouent perdant car personne ne peut plus se permettre d’appeler pour 1 euros par 2 minutes. j’ai déjà dit à mes proches que je ne vais plus leur appeler, on va utiliser d’autres moyens de communication comme les autres l’ont déjà dit. On verra où ils vont collecter ces fonds qui sont utilisés pour remplir les poches de nos dignitaires parce qu’ils ne sont pas versés sur le compte du trésor public.
C ‘est dommage kabisa. Jewe vyansiga. Thanks for talking about it. The last time I called home, I spent 30 euros and talk for 35 minutes. Imaginez vous cette horreur. Trop c’est trop, ni bahagarike.
On sait comment faire on n’appele plus au burundi on utilise Viber .Hors de question d’utiliser le systeme habituel
C’est seulement les naïfs qui appellent encore au Burundi de l’étranger. Ils sont nombreux avoir abandonné depuis longtemps.
j’ai 32 ans.
Depuis la venue du SMS avec Africel, j’ai grandi en voyant les jeunes , surtout s’envoyer des SMS. En ce temps Africel, devenu Tempo, avait le monopole des SMS entre jeunes. Maintenant avec la liberalisation « stupide » des operateurs de telephonie mobile, (le Rwanda n’en a que 2) dans les annees 2000-2012, il y a eu 7 operateurs :
– les grands : Leo, Tempo, Smart, Econet, Onamob
– installent des antenes utilises par les autres : BipTelecom, Lacel
Et les grands, se sont retrouves a se faire une guerre pour capter le marche juteux des SMS. D’ou ils ont fait :
– des campagnes de promotion ( argent depense sans assurance de resultat)
– des systemes de paquets ( Leo, Econet, …) ou on achetait une certaine quantite de SMS en bouquet
– des systemes de flottes ( …les intitutions , entreprises achetent des « bouquets » pour leurs employes…
– Econet a meme instaure pour un temps la reception des messages de Facebook sur mobile sous forme de SMS…, un tariff preferentiel de 5 BIF/SMS pour les etudiants
Tout cela caracterise un systeme de « guerre » ( OK, je sais qu’au Burundi…ce mot nous est familier) economique qui a permis aux jeunes et certains « vieux nkanje » de profiter des SMS « a gogo ».
cela a rabaisse la marge de maneuvre et le benefice aussi bien pour les telecoms et l’Etat. Comme l’explique le ministre du Redressement productif en France ( http://www.01net.com/editorial/580417/l-impact-de-free-mobile-serait-positif-sur-la-creation-demploi/ ). Cette guerre qui continue a se passer au Burundi.. (Yes! je me met aussi a salir mon pays. tout le monde le fait. Pourquoi pas moi ?), guerre economique ; a un impact que j’ai analyse dans mon travail de find de licence.
Les telecoms ont alors ouvert d’autres hostilites entre eux sur les appels telephoniques : « uzuza », « niwiyagire », « Leo Kiyago », … bref des options donnes a tous pour juste rechager (avec par exemple 1000 BIF), tu as l’opportunuite de passer des appels telephoniques « gratuitement » durant 24h.
Mais cela est un manque a gagner encore pour les telecoms affin de capter des abonnes! Est-on sur que lorsque les abonnes viendront dans votre reseau telecom ils vont continuer a depenser les 1000 BIF/24h ?
En tout cas ce ne marche plus,…. Je le sais bien.
E voila qu’est venue LA CATASTROPHE « WHATSAPP » (= Facebook…kuko yarayiguze)
Watsapp ( enfin, Whatsapp, Viber, Skype) permet a ladite jeunesse huppee, qui pouvais consommer pres de 2000 BIF/jour de SMS (oui, j’y est ete, je vous jure, dans ma jeunesse… j’etais chaud) d’acheter par exemple un bouquet de 5 MB (cinq megabites = 300 BIF dans Econet) et de passer toute une jornnee a s’envoyer sur Whastapp des messages, en groupe, des photos, des videos de jeunes burundaises dansant dans Cristall…..
Vous voyez le rapport 300/2000 ?
imagine un type qui te donnais 2000/jours, te donner juste 300/jours ?
Lisez ceci
http://www.businessdailyafrica.com/Corporate-News/WhatsApp-hits-telecom-firms–premium-SMS-business/-/539550/2140476/-/al41ckz/-/index.html
http://www.generation-nt.com/whatsapp-messagerie-sms-operateur-strategie-actualite-1856292.html
Or, les telecoms « voient loins » (….yep Imb…?), ils lisent ces articles que je viens de mentionner ( meme si vous ne les lisez pas !).
Ils ont perdu, ils sont entrain de perdre un marche des SMS avec Whatsapp, Viber, Skype, Facebook Messenger,… Et perdent aussi le marche des appels telephoniques a cause de Viber, Skype, bientot Facebook, qui a rachete Whatsapp va integrer l’appels telephonique.
:
« Il y a 4 ans, quand je voulais passer un appel international,…j’achetais « des unites de 2500 BIF » dans Tempo ou Smart,..et je pouvais parler … 16 Min ( 150Bif/Min).
Maintenant je fais quoi ? Vous l’avez tous devine! j’achete pour 2500 Bif et j’ai 1 GB ( un gigabite) dans Leo, et je donne (sur Whatsapp = 0.01 Bif) rendez vous a mon cousin ari hanze sur Skype et on parle durant … 3 heures. » Et apres il en reste des megas que j’utilise avec Whatsapp.
So en definitive, le secteur des SMS est entrain de pericliter car « la jeunesse « high high » de Bujumbura ( et la jeunesse de la diaspora qui communique avec ceux qui sont ici) succeptible de depenser beaucoup pour la communication » est entrain d’utiliser des outils peu rapporteurs pour les telecoms => taxes Down => Etat pas d’argent.
So, que les telecoms augmentent les prix des communications,…CELA EST LOGIQUE pour toute personne qui comprend comment les entreprises travaillent. Sauf les Burundais bien sur.
Comme le rappelait un certain commentateur @Karimanzira dans l’article sur le poisson exporte aux USA, les burundais doivent savoir evoluer evec le temps.
Ps: j’ai travaille dans deux telecoms : Burundi + Kenya.
Ps: @M. Kaburahe … j’aurais aime qu’il y ait autant de commentaires sur les articles econimiques comme celui-ci et mais merci quand meme pour cet article economique, cela rappele rimwerimwe que la vie au burundis n’est pas que politique : « la plus part des « politiciens » batukana sur ce forum, ne veulent que de l’argent ». cette deriere sitation est la mienne. c’est un constat.
Le soucis c’est que tu as mal compris le problème( si c’est pas fait exprès). Les prix sont en hausse parce c’est le gouvernement qui a augmenté les taxes et les télécoms ne gagnent rien sauf que le tarif fait fuir les clients. En résumé le peuple + compagnies télécoms souffrent de ces taxes qui vont sur un compte décrié par les citoyens
nope. Le vrai problème des entreprises capitalistes et du gouvernement c’est qu’ils veulent conserver la même marge de bénéfices/taxes avec les mêmes produits (SMS, appels). Le gouv et les télécoms voyant leur bénéfices fondre; s’empressent d’augmenter les taxes/prix. Les télécoms voulant getter le seul tort sur le gouvernement car ils espèrent que celui-ci va diminuer les taxes. Est-on sur que les télécoms vont eux aussi diminuer les prix ? je ne sais pas.
mais dans les pays ou ce dilemme c’est caractérisé, les télécoms ont investi d’autres secteurs comme le « mobile money »: http://en.wikipedia.org/wiki/M-Pesa
Exemple au Burundi « Eco Cash » (avec econet) et « Leo Manoti » (avec Leo)
Dans tous les cas c’est le gouvernement qui a tort car il veut gagné beaucoup alors qu’il n’a pas investi pour développer le réseau électrique afin que le peuple puisse utiliser facilement les télécoms.s’il y avait de l’électricité dans tous les coins on aurait vu les télécoms investir dans la télévision, internet, la pénétration des carte sim percerait considérablement, et le gouvernement verrait l’augmentation des emplois bénéfiques créés. Malheureusement la question d’énergie se fait sentir même à Bujumbura. En tout cas le vrai problème reste l’égoïsme des dirigeants qui, au lieu de chercher à faire avancer le pays, font tout pour s’enrichir
@Sérieusement: Uriko ushaka kuvugira Leta ariko twaguhinyuye. Iyo analyse ugize yari kuba isiguritse ayaba ari abo ba opérateurs economiques bashatse kuduza ibiciro kubushake bwabo. Ariko ivyo tuzi nuko ari Leta yadugije taxe , iyo taxe ikaba itaninjira no mu kigega ca Leta. Ce plus qu’une corruption, c’est de la mafia, un point, un trait!!! Urahenda abandi!!!!
