L’Observatoire de lutte contre la corruption et les malversations économiques (Olucome) appelle les organisations de la société civile à faire un consortium pour contribuer à la Vision : « Burundi, pays émergent en 2040 et pays développé en 2060 ».
Gabriel Rufyiri, président de l’Olucome a réuni différents représentants des organisations de la société civile burundaise pour leur partager les cinq piliers de la vision nationale.
Il s’agit, selon lui, de l’engagement de l’Etat en ce qui est de la gouvernance politique, économique, social et judiciaire ; de l’efficacité économique, qui signifie atteindre 2040 et 2060 avec une économie solide. En troisième lieu, il faut une écologie et un patrimoine durable basés sur le respect des normes environnementales et la mise en valeur de la culture.
Le quatrième pilier qui, d’après lui, est le plus important est l’équité sociale. Les richesses du pays doivent bénéficier à toutes les couches de la population burundaise et ne pas laisser un fossé se creuser avec un petit groupe des extras riches.
Le tout dernier parle de partenariats fructueux, fait remarquer le président de l’Olucome. Une bonne collaboration entre l’Etat et les organisations internationales ou pays étrangers est également indispensable.
Pour Gabriel Rufyiri, tous ces 5 piliers ont plus d’une vingtaine d’objectifs. Il lance un appel à ses confrères à se référer à ces piliers pour contribuer au développement du pays.
« Une réunion pour la révision du Plan national pour le développement est en cours au ministère des Finances », révèle Rufyiri. L’Olucome trouve que le Cadre légal anticorruption n’a pas été révisé alors que cela est nécessaire. Pour lui, ce Consortium des organisations de la société civile servira à réunir toutes les idées.
Ce n’est pas tout comme suggestion, la Stratégie nationale de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption est à revoir d’après Gabriel Rufyiri. Il recommande que dans ce PND en cours de révision, la population soit consultée. C’est elle la vraie source d’idées pour atteindre le développement. C’est elle qui souffre et les actions prioritaires sont inspirées de là.
Pour lui, il faut aussi qu’il y ait une très grande réforme au niveau l’exécutif et le judiciaire. « Le budget-programme a été initié, il faut que la digitalisation soit dans les actions prioritaires », lance le président de l’Olucome.
Ce monsieur d Olucome se trompe allègrement
Qui est la société civile ?
80% d’analphabéte dans cette société
Elle ne connait rien dans la gestion et les rouages du pays
Que pouvez vous lui demander ?
Non monsieur, comme tjrs au Burundi’on fait tout à l envers…..
C’est au gouvernement et à lui seul qu incombe de prendre les bonnes décisions pour le pays,
Monsieur d’Olucome n essayer pas de donner des circonstances atténuantes au Gouvernement ou plus au Parti au pouvoir.
ils sont entièrement responsable de la situation désastreuse dans laquelle ils ont mis la société civile et le pays
Parcem a elle une vision réaliste