Il s’appelle Corenabu (Conseil pour la reconstruction de la nation du Burundi) Sa devise : Paix, progrès et prospérité. Il est né à Safari Club Hotel, Nairobi, samedi 16 avril.
Dans une conférence de presse, son président, Dr Dieudonné Birahinduka a précisé que le Corenabu est un mouvement politique indépendant qui veut proposer aux Burundais et à la Communauté internationale un mécanisme de sortie de la crise actuelle.
Dr Birahinduka fait le constat : « Le Burundi est plongé dans une crise à la fois politique, sociale et économique sans précédent depuis que le Président Nkurunziza a violé l’Accord d’Arusha (socle de la stabilité politique du pays) et la Constitution (texte d’application de l’Accord d’Arusha) en forçant un troisième mandat politique en avril 2015».
Le pays ne peut donc pas rester dans cet état d’impasse. Selon le président du Corenabu, il y a nécessité d’avoir une option de sortie crédible et viable. « Celle-ci devrait être différente à la structure politique actuelle et serait composée de personnes jamais impliquées dans les problèmes politiques du pays, des personnes qui n’ont pas de sang sur les mains».
Selon Dr Birahinduka, ce seraient des personnes dont l’objectif principal est de conduire le pays dans une bonne voie, l’orienter et le restructurer sur base des véritables valeurs du pays, fondement d’un Burundi paisible et prospère.
Pour cela, poursuit-il, il faut une transition, bien soutenue par la Communauté internationale, vers des institutions démocratiques bien organisées. « Il en sortira un pays stable dans une région stable».
D’après Dr Dieudonné Birahinduka, les membres du Corenabu sont des Burundais de la diaspora et de l’intérieur du Burundi. «Les premiers possèdent une expertise internationale en matière de bonne gouvernance et les seconds connaissent
l’environnement local et peuvent drainer la population autour des projets de développement durable».
Trois questions au président du Corenabu
«Le Corenabu vise la recherche de solutions par des moyens pacifiques»
Après l’exposé, le président du Corenabu a répondu aux questions des journalistes.
Q1 : Est-ce que le Corenabu ne vient pas s’opposer au Cnared ?
Notre modèle est fondé sur une coalition de tous les Burundais de l’intérieur et de la diaspora, des Burundais de toutes tendances appelés à être ensemble pour reconstruire le pays. Or, le Cnared est une coalition des partis politiques réunis suite au troisième mandat de P. Nkurunziza et la violation de l’Accord d’Arusha. Elle est faite des gens qui ont servi le pouvoir pendant 20 ans et 30 ans et parmi eux il y en a qui ont servi le pouvoir actuel pendant plus de dix ans.
Q2 : Pourquoi le Corenabu maintenant. N’est-ce pas une stratégie pour figurer parmi les négociateurs afin d’avoir des postes ?
Notre rôle primordial est de mettre en place un mouvement avec une vision dont l’impact est à long terme. Notre vision et nos plans, c’est de sortir le pays des crises cycliques afin de le bâtir sur des bases solides. On ne vise pas de postes, d’ailleurs aucun membre fondateur n’a occupé de place de responsabilité dans les gouvernements qui se sont succédé. Ce n’est donc pas leur ambition.
Q3 : Pas de main du pouvoir de Bujumbura dans la création du Corenabu ?
Les membres fondateurs de notre mouvement n’ont ni participé dans les activités du pouvoir actuel, ni été ses opposants pendant les dix dernières années. Le mouvement ne vise que la reconstruction de notre chère patrie.
Burundi has suffered enough ….allow the future generations the right to have peace and the permission from this generation to build a cohesive Burundi which respects difference and integration at a human level …this is the only way that you will be able to transmit your values to give Hope to the children of Burundi …..you have the resources and the potential to unleash permanent peace in your country and the future of the next generations is your responsibility …you can continue to fight among yourselves and continue to suffer and delay the progress that your country is eager to make …we are all gifted with a brain and a heart …let the two work together for the children of Burundi …it is their right ….open your hearts and your mind …the world is ready to help you and alleviate the pain and suffering that you are all going through right now ……!
Comme l’autre a dit en haut,ces politiciens ico bazi ari ugucritiqua le pouvoir ata changement nimwe bariko bapropoza abanyagihugu bibaza iki? hasigaye imyaka itatu ayandi matora abe,batangure kwifukabwakeye! Y a t il un parti qui peut proposer l’exit de la francophonie? Sinzi ko vyokworoha mugabo ndabona vyodufasha kuko ntamahoro,nta terambere kubihugu francophones!
@Corenabu: « Celle-ci [option de sortie] devrait être différente à la structure politique actuelle et serait composée de personnes jamais impliquées dans les problèmes politiques du pays, des personnes qui n’ont pas de sang sur les mains»/ Par Dr Dieudonné Birahinduka.
C’est quel burundais qui n’est pas impliqués dans les problèmes ethno-politiques hutu-tutsi du Pays? Uwudafise amaraso mu biganza arafise ukundi ari impliqué murivyo, sinzi uko mwiyumvira mwebwe, namba muzokorana n’abatwa batagirizwa na kimwe mu Burundi. Murambarira iyo miraculeuse option de sortie salvatrice du Peuple burundais iyariyo et je vous dirai bravo et félicitation !!!
Umviriza mbe muvandimwe wanjye (as burundian),
Nawe se ufise amaraso dans/sur tes mains? Ntekereza ko koko nimbe ataherekejwe na groupes opposés, byoba ari sans faute, two muja inyuma.
Aho ndagushigikiye
Nitwemere ko twese atawuvuyemo turi abanyakabi twihane atakuvangurana canke kwgirizanya. Iyo umaze kubona ko uwundi afise amakosa kukurusha ni uko uba ahubwo wewe umurusha. Kuvuga ko ata maraso bafise canke atabutegetsi barimo canke ngo babugwanye nibaza ko ari indoto iuba ryaka. Iyo biba ari nkibibazo bimaze imyaka nka 10 gusa vyokwumvikana ariko imyaka irenga 40 hama hakavug abarundi bitaraba numva ari uruhendo. Erega nkuko kenshi biba biri abari hanze ni uko baba baragize imana zo kujayo nabo benshi bajayo (Iburaya) bafashijwe nabavyeyi. None ko usanga bamwe bmwe mubavyeyi cnke mukibano mbere no mumiryango bafise ivyo biyagiria wewe utigeze ubagiria kubera ububaha canke ari abaryango wumva utaba wabafashije mukibi?
Tweeese atawuvuyemo twemere amakosa hama twihanure tubane mumahoro, uburyarya, agasuzuguro nubwishime tubihebe. Ivya ndakurusha umuryango tubivemo dusangire umucumbisho icobo kimaramare.
Bareke bagugune! Ndakurahiye buca kabiri bagatangura kugugunana! Umugabo umwe yabajije uwundi ati:
« Mbega aho urwanda rwatera waragize ubwoba? ». Uwundi ati: « Oya »! Uwundi ati: « Ntawowagira ». Burya iyubonye umuntu yica uwundi ugahora ntugire ngo nawe namahoro kuko buraca bugacana ayandi kandi uwo yapfuye aba yakuyemwo urwiwe! Uyo mwicanyi nyene niwe bitebe bitebuke atangura gutoteza Ababa basigaye!
Parole! Parole! Parole!
ET bien oui
Il n’a pas et n’a pas occupe de pose politique au Burundi. Mais il est bien place dans le secteur public de sante UK.
Il veut une autre voie de sortie de la crise au Burundi mais il l’annonce au Kenya.
Il n’est pas dans l’opposition meme non plus dans la mouvance mais il cree un mouvement a l’etraanger.; mouvement par ailleurs qui est meconnu au mininter, donc qui fonctionnerra comme senared ou ikibiri.
Moi j’y trouve rien de nouveau; c’est une creation occidentale (cfr expertise administrative internationale) qui n’est rien d’autre qu’un levier du economical sniper.
Le ver est dans le fruit; purifions nos ames et consciencees et tout ira bien.
Aide toi le ciel t’aidera!
Des questions simples et de bon sens:
Combien de projets de société faut-il pour le Burundi ? Autant de projets que les partis politiques ?
Les politiciens ne parlent pas de projets de société, ils critiquent ceux qui sont au pouvoir. Celui qui veut le pouvoir en 2020 c’est maintenant qu’il doit séduire le peuple par ses actions. Va-t-on parler d’Accords d’Arusha, de dialogue inclusif, de transition etc.jusqu’en 2020 ? Et après 2020 on va dire quoi ? Toujours dialogue et transition ?
Pourquoi Birahinduka n’est pas avec la » synergie des acteurs et associations engagés au sein de la diaspora ». Au moins eux ils ont compris que les efforts disperses sont voues a l’echec. Bonne chance a lui, mais qu’il ne mente pas aux burundais comme l’autre qui a menti que » les choses sont comme boire du the » .
Qui est ce qui vous a dit que cette synergie est une panacee pour le mal Burundais???? Oh! Tu me fais vraiment pitie mon cher! Le Burundi est en mal de bonnes initiatives comme celle du CORENABU. Que les fondateurs du CORENABU nous disent plutot comment adherer a leur mouvement.
@Ndayizeye Dominique
Travaillez plus et parlez moins! Ainsi vous pourrez nous convaincre à vous suivre! Au fait, il y en a qui sont allergiques au blabla!
@Bakari tu as raison. Je comprend bien que les burundais sont fatigués des bla bla. Mais, malheureusement l’art de la politique c’est le discours pour convaincre. Et puis bien sùr les faits doivent suivre pour question de cohérence. Si non ce sont des charlatants comme les autres. Toutefois, donnons-leur le temps comprendre le fond de leur propopositions. Ne nous précipitons pas à les taxer de tous les maux avant mème de les connaitre. Tous les politiciens ne sont pas égaux, tous ne sont pas des charlatants, ceux d’hier ne seront pas forcement ceux de demain. Merci.
@Bishasha
Nous voudrions (nous de majesté) que ces gens ne nous cassent pas les c… avant qu’ils aient réalisé quelque chose.
Et qu’ils commencent à nous causer lorsqu’ils ont déjà quelque chose de concret à leur actif.
Nous avons vu trop de démagogues et d’escrocs dans ce pays.
Je n’ai pas dit que la synergie est une panacee, mais je suis pour les gens qui mettent les idees ensemble et ai des doutes sur quelqu’un qui critique les autres pensant qu’il peut faire des miracles seul.
Un Docteur qui ne sait pas differencier un mouvement d’un Conseil ou d’un parti politique ne connait rien en politique.
Jean Pierre, si tu penses que ce Docteur ne sait pas distinguer un mouvement d’un Conseil ou d’un parti politique, tu es « Green » aussi politiquement qu’intellectuellement. Tes paroles revelent un Burundais souffrant d’un marasme intellectuel!
Nta mugambwe wotegeka Uburundi ata gisoda ufise, ntibikunda.
@sos
Uvuze ukuri 100% kuko iyaba amajambo canke amigambi canke akarimi arivyo vyohindura ibintu, Adc-Ikibiri canke CNARED baba barafashe ubutegetsi kera. Mu Burundi umugambwe canke umuhari canke urunani bidafise igisoda gikomeye ntaco bashobora gushikako.
Sassou Nguesso avait dit lors d’un meeting: »le pouvoir ne se donne pas il s’arrache ». Ce docteur est un rêveur, les requins n’ont pas reussit a bougé les DD et celui un petit poisson qui veut amener le changement. Quel changement peut t’il apporter si dans notre pays l’appartenance ethnique compte beaucoup. Docteur est ce que vous etes tutsi ou hutu? C’est le plus important!!!
« le pouvoir ne se donne pas il s’arrache »
A l’école de Machiavel, cette petite phrase vaut un sourire du Maître.
Mais le Burundais ont vu quelles sont les bénédictions à espérer d’attitudes et de leçons issues d’époques et de sociétés où l’autocratie et la tyrannie étaient la règle. On pourrait changer de méthode, il n’y a plus grand’chose à perdre…
Référez-vous aux responses données aux journalistes. La chasse au fauteuil n’e semble pas être la première préoccupation de ce cher docteur.
Et c’est justement l’attachement à cette identité « ethnique » qui a coulé le Burundi. Faut-il vraiment s’y cramponner comme à une valeur éternelle et indiscutable ? Ou laisser cette vieille chose prendre sa juste palce sans plus causer de dommages ?
On finit toujours pas répéter le refrain : seul le travail de la CVR, effectué sérieusement et dans la douleur – celle des victimes et celle des neurtriers confronté à leur responsabilité – seul ce travail pourra à terme libérer le Burundi de son passé de violences.
Je souhaite qu’il en soit ainsi.
Je suis d’accord avec le Président du CORENABU sur une chose, la scène politique burundaise est « gangrenée »; que ce soit le régime actuel, que se soit cette fameuse « opposition », ils sont tous animés d’un même esprit, d’une même « politique du ventre » qui a fait qu’ils n’ont pas hésité à sacrifier de nombreuses vies innocentes. Leur cupidité mène actuellement notre pays vers un gouffre duquel il sera très difficile de sortir. Une jeune relève dont les mains sont propres est un « must » pour la reconstruction de ce cher pays tant meurtri dans des guerres fratricides.
Toutefois, serait-ce un problème logistique ou une de ses stratégies le fait que le parti politique voit le jour, comme la plupart des intervenants l’ont fait remarquer, à cette période précise où on ne parle que de pourparlers? Time will tell…
Aux internautes,
Mes chers amis, je connais le Dr Dieudonné Birahinduka.
Vu la position qu’il occupe dans le domaine de la santé en GB et la considération qu’il a, ce n’est pas par aventure qu’il crée Corenabu, un mouvement qu’il ne faut pas confondre avec un parti. De toutes les façons, je pense que ce n’est pas un poste ministériel burundais qui peut lui faire abandonner son emploi en UK. Donnez-lui le bénéfice du doute, on ne sait jamais…
Karabadogomba,
C’est un mouvement de plus c’est tout. Pourquoi il ne s’associe pas avec les autres ? Pour dire que c’est vraiment le messie que les burundais attendent, je doute fort. Il n’y a rien de nouveau sous ce ciel et surtout pas du Burundi.
Il ne faut pas qu’il nous fasse perdre du temps.
Il est dans son droit d’en créer, tu peux adherer si tu veux, c’est un droit démocratique, si tu crois encore à la démocratie. Respire par le nez !
Bravo M. Dr. Dieudonne! nous les jeunes de bonne conscience soutenons votre noble initiative de sortir notre cher Burundi dans l’impasse politique et economique. Ceux qui vous critiquent sont des ignorants de mauvaise conscience qui ne voient pas que le Burundi a besoin de nouveaux dirigeants avec de nouvelles energies qui n’ont pas le sang dans la main. le Burundi n’a plus besoin les DD les FNL les Frodebu les Uprona etc…mais d’un nouveau paysage politique et economique pour notre pays et pour tous les Burundais. Vive CORENABU!!! Vive CORENABU!!!
Wewe wiyise ngo Nanjendamuzi, uti uyo Birahinduka ageze kure? Nawe aho ugeze ni heza kora ugabanye akarimi!! Uti afise akazi rukokoma à Londres, none gasha tudahendanye ko tuzi exigeances z´akazi k´iBurayi uwo mwanya wa CORENABU azowukura hehe? Ndamwifurije Bonne chance muri iyo mitwe !!!
Sache gerer ton temps et laisse faire aux autres!
Si ce Dr. sait s’acquitter de ses obligations professionnelles dans un pays comme le Royaume Uni, et qu’il decide d’apporter des propositions a la construction de son pays le Burundi, c’est qu’il sait gerer son agenda.
Dieu a cree un jour avec 24 heures, ni plus ni moins. Ceux qui avancent mieux et vite sont ceux qui savent mieux gerer les 24heures. Attention a chaque minute que tu passes sans rien faire, elle ne reviendra jamais!
Le ver est dans le fruit , vous ne pouvez rien changer. Le système francophone est ainsi fait : la division, clivage , pauvreté, guerres voire génocides.
Vous pouvez fonder tout ce que vous voulez comme partis ou mouvements, ça n’ira jamais.
Un pays ne peut pas être francophone et catholique en même temps avancer socio-politiquement.
Comprendra qui pourra.
Vu d’ici, le Burundi est bilingue. Il est aussi chrétien, à dominante catholique probablement. Aucun des ces deux « accidents » n’empêche les citoyens burundais de se réunir et de réfléchir à un avenir à construire ensemble.
Outre la teinture apportée par un passé colonial, la langue française a également proclamé « Liberté Égalité et Fraternité », idéal dont les francophone n’ont pas à avoir honte.
Et personne n’interdira aux memebres du CORENABU de penser et de s’exprimer en kirundi, c’est même ce qui viendra le plus naturellement.
Le ver n’est pas dans le fruit, il hante certains esprits. Honneur et courage au CORENABU.
Pas de démonstration à partir d’une hypothèse erronée selon laquelle le président a violé Constitution, Arusha,….et que sais-je encore. Arrêter de rêver et ce n’est pas digne d’un titulaire d’un doctorat, à moins que le titre soit fabriqué à Buyenzi….
@Uwakera
Avoir un doctorat ne rend pas omniscient! Même s’il peut exister des gens avec une polyvalence hors du commun.
Ce qui peut être bien le cas de notre Dieu-donné national!
un autre virus qu’il faut bloquer avant son éclosion. ils sont tous affamés , assoiffés de rien d’autre que d’obtenir le pouvoir sans le consentement du peuple . rien d’autre n’est derriere cet home que l’obtention du trône du Burundi d’une manière ou d’un autre . 44 parties politique qui sont enregistrées à l’heure actuelle pour 27 000 km2 c’est vraiment hallucinant .
la famine est une mauvaise chose vraiment …………
CENT POUR CENT AVEG TOI , Brador
@Ir. Asman Shabani
Auriez-vous déjà entendu ce dicton: « la malignité (intelligence pour ceux qui aiment) c’est comme la confiture, moins on en a, plus on en étale »?
Je suis de ceux qui croient qu’un nouvelle association politique n’était et n’est pas nécessaire. CORENABU risque d’être un nouveau bébé dont de sa mort sera pour bientôt. Un docteur responsable aurait fait mieux en ouvrant une clinique pour servir les siens. Je suis désolé de constater, avec Jean Baptiste Bagaza et d’autres, qu’au Burundi nous n’avons de politiciens responsables mais les demandeurs d’emplois. L’équipe de Dieudonné est de ceux-là. Mr. Barahinduka veut-il se positionner pour avoir son emploi aux prochaines négociations burundaises?. A-t-il fondé son CORENABU pour s’opposer au CNARED? Il répond non? Mais je n’y vois qu’une autre société civile sans aucune alternative viable. Je crois que notre médecin est en manque d’initiative. Il aurait mieux fait d’ouvrir une clique. Faute des moyens, attendre si c’est nécessaire.
Ce n’est pas Arusha qui lui donnera les moyens.
La création d’une organisation politique est un droit politique garanti par les clients conventions internationales. C’est donc pas question de nécessité ou pas. On pouvait dire que c’est pas nécessaire si les organisations déjà existantes avaient bien fait. La réalité est là. Rien de de tangible a été réalisé par les bricoleurs précédents. Laissons d’autres alternatives naître. On jugera chacun par ses actions.
Abarundi bishwe no kutemerana. Uwuraha ngo mbisa nije nshoboye tout en critiquant les autres. Qu’est-ce qui empeche les burundais qui ont le meme objectif de se mettre ensemble, se parler sur ce qui ne va pas et mettre leurs efforts ensemble pour soulever une montagne ? Umwe wese arondera kwikwegera ko ? Nous avons besoin de quelque chose capable de nous debarasser de ces criminels qui nous endeuillent chaque jours. Pouvons-nous finalement compter sur Birahinduka. Je ne pense pas. Ce n’est pas un seul parti politique ou une autre organisation seule quelque soit le nombre et l’intelligence de ses membres qui poura le faire. Meme le CNDD qui se croit fort au monde entier n’y poura rien sans dialoguer avec les autres. Seul Ikibiri de tous les patriotes visant l’interet collectif poura faire l’affaire. Mettez-vous ensemble s.v.p.
Quelle est l’origine , la racine du mal, le mur de Berlin burundais ?
C’est l’instauration du système ethnique et son exploitation politique.
Y-a-t-il un Burundais qui pourrait détruire complètement ces histoires politisées de Hutu, Tutsi et Twa ? Rwagasore Louis, héro national avait bombardé ce système ethnique, mais il a été assassiné.
Y-a-t-il un Burundais qui, dans son projet de société prévoit un enterrement solennel et public de ce système ethnique, pour que chaque Burundais se présente aux élections en montrant ce qu’il a fait et en démontrant ce qu’il est capable de faire pour la nation et non pas son appartenance ethnique ?
Pour le moment on parle :Accords d’Arusha, Constitution, droit de l’homme, liberté d’expression, bonne gouvernance etc..
Hello… Je viens de lire sur la naissance d’un mouvement appelé corenabu. Je suis burundais et, de passage à Nairobi j’ai appris de leur conférence de presse. Je ne suis en voyage maintenant mais je vous promets un article là-dessus plein de commentaires. En attendant je conseille la retenue aux burundais qui commentent négativement des initiatives comme celle-ci en leur disant que tout burundais a le plein droit de contribuer de sa façon au changement de sa situation actuelle. Le Burundi est aujourd’hui comme un malade agonisant qui veut le secours de tout bienfaiteur. Nous qui parlons sommes comme les membres et organes de ce malade–Burundi. Comme ce malade qui demande secours à tous ceux qui passent, soigneurs ou pas, nous n’avons le droit encore moins le privilège refuser tout secours qui se porte à nous sauver. Ceci est juste pour attirer l’attention de ceux qui critiquent si négativement la naissance d’un mouvement comme celui là. Sauf si on n’a pas besoin de sauver le pays, je suppose que toute initiative est la bienvenue pour contribuer à trouver une solution au problème burundais. Cessons de prendre des raccourcis alors. Je soutiens toute initiative et je me défends de dire que celle-ci est la meilleure par rapport à celle-là. Nous les jugerons par leurs actions ! Mon article est à paraître bientôt !
Le mal burumdais est que tout le monde veut devenir ou devient politicien, alors qu’il existe de nombreuses conditions qu’il faut remplir. La première condition indéniable est de savoir ce qu’est la politique. Si on ne le sait pas, alors autant rester dans son coin et s’occuper de ce dont on est capable. Aujourd’hui, franchement je ne vois pas au burundi des politiciens qui savent ce que l’on appelle la politique. Et c’est pour cela que je parle très peu de la politique. J’ai très mal quand je vois le spectacle, combien malheureux et honteux, que nous livrent ceux qui prétendent être des politiciens, je suis dégoûté. Il y a des gens qui prétendent être des burundais, alors qu’ils le sont pas. Dans le milieu de ceux qui prétendent être des politiciens, mentir devient normal, le mal devient le bien, la caisse de l’état est associée à sa poche, voler l’état est une prouesse, la misère du peuple connaît pas, le pouvoir pour le pouvoir, le patrimoine de l’état n’existe plus, etc. Alors ou est la politique dans tout ça? Rien. Vous êtes plutôt des voleurs, des pilleurs, des fossoyeurs de l’état burundais. Il y a une seule chose qui va vous surprendre un jour est que la roue tourne et vous serez un jour rattrapés par l’histoire, car elle est têtue. Qui vivra verra.
@Kan6, la Politique est « l’art de gerer la cite ». En d’autres termes, l’art de produire et de distribuer.Le politicien a donc le devoir de metre en place dans la cite/pays les menanismes et toutes les conditions propices a la creation de richesses et a veiller que le produit de cette richesse soit distribue equitablement a la population, a travers les programmes sociaux de santé, d’education, de creation d’emplois, …etc. Si tu ne fais pas ou essais de faire ca alors que tu es aux commandes, tu n’es qu’un usurpateur ou un chef de gang et non un politicien.
@John
Je ne suis pas convaincu que « l’art de gerer la cite » soit nécessairement de distribuer la richesse équitablement. Car les cités qui sont gérées de cette manière dans le monde peuvent être comptées sur les doigts d’une main contrairement au nombre de politiciens.
Forenabu, corenabu…abarundi turakunda ubujagari pe….44 partis politiques dans un petit pays boza iki abandi batakoze meme chanson allez vous en.
Un autre aventurier comme le CNARED vient de naitre. Pas de transition au Burundi. La démocratie moderne exige de se présenter aux élections. Quelle folie politique.
Vraiment, es-tu Jean Baptiste ou un autre? Merci de ta réponse rapide, car j’ai à te dire .
Mr Dieudonné Birahinduka courage !! Après tes études en Russie ex- URSS, au lieu de rentrer au pays tu décides de t´installer en Angleterre ! Or ndibaza ko akazi ko kuvura katabonetse kuko si heza, niwigeragereze rero urabe ko hari ico wohanoba ariko nti vyoroshe!!
Mucezo we! Eka uri Mucezo nyene. Sha jewe mba muri UK kuva 2000. Wewe sinzi aho uherereye kuri iyi si ! Ariko ico nokubwira Dr Dieudonné si umurundi agishakisha ubuzima aho ari. Kandi ivyo uvyemere canke ureke kuko naho utavyemera bimeze uko pe! Ndazi ko kiretse ko ashobora kuba ababazwa nibiriko bishikira igihugu ciwe atariko arondera akazi kuko aragafise. Kandi sinibaza ko hari akazi mu Burundi komufata neza nkako afise I Londres. Tureke rero kuba dufata umuntu ukutariko. Biragaragara ko Dr Dieudonné woba umuzi aho yaciye ariko aho ageze ntaho uzi kabisa. Nimba naho urazi ufise ikindi kigutuma kuvuga ivyo. Mu Burundi naho ibituzingamitse biri mu mirwi itatu :intara (régionalisme), ubwoko (ethnisme), imiryango (clanisme) ariko ivyo vyose biva kukindi citwa Médiocrité de l’esprit.
Arretez d’être jaloux, le système politique actuel a échoué, raison de plus de metre cette classe de pourris dehors, ces sangsues. Bravo Dr Dieudonné ! Mais le nerf de la guerre, c’est l’argent, il en faudra beaucoup.
Bravo aussi aux leaders de ce mouvement
Turaheze!! uwo we uvuyehe? navuge agenda twamwumviye ubusa!! Mbe murazi imigabwe iri mu Burundi yose uko ingana?? Ayo n’amaco y’inda. Ronera ahandi uja kubesha!!! Genda.
[email protected]
I support your new movement 100%. We need new people to come up with durable solutions to our problems. Our current politicians are all in the same gutter. We need to reinvent politics and the way it’s done in our country.
Je soutiens ceux qui disent qu’il faut tout essayer. Après tout les burundais n’ont d’autres choix
Quand-mème Mr/Mme « n’importe quoi »! Voulez-vous nous dire qu’on a déjà franchi le cap d’excellence en nos dirigeants actuels ou du passé? Pourquoi décourager d’avance ceux qui se proposent pour améliorer les choses? Je pense qu’on n’en serait pas là si on n’avait l’excellence au sommet de notre Etat. Et puis le temps nous dira bien sur s’ils sont ce qu’ils pronent. Pourquoi penser que certains ont le monopole de faire la politique au Burundi? Je pense qu’il faut laisser de coté cette mentalité….regarder de l’avant…..encourager les initiatives du genre surtout aujourd’hui où le pays va très mal.
Nous avons connu le Cnared qui a fait et continue de faire ce qu’il peut. Nous avons même entendu des mouvements armés qui font leur guerre sur watsapp. Laissons les autres initiatives naître et prouver en quoi elles dépassent ce que nous avons vu et entendu avant.
Mêmes les arbres au Burundi sont politisés. Travaillez au lieu de fonder des partis politiques de n’importe quoi. Il y a combien de partis politiques au Burundi? Llus de 40. Je ne les appelle même pas de partis politiques mais des associations familiales à but lucratif.
Comme quelqu’un vient de le dire, tout le monde veut être président, ministre…et personne ne veut travailler.Cest pour cela que vous passez des années et des années à vous égorger. Drôle de peuple!
Dr Dieudonné Birahinduka et d’autres du genre , allez au travail, votre cravate, vous n’allez pas la manger.
Travailler…mais pour y arriver, il te faut un minimum: de la securite, une place, une rue accessible, de l’electricite, de l’eau, un traffic qui permet a tout le monde de circuler, etc….tout cela n’est pas « facilement trouvable au Burundi de 2016!
Monsieur, nimba wibaza ko abashinze corenabu batagira akazi canke batagira ico barya aho uri umwangushi. Kiretse ko bafise akazi nico barya ahubwo na wewe bashatse kuguha akazi bokaguha kandi bakakugaburira. Nokumenyesha ko ata mushonji ari mu bagize corenabu ubu kandi nimba wewe uri mu bashonji ntuzinipfuze kwinjira muri corenabu kuko nta kibanza ufiseyo! Be rero uvuga Iryo wiyumviriye. Corenabu jewe yagiye ku mugaragaro I Nairobi ndahari nari mu barundi baba Nairobi batumiwe. Ubwo hari umushonji afata amahera akagura tike yindege ava I buraya canke ahandi agiye mu nama canke gutanguza ikintu atabona aho kizoshika canke ari umushonji? Tube twiyumvira imbere yo kwandika Iryo dushatse ahandi ho bavyita kuvuga ibisunitswe nimpwemu!
@Nanjendamuzi
Niwaba nawe uri muri Corenabu gerageza utwereke ko utavuga ibisunitswe n’impemu mu kwerekana ico yakoze. Gushika ubu ntanakimwe! Ntakamaro k’ukuturenza urwamo! Ibikorwa nivyo vyerekana umuntu ico amaze! Nayo akarimi koko turakamenyereye!
Jewe mbona ko icoza cose gi proposa une voie de sortie à la situation d’impasse dans laquelle est prongé notre pays est le bienvenu. Le pays est blocqué. Le cnared ne peut etre en aucun cas une alternative positive au pouvoir actuel. Ce serait un simple ote-toi que je m’y mette, sans bénéfice pour les Burundais. Ils ne sont pas mieux que Nkuru, leur passé est connu. Et puis, ce n’est mème pas physiologiquement possible à cause de son hétérogénéité. La C.I aurait déjà trouvé une solution si elle avait eu des alternatives crédibles.
au lieu d’ouvrir une clinique prive ,vous ouvre un parti politic?!!1!c’est ca le problem de nos intellectuels.Shame!!
tous le monde veut etre president ou politicien.
congolais et burundais vous devraient etre comme des rwandais qui vont de trop de business.
les rwandais ont leur defaut mais burundais et congolais vraiment vous parler … bcp politics
c’est pour cela que il faut un president qui vous discipline vraiment.
C’est peut-être la « nyakurisation » du CNARED, ou tout simplement des gens qui voudraient accéder à des postes politiques en misant sur une éventuelle transition, qui vont certainement exiger une invitation pour participer à des pourparlers si pourparlers il y a.
Franchement, est-ce le moment de créer de nouvelles structures politiques pour combattre Nkurunziza? C’est plutôt le moment de rassembler toute les forces vives de la nation si on veut bouter Nkurunziza et sa clique dehors.
Or, ce CORENABU vient avec un doigt accusateur à l’endroit de l’opposition, je crains qu’il ne soit plutôt à la solde de Nkurunziza.
La nouvelle generation yaba « Gugunyi ». hahahaahah
@Fils de l’homme
L’ancienne génération, la nouvelle génération, bose n’ukuguguna gusa! Ingorane n’uko bagwiriye cane gushika aho ivy’ukuguguna bitanguye gukeha kukubera irwirirana ry’abantu, n’umwimbu utaduga!