1G=10,000Fr burundi
Même skype vers téléphone est surfacturé : 0,46€, alors que le mois dernier c’était: 0,11€
Si vous voulez appeler moins cher avec Skype, faut avoir un abonnement. Il vous faudra l’equivalent de 10£ pour 120 min au Burundi durant un mois. Fini votre credit avant que ne s’ecoule un mois, vous devez acheter des credits Skype dits « pay as you go » qui coûtent plus cher. Avec ces derniers, vous pouvez appeler où vous voulez, ce qui n’est pas le cas avec les credits abonnements qui ne concernent que le pays pour lequel vous vous abonnez.
PS! Faut eviter le rechargement automatique de votre compte, comme ca vous renouvellez votre abonement uniquement quand vous avez besoin d’appeler.
Je pense qu`ils n`ont pas encore constaté qu’avec l’abonnement on paie moins cher.
Tout ça me rappelle l’intervention de Jacques BIGIRIMANA sur une des radio de Bujumbura, Chef de zone de Kanyosha en son temps, lorsqu’il était accusé de spolier les petits paysans de leur terres pour les distribuer aux « dignitaires ». Il a répondu comme suit: Le chef de zone est une autorité, il a le droit de manger et donner a qui veut manger à manger. Sommes nous dans la même logique aujourd’hui. Je n’ai franchement pas de réponse.Mais c’est exécrable!!.
J’ai pris la résolution de ne plus appeler au Burundi! Avant je payais 0.16$/minute et maintenant c’est 0.56$/minute.
Avec 1000FBu j’échange avec toute ma famille pendant une heure sur Skype!
C’est une mauvaise gestion globalisée de nos dirigeants. Quand nous avions un parti unique et des dictateurs:la vie n’avait jamais devenue chère jusqu’à ce niveau;Faut t-il revenir en arrière, je ne l’espère pas et je ne le souhaite pas, mais il faut chercher des moyens pacifiques et démocratiques pour éliminer un gouvernement qui ne veut pas l’intérêt général de la nation.
Kabaye noneho quand la politique s’invite en communication! Penses-tu que l’homme politique serait lié à la finance de l’ARCT!!! Pauvre apprenti sorcier.
C’est claire trop d’impôt tue l’impôt, nos chers dignitaires vont s’en rendre compte quand il sera trop tard. Les appels entrants vers le Burundi sont non seulement devenus trop chers mais aussi trop rares. Les gens de l’étrangers ne nous appellent plus, quand c’est nécessaire nous les appelons depuis le pays. Il faut aussi analyser les autres secteurs de l’économie nationale, les importations de véhicules d’occasion sont au ralenti, avec l’incendie du marché centrale le petit et moyen commerçants qui s’approvisionnaient à Kampala ont arrêté leurs activités, la dernière hausse du prix de carburant avec des sommes versées dans des comptes non officiels présagent de mauvaises pratiques…. Monsieur le Président, le navire prend de l’eau!!!!
« … n’est plus en odeur de sainteté … ». Que voulez-vous dire par là? Je suis pauvre en Français
J’aimerais lire les avis de certains su le forum en me répondant à mes trois questions:
Pourquoi cette taxe n’est pas collectée par l’OBR ?
Quel en sera l’usage et quel avantage pour le citoyen lamda?
Puis pourquoi de nouvelles taxes comme taxe de sureté et celle sur les appels entrants vont directement vers des comptes spéciaux et non dans le trésor public? Cela se fait il ailleurs?
Merci
@ Nzobandora.
Arrêtez de vous poser toutes ces questions là. L’argent va dans la poche des généraux et du parti et tu sais de quoi je parle. Et cela ne se fait nulle part ailleurs dans le monde. Le Burundi et ceux qui le dirigent sont devenus des cas atypique sur la terre.
c’est vraiment ridicul. nous les burundais de l a diaspora nous supportoms nos familles au pays. mais la communication devient de plus en plus difficile. alors dans d’autre pays on baisse les prix de la communication pour encourager les investisseurs , chez nous les prix montent.
Mes chers amis, nos dignitaires doivent vivre et mieux vivre!!! Comment? Il faut rehausser les taxes sur le carburant, la bière, la communication et j’en passe pour remplir les caisses actuellement vide et permettre ainsi à nos dignitaires d’avoir où puiser!!!