Les anciens chefs d’Etat Sylvestre Ntibantunganya et Domitien Ndayizeye reconnaissent que la Francophonie est une communauté de valeurs. Selon eux, qu’un Burundais soit porté à son sommet, ne manque pas d’intérêt.
C’est une première dans l’histoire de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) et du Burundi. Parmi les candidats pressentis pour diriger le Secrétariat général de l’OIF, Pierre Buyoya, ancien président de la République et haut représentant de l’Union africaine pour le Mali et le Sahel.
A la tête du pays pendant plus de 10 ans, aujourd’hui sénateur à vie, il est considéré comme un challenger sérieux à ce poste.
« Son expérience lui en confère les capacités », soutient Domitien Ndayizeye, également ancien président du Burundi. Diriger la Francophonie, fait-il remarquer, n’est pas si compliqué que présider le Burundi surtout en situation de pleine crise.
Le sénateur Ndayizeye estime que ce serait un honneur pour le pays qu’un Burundais soit à la tête d’une telle organisation internationale. De par son histoire, constate-t-il, le Burundi est francophone depuis des années: « Le français est encore aujourd’hui notre première langue étrangère, officielle et véhiculaire. »
D’après lui, la fin de l’usage du français n’est pas pour aujourd’hui, cette langue sera utilisée pour longtemps encore.
Le Burundi en position utile
De l’avis du président Sylvestre Ntibantunganya, le pays devrait analyser son appartenance aux communautés linguistiques en tenant compte de ses intérêts. Le Burundi, assure-t-il, se trouve en position utile : « Il est situé au milieu des deux ensembles. A l’ouest, du côté de la République Démocratique du Congo (RDC), se déploient des pays qui parlent le français alors qu’à l’est, l’anglais prédomine. »
Le salut de la Francophonie, déclare-t-il, viendra de la pacification de la RDC : « C’est de ce côté-là que les forces seront tirées. Elle est connue pour sa richesse en minerais, en hydrocarbure et en eau grâce au fleuve Congo. » Ce qui va permettre, selon M. Ntibantunganya, la construction des centrales hydro énergétiques qui vont non seulement alimenter la RDC mais aussi attirer toute l’Afrique. L’ancien président est convaincu qu’avec la pacification de la RDC, beaucoup de choses vont changer dans les stratégies régionales.
D’après lui, le Burundi n’a pas à s’aliéner la pratique de la langue française, une langue très utilisée en RDC et dans les pays voisins : le Congo Brazzaville, la Centrafrique, le Cameroun, etc.
Mais les deux personnalités sont unanimes aussi sur le fait que le Burundi ne doit pas non plus couper court avec les pays membres de l’EAC : « Il n’y a pas d’incompatibilité, c’est plutôt un avantage notamment pour les emplois internationaux. »
La Francophonie, un canal pour mieux plaider
« Le Burundi doit continuer à se forger une place visible dans la francophonie », insiste Sylvestre Ntibantunganya. La francophonie, poursuit Domitien Ndayizeye, regroupe plusieurs Etats pour de multiples objectifs liés notamment à la solidarité économique, politique, sociale, culturelle, artistique, sécuritaire, diplomatique, etc.
Celui qui parvient à accéder à ce fauteuil, analyse-t-il, doit rester attaché à son pays qui l’a soutenu. Il ne doute pas que M. Buyoya saisisse cette opportunité pour mieux informer et plaider pour la promotion des aides au développement de son pays : « Il connaît l’état précaire auquel le peuple burundais fait face. » Pour M. Ndayizeye, le contraire l’étonnerait.
Il fait un clin d’œil à une certaine opinion qui voudrait lier ce mérite de Pierre Buyoya à certaines périodes du passé peu glorieux : « Il serait plus objectif et juste de partir des conclusions issues du processus judiciaire, la Commission Vérité Réconciliation. » Elle est la seule à avoir la latitude de découvrir et clarifier les événements malheureux que notre pays a connus depuis son Indépendance jusqu’à la signature des accords de cessez-le-feu : « Personne, y compris les hauts dignitaires, ne sera à l’abri de cette démarche, fruit de l’Accord d’Arusha pour la paix et la réconciliation. »
Pierre Buyoya étant le seul Burundais à avoir postulé à ce poste de Secrétaire Général de la Francophonie, conclut l’ancien président Ndayizeye, le pays se doit de l’encourager, le soutenir et lui souhaiter une bonne chance.
Voila ce qu,on attend des responsables politiques, hommes d,etats. La reussite de Buyoya a ce poste serait u n honneur pout le burundi. Par ailleurs ceux qui melangent les choses devraient savoir et se rappeler que Buyoya est un grand Homme politique qui a su prendre ses responsabilites au moment ou il fallait. Les autres clivages meritent un debat mais pas dans une situation ou pour des sujets pareils qui rassemblent. Merci aux Monsiuers Ntibantunganya et Ndayizeye,Bonne chance a Monsieur Buyoya.
Chers amis, vous pouvez ne pas aimer cet homme politique mais acceptez avec moi qu’il est hors du commun, extrêmement intelligent et malheureusement très peu patriotique!
Je ne peux pas m’opposer à une quelconque candidature d’un compatriote Burundais, mais son intronisation n’honorera en rien notre pays!
Ce poste est très important et stratégique mais reste de loin inferieur au poste de chef d’Etat du Burundi! Pour moi, ses années de règnes ont déshonoré notre pays et notre peuple est tombé dans la bassesse tandis que lui montait d’échelons en échelons ! Alors pourquoi s’attendre à un quelconque honneur ?
De toutes les façons mes chers, come down ! It’s over !!!!!!!!
Bye bye espoir!
C’est fini mes chers amis, oubliez cette candidature!
Buyoya vient de perdre son parrain!
L’homme qui l’a placé dans toutes ces missions de la francophonie, l’homme par lequel il avait déjà gagné la moitié de ses potentiels votes ouest africains et l’homme par lequel il avait eu ce poste du Mali, son intime Blaise, est parti!
Anecdote :
Au Mali, c’est Madame Zuma qui l’a nommé après l’endossement de Blaise qui détenait indirectement le veto régional!
Zuma tenait absolument à remercier Buyoya pour son travail lors de l’éviction du Gabonais, Jean Ping, l’ami de Jean Baptiste Bagaza à la tête de la commission africaine! D’une pierre, Pierre en avait fait deux coups!
Zuma avait besoin de soutien des Etats francophones qui étaient tous ralliées derrière le Gabonais, et Buyoya, qui travaillait partiellement avec Mbeki, avait été sollicité pour user de son influence!
Par le biais de ce même Blaise, Zuma avait pu gagner les voix nécessaires pour faire la différence!
Actuellement, Buyoya est en train de rapprocher Kigali et Johansbourg et les choses avancent bien au point ou le pauvre General Rwandais en exil tente désespérément de joindre Paris ou autre terre européenne à n’importe quel prix!
Dommage que ces deux pays RSA et Rwanda ont peu d’influence dans cette organisation!
le 3è ex-président du Burundi Bagaza est absent sur votre liste, nous voulons également avoir sa version des faits de son successeur Buyoya. Merci!
Chers burundais, qu’on cesse de voir toujors les choses d’un mauvais coté.Pierre BUYOYA est una personnalité hors du commun.qui a pu sauvegarder l’unité nationale aucours des périodes très tendues et tres difficiles.Quant à ceux qui le considerent comme un puchistes, j’estiment qu’ils ont treès tort.meme ceux à qui ces soient disant puchs étaient dirigés le soutiennent sans se cacher.à l’inverse ceux qui qui le considèrent comme un puchistes devraient normalement se taire. En soutenant la candidature de Pierre BUYOYA, on aura soutenu memement la nation tout entière.C’est un honneur jamais vu pour le BURUNDI.COURAGE Monsