Les commerçants ambulants pourront désormais vendre leurs produits en toute liberté. Cependant, ces derniers doivent avoir un chiffre d’affaire ne dépassant pas 2 millions de francs burundais.
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Nous pouvons supposer que ces pauvres commerçants ambulants seront encore de toute manière rackettés d’une manière ou d’une autre. Les autorités vont dire que ce sont des mensonge, mais pourtant, quel intérêts les gens auraient-ils de dire que chaque fois qu’il y a contrôle pour une raison bien souvent pas définie, on les fait payer pour être soit relachés, puisqu’ils vont si facilement en prison, soit autorisés ; alors qu’on nous prône que c’est gratuit. Il suffit d’écrire une lettre et après l’autorisation est gratuite. Eh bien permettez moi d’en douter. La corruption étant le maître mot et ceux qui se sentent plus forts, bien entendu oppriment encore plus les plus faibles. Ca ne date pas d’aujourd’hui. Dire en plus que c’est pour une question de sécurité, depuis quand vendre de la marchandise sur un trottoir engendre de l’insécurité. Elle est plutôt du côté de ceux qui possédent des armes et prennent plaisir à s’en servir. C ‘est ça l’insécurité dans ce pays et particulièrement dans Bujumbura. Qui crée d’ailleurs cette insécurité ou un honnête citoyen ne se sent plus tranquille nulle part ? A j’oubliais, tout va bien dans ce pays !