Des lecteurs et amis d’Iwacu nous ont critiqué pour avoir répondu à l’invitation du 1er Vice-président. « Cela participe à sa légitimation », ont même avancé certains.
Je pense que l’on nous fait un mauvais procès. Monsieur Sindimwo occupe aujourd’hui la place que tout le monde connaît. Il nous a invités pour « échanger sur la manière de ramener l’espoir et la sérénité entre les médias indépendants et le gouvernement ». Quel journal sérieux refuserait pareille invitation ?
Certes, je ne suis pas naïf, à voir la noria des diplomates, responsables religieux et autres leaders d’opinion, le 1er Vice-président est engagé dans une véritable opération de charme, un plan de communication. C’est un politicien après tout…
Moi, ce qui m’intéressait, c’étaient les médias. J’ai dit que « la solution se trouve plus du côté du gouvernement que des médias aujourd’hui réduits au silence ». J’ai rappelé que les responsables des médias détruits n’ont même pas eu accès à leurs locaux, pour constater au moins l’étendue des dégâts. J’ai souligné que la raison avancée, les fameuses enquêtes, ne tient pas la route. M. Sindimwo et ses conseillers ont pris bonne note.
De son côté, il a reconnu l’importance des médias. Il veut que l’on écrive une nouvelle page dans l’histoire des médias burundais. D’après lui, les journalistes exilés doivent rentrer « participer à la reconstruction ». Pour lui, cette rencontre est le « début d’un processus de normalisation ». Il faut « recréer l’espoir et la sérénité entre les médias indépendants et le gouvernement. »
Il veut servir de « pont », insiste-t-il.
Un beau programme n’est-ce pas ? Mais est-ce que ce ne sont pas seulement que de belles intentions ? Aura-t-il les moyens de sa politique ? En attendant, saluons l’initiative et restons optimistes. Nous allons juger sur pièce.
Gaston Sindimwo n’a aucun outil pour s’acquitter correctement de la mission généralement attendue du Premier Vice-Président par les temps qui courent. J’ai peur que le temps soit infiniment long pour lui vu ce qui se passe quotidiennement. C’est sur son terrain que rien ne va. Regardez la sécurité, sa premiere mission, qu’en dit-il? Tout se passe comme s’il n’existait pas! Des cris partout, des enlèvements, deportations vers des destinations inconnues, cadavres trouvés avec mains liées derriere, on voit la population désespérée! Maintenant on entend que des « militaires » exclusivement ex-FDD sont envoyés dans des communes ayant manifesté. A quoi peut-on s’attendre? Sindimwo et son appareil secrétaire semblent être en congé et ce depuis longtemps. Enfin, il n’y a aucune différence entre maintenant et avant sa nomination au poste de Premier Vice-Président au niveau des responsabilités, si non laquelle? En invitant les journalistes, il a trouvé une astuce pour faire la différence entre un garçon de ville et les « watoto wa bilimani » comme Martin Nduwimana et Terence Sinunguruza et je le défie d’aller plus loin! Qu’il aille visiter, non pas une prison, mais un quartier soumis au blocus pendant des jours. Il aura montré quelque chose. Je serais heureux d’avoir tort. « Ntimurondere amata mu matako y’igikere. »
Le poste de president est vacant depuis le 27 Aout 2915. Celui de vice-president: IDEM
Gaston Sindimwo (Sindano) sait dans un Etat de droit, il serait peut etre artiste quelque part, non pas pour dire que les artistes ne peuvent pas gouverner. Mais, il n’echapperait jamais aux competiteurs bcp plus qualifies, qui ne comptent pas la « Participation a L’anniversaire de la Nigeria » comme realisation immense!
Sommite de la HONTE nationale. Insulte au peuple tout entier.
Pour faire un pont il faut du bon acier et un béton bien dosé. Un personnage sans conviction ,marionnette, sans pouvoir décisionnel peut à votre avis servir de pont. Oui les ponts en terre battue existent.
Un pont sur des rivieres de sang, jonché de cadavres…Non Merci!
Mr kaburahe, Gaston est un pont qui mène à l’enfer! Demanded aux membres de l’Uprona!Avant lui, 16 députés, après lui, 2.
.
Monsieur Kaburahe,
C’est très facile de vous critiquer, mais il y a très peu de gens parmi nous capables de faire ce que vous faites.
Il faut aimer votre métier pour pouvoir l’exercer:
1) Quand vous dites une chose, vous dérangez nécessairement quelqu’un: celui qui se sent mal à l’aise de ce que vous dites.
2) Vous êtes sur le terrain, vous pouvez être agressé par celui qui n’est pas content de ce que vous dites. En même temps vous recevez toutes sortes de critiques de la part de ceux qui sont confortablement assis en dehors du terrain en toute sécurité.
Votre métier vous expose à être agressé physique et moralement (par nos critiques ), Il faut avoir des nerfs solides pour continuer.
Cher Monsieur, je suis très touché par vos paroles. Merci beaucoup. Antoine Kaburahe
Cher Antoine
Le plus surprenant c’est que tu puisses être naïf à ce point ou nous faire croire cela. Je vais te dire ce que tu sais mais que tu as volontairement omis. Sindimwo ne représente ni l’opposition ni les tutsi car il est congolais c’est un pantin qui attend gentiment la fin du mois. Tu as perdu ton temps et le notre.
@Kola, Sindimwo est peut etre d’origine congolaise mais il n’est pas congolais. Son pere est ne ici et lui meme est ne ici au Burundi donc il est Burundais. Tu peux l’accuser de plusieurs chose mais burundais il est burundais
@Kola
Dire que Gaston Sindimwo ne représente quoi que ce soit au Burundi parce qu’il est congolais, ntitwobitebako cane au moment où le Burundi compte à date des victimes innocentes tenant de leur burundité, si je me permets de le dire ainsi. Eh oui, des natifs burundais et même naturalisés burundais ont été et sont encore massacrés, discriminés, harcelés et pourchassés par leurs compatriotes à cause de leurs origines ethniques, tribales ou natales burundaise vyumvikana ko kwitwa umurundi mu Burundi bitagifise valeur significative atari mu bwicanyi no mu ndyane honyene. Raba namwe ingene muriko mucafuza Sindimwo kubera uwo mugera w’amacakubiri, murateye isoni nukuri! None abahabwa nationalité burundaise ata n’iraso ry’abarundi bafise muribo kandi batavuga n’ikirundi, bobo mubafata gute?Ivyo mu Burundi n’abarundi ni hatari kabisa!… Si vous saviez le nombre de réfugiés burundais baha nationalité des Peuples badahuje n’urukoba ntimwosubira kwivugisha ayo yose mwitoza kuri Sindimwo. Kandi iyo mvugo n’amajambo nk’ayo, yerekana vyukuri aho ubwenge et ouverture d’esprit vy’abarundi racistes et ethnistes bishika, en tout cas pas au-delà du bout de leurs narines!…
Bien dit…
Mr Kaburahe, s’ il faut négocier l’ ajournement de la peine de mort des médias indépendants, ou à défaut de cela, négocier la manière dont ces derniers seront inhumés, je crois qu’ il aurait fallu rencontrer le procureur général au lieu de rencontrer Gaston.
Qu’ est ce que vous lui avez dit qu’ il ne savait pas ou qu’ est ce que Gaston peut vraiment faire pour les médias indépendants ? Rien!!!!!!!!
Gaston Sindimwo est une marionette aux mains de Pierre Nkurunziza.Il occpue la place ou il par la volonte d’un homme et sa clique dont les intentions et les actions sont bien connues et decriees tant au pays qu’a l’exterieur.Il a ete nomme par un President mal elu et conteste pour tenter de redorer son blason comme Agathon Rwasa est utilise par le gouvernement pour des missions de charme dans les pays voisins afin de faire accepter le 3eme mandat de tous les malheurs aux autres chefs d’Etat de la region tout en refusant le dialogue avec l’opposition.Gaston Sindimwo a tres peu de marge de manoeuvre parce qu’il ne pese pas grand chose au niveau de l’electorat national.Une fois que son capital de sympathie au sein du CNDD-FDD sera epuise, le pouvoir le jetera comme un morceau d’etoffe use.Seuls les naïfs pourront etre seduits par son discours malgre sa bonne volonte.
Mon cher Antoine,
Personne ne devrait te reprocher d’avoir répondu à l’invitation du Premier Vice-président. C’est une question de simple courtoisie.
Cependant, il ne faut pas se faire d’illusions. M. Gaston Sindimwo ne représente que 2% de l’électorat que la CENI a bien voulu donner à son aile dissidente de l’UPRONA. Autant dire qu’il ne représente rien et personne du point de vue électoral bien entendu et que le poste qu’il occupe lui a été attribué sans que son parti ait obtenu les 5% exigés par la Constitution.
Du reste, s’il fallait récompenser son aile dissidente, c’est Mme Concilie Nibigira qui aurait dû hériter du poste de Première Vice-présidente. Sa seule faute serait-elle qu’elle ne serait pas tutsi ? Mais est-ce que le Prince Louis Rwagasore et ses compagnons ont créé le parti UPRONA pour servir de garde-manger pour les Tutsi exclusivement ?
Cette aberration et cette insulte à la mémoire de Louis Rwagasore et à celle de ses compagnons de lutte, Hutu, Tutsi, Ganwa et Européens, a été instituée dans le contexte des négociations d’Arusha. A la place, Mme Concilie Nibigira a obtenu un strapontin ridicule de Directrice générale de la Mutuelle de la Fonction Publique. S’il fallait récompenser la trahison des valeurs de l’UPRONA, c’est M. Gaston Sindimwo qui aurait dû hériter d’un poste pour les seconds couteaux de la République.
M. Gaston Sindimwo ne représente rien, sur le plan politique s’entend et non sur le plan personnel, car il ne fait pas partie de l’oligarchie mono ethnique hutu qui forme le premier cercle du pouvoir autour de Pierre Nkurunziza. Cette oligarchie est constituée de quelques généraux de l’armée, de la police et des services de renseignement. C’est cette oligarchie, relayée par quelques députés, sénateurs, ministres et hauts fonctionnaires tient l’essentiel du pouvoir. M. Gaston Sindimwo est utilisé comme un pion sur un échiquier où le roi et la reine font le beau temps et la pluie. Quelques fous de Dieu s’agitent sur cet échiquier mais ils ne font pas le poids.
M. Gaston Sindimwo ne peut pas promettre que les médias détruits, fragilisés et même les médias existants, retrouvent un fonctionnement normal sous le régime actuel. D’une part, et cela a été relevé déjà, le gouvernement souffle le chaud et le froid. Le rapport élaboré par une commission de magistrats, validé et avalisé par le Procureur Général de la République, insinue que les médias détruits par le gouvernement sont accusés d’être les complices des militaires qui ont organisé le coup d’Etat manqué du 13 mai 2015.
Les magistrats qui ont rédigé ce rapport ainsi que le Procureur Général de la République n’indiquent jamais que ces médias pourraient être « présumés coupables de complicité avec les militaires putschistes ». Non, ils ont été déjà condamnés à mort puisqu’ils ont été brûlés ou détruits avant l’enquête judiciaire.
C’est amusant d’ailleurs et c’est triste en même temps de voir que le gouvernement tente maladroitement de justifier un crime par une enquête judiciaire partiale posthume. M. Gaston Sindimwo ne pourra rien, et il le sait, pour inverser cette logique implacable qui se donne des allures d’enquête judiciaire à charge et jamais à décharge.
Enfin, M. Gaston Sindimwo, malgré sa bonne volonté, s’il en a vraiment, ne pourra rien pour sauver le gouvernement pris dans son propre piège.
Car le gouvernement issu des dernières élections contestées n’a plus aucune marge de manœuvre. Pourquoi ? Il ne pourra pas rétablir les libertés fondamentales qui constituent une démocratie.
La liberté pour les citoyens d’accéder à des sources multiples d’information, donc à un paysage médiatique diversifié, la liberté pour les citoyens burundais de manifester dans la rue pour exprimer leurs opinions tout en respectant les règles de la sécurité publique, la liberté d’entreprendre, c’est-à-dire de créer notamment des entreprises de presse privées, la liberté d’association pour les partis politiques et les organisations de la société civile, le droit du citoyen pour participer à des élections libres et transparentes, la séparation effective des pouvoirs et notamment la libération de la justice afin qu’elle lutte efficacement contre les crimes de sang, la torture, les enlèvements, la séquestration de prisonniers politiques, bref, toutes ces libertés et droits prévus dans l’Accord d’Arusha et dans la Constitution ne pourront jamais être rétablis par le gouvernement auquel participe M. Gaston Sindimwo. Car, si ces droits et libertés étaient rétablis, le régime imploserait en une semaine.
En effet, le régime, pour se maintenir, ne peut qu’utiliser la force, la contrainte, la violence, les enlèvements, les exécutions, la torture et surtout la négation de la liberté d’information, d’opinion, d’expression et la liberté des médias. Il est probable d’ailleurs que la loi régissant la presse de 2014, votée par le Parlement de la magistrature précédente, ne soit jamais ratifiée par le Président autoproclamé de la République. Car toutes ces libertés et droits fondamentaux sont liés. Il est impossible d’avoir des médias libres dans un pays où tous ces autres droits et libertés sont bafoués et foulés au pied par le régime politique.
A vrai dire, M. Gaston Sindimwo est utilisé pour gagner du temps et pour amuser la galerie. Il faut sans doute le rencontrer, discuter avec lui mais clairement, il faut lui indiquer qu’il ne pourra, hélas rien pour rétablir les médias détruits dans leurs droits. Ne serait-ce que le droit à la présomption d’innocence !
Athanase Karayenga
Jamahaar,
Arrête de taper fort!
Personne n’a forcé Gaston Sindimwo de siéger à la première Vice-président ni pousser le Peuple burundais à mal voter pour Nkurunziza. La Gouvernance Cndd-Fdd, qu’elle soit mal ou bien quotée, irabandanya pareil et ce, jusqu’à nouvel ordre. Nihaza iyindi pouvoir, on s’y accomodera en temps et lieu, mais pour le moment c’est ce qu’il y a sur le plat /assiette qu’il faut manger, uwudashaka nawe nashakire ahandi canke arindire le ou les prochains…
Je suis pessimiste, les radios privees detruites n’emettront plus durant toute la periode de ce 3eme mandat.
Esperons que ce 3eme mandat sera trop court car la constitution burundaise n’a pas prevu la duree d’un mandat imprevu par la meme constitution.
mon amis;tu as vraiment raison!!moi aussi j’ai la meme idée sauf que je n’ai pas d’espoir que le 3em mandat anticonstitutionel sera courte!plutot j’ai peur qu’il sera trop longue de plus qu’on puisse l’imaginer!
Vous avez bien fait Monsieur Kaburahe.
Aussi longtemps que les médias fermés et détruits n’auront pas désigné un porte-parole unique et que d’autres médias encore en activité peuvent être frappés de la même manière, quiconque organise un forum de discussion sur la manière de rétablir la liberté de presse dans ce pays, passant par la réhabilitation (physique, matérielle….) des infrastructures détruites, devrait plutôt recevoir un auditoire bien avisé pour lui faire comprendre l’impact négatif de cette situation, sur le développement intégral du pays.
Qu’il s’appelle Sindimwo, Nyamitwe, ou même le responsable direct de cette situation une fois connue et pour autant que la communauté international, les opérateurs économiques frustrués, la société civile et le reste du secteur privé muselés y sont invités, répondez toujours présents.
Bonne initiative Tony
Je suis pour la reprise des activités des médias. Mais je crois que certains journalistes doivent mettre de l’eau dans leur vin. Surtout à la RPA. Et ceux qui ont ouvertement adhéré au CNARED ne devraient plus nous dire qu’ils sont des journalistes indépendants. À la RPA, je crois que certains sont très zélés et tombent facilement dans le piège. Vous les journalistes devez déjouer les pièges des politiciens malhonnêtes (surtout dans l’opposition) qui veulent vous utiliser.
Dis-moi, Tony si je fais fausse route.
Mutana M
Bien sur que tu fais fausse route.Les politiciens de l’opposition que tu accuses de malhonnêtes ne sont pas ceux qui ont incendié et détruit les média privées.Qui avait intérêt à ce que les média se taisent? La réponse est évidente.En outre,Sindimwo prône un dialogue d’une part,et le procureur lance des mandats d’arrêts à l’encontre des journalistes d’autre part.L’on ne peut pas vouloir une chose et en même temps vouloir son contraire.Le dialogue sans la bonne foi est inutile.
Il a été le pont de discorde au sein de l’uprona, je ne le vois pas être le pont de la concorde dans quoi que ce soit.Judas reste Judas.
Sur ces actes, il faudra le juger vous dites! Mais, certains connaissent deja l’homme! Quel pouvoir a-t-il avec son score obtenu??? Sinon, s’il est vraiment Uproniste, comment se fait-il qu’il garde son silence alors que des hommes (en majorite jeunes tutsis) sont arretes sans aucun avis de recherche dans leurs quartiers, au milieu de la ville, le jour ou la nuit, pour etre soit emprisonnes (les chanceux), soit etre tortures jusqu’a la mort comme ca se fait? Dans ses attributions, la securite: peut-il visiter la documentation ou la prison pour se rendre compte du degre de la violence? Un hutu repecte (alors premier ministre ), avait eu le sang froid de visiter et faire liberer des compatriotes hutus injustement arretes et emprisonnes a Mpimba par abus militaire. Aaah, Monsieur le 1er-vice est defini comme Congolais d’origine par certains
Alors UPRONA= TUTSI? Depuis quand ?
Mr le journaliste que sindimwo ne serait pas marionette, etonant!
Qui vivra verra.
Un vice président n’osera jamais se dresser contre les intérêts de son chef, sinon il sait à quoi s’attendre. Je me dit qu’il veut seulement gagner du temps et nyakuriser tous medias. Ceux qui resisterons ne reouvrirons jamais. https://mobile.twitter.com/Emayi2011/status/644789360127250432?p=v
Cher Kaburahe , je pense que le « pont » est déjà cassé avant même d’être « jeté » . Ceci dit je ne suis pas d’avis avec ceux qui vous reprochent votre présence chez le vice président . Cependant comme Mr Sindimwo peut il demander aux journalistes de rentrer lorsque vous même avez du attendre plus d’un mois pour récupérer votre appareil photo? Et puis comment croire aux bonnes intentions du gouvernement lorsque le procureur de la république jette dans la marre en osant affirmer que les journalistes étaient de mêche avec les putschistes ? Eh non les journaliste peuvent rester là ils sont, En espérant que ce gouvernement laisse la place à un autre au maximum dans 5 ans .
komera mutama kaburahe,sindimwo uti komera kumuheto, tuzomumenyera kubikorwa nivyo bizomuhesha iteka.
Kaburahe, comment oses-tu inviter les journalistes exilés à rentrer alors que tu vois les crimes qui se commettent au quotidien à Bujumbura, lieu de travail ?
Est-ce que je peux avoir une réponse? Merci anticipativement .
Yayo, igifaransa kiragoye. Il faut relire l’article avant de demander une réponse à l’auteur.