Mardi 14 juillet, le cadavre d’un jeune homme a été retrouvé sur le trottoir de l’Avenue de l’Imprimerie, dans le quartier Jabe II, en commune Bwiza.
Selon le chef de quartier Jabe II, le corps retrouvé en bordure de l’Avenue de l’Imprimerie est celui d’Isaac Ndihokubwayo, natif de la commune Marangara, en province de Ngozi. Des habitants de cette localité affirment qu’ils ont entendu une explosion de grenade vers 2h du matin. Et les policiers sur place d’affirmer que cet homme a été victime d’une grenade qu’il portait sur lui.
D’autres sources sur place, s’exprimant sous anonymat, indiquent qu’il a été tué à l’aide d’une grenade. « C’était vers 2 h du matin, quand j’ai entendu une personne criant au secours et suppliant ses bourreaux de ne pas le tuer », témoigne un des vigiles dans une parcelle sise à moins de dix mètres du lieu du crime.
D’après lui, quelques minutes après ses supplications, une grenade a explosé. « Pas de doute que c’est par cette grenade qu’il a été assassiné. » Il faut noter qu’Espérance Ngerageze, administratrice de la commune Bwiza, était sur place, ce matin. Elle a indiqué que cet homme est mort cette nuit, mais s’est refusée à tout commentaire sur les circonstances de sa mort. Sur son corps nu, on remarquera des traces de lien sur les bras.
Signalons que deux autres cadavres ont été retrouvés à Mutakura, ce lundi, dans un ruisseau, ligotés, tous natifs de la province de Ngozi.
Concernant les tirs entendus vers 22h, la nuit dernière, Pierre Nkwirikiye, porte-parole adjoint de la police, souligne qu’il s’agissait d’un militaire d’une des positions de la commune Rohero qui a tiré par mégarde : « Après avoir entendu des coups de feu, d’autres militaires et policiers ont tiré, croyant être attaqués. »
Maudits soient tous ces commandos de la mort! Qu’ils soient hantés par les ésprits de leurs victimes! Qu’ils entendent tout le temps, même dans leur sommeil, des supplications et des gémissements. Qu’ils voient partout du sang jaillir: là où ils posent le pied, sur leurs mains, sur leurs habits, sur leurs lits, même dans leurs assiettes. Qu’ils soient un jour emportés par la folie et qu’on les retrouve inanimés ou dans la rue, ou dans des ruisseaux, ou qu’on ne les retrouvent jamais!
Un cadavre par ici, un cadavre par la..! La machine à tuer a commencé..! Nous allons tout droit vers la catastrophe…! Qui peut l’arrêter..? Un seule personne, normalement dénommée SEBARUNDI… ! J’ai cité S.E. P. NKURUNZIZA peut faire la différence. En effet, tuer n’est jamais une solution mais un problème. En effet, aucun pays au monde n’a bâti son avenir sur la violence, aucun responsable politique au monde n’a prospéré grâce à la violence car la violence appelle la violence. Après les élections de 2010, des centaines de militants du FNL ont été massacrés mais le parti de Rwasa est toujours là, plus fort que jamais. Il en sera certainement de même demain pour le MSD puisque apparemment c’est au tour de ses militants de subir le sort des militants du FNL de Rwasa de 2010 à 2012 même si ce n’est pas encore terminé pour eux. Notre pays est tombé dans un trou très profond depuis le 26 avril 2015 mais comme si cela ne suffisait pas, les plus hauts responsables de notre patrie continuent de creuser.
Apparemment il y aurait des gens qui ont decide de tuer et sacrifier les autres pour que le N.Unies envoient des militaires etrangers disant venir proteger les faibles qui ne peuvent pas fuir. Attendons voir la suite mais ce que l’on doit savoir est que s,autodetruire n’est
pas une solution pour l’avenir de notre chere patrie. que celui qui a des oreilles entende. les autres sont tués pour avoir refusé de rejoindre la (les ) rebellion s.
Ces policiers et militaires ont la gâchette facile. Ils tirent dans quelle direction? Au hasard. Gare aux balles perdues. Le Sang d’Abel crie toujours vengeance. Tous ces jeunes sont nos enfants.
Et après les élections, on organisera des croisades de remerciement au Créateur d’avoir été élu sans aucun égard des fils , victimes innocentes de cette barbarie. Encore une fois , Imana ihora ihoze…Reposez enfants chers fils. Je ne sais quoi dire pour consoler toutes les mamans comme moi qui sont éprouvées dans pareilles circonstances.
Iki gihugu kiratugoye kweri,muragaba banyengozi harabavye,ubu naho ivyintara biratanguye kandi vyahora ari mandat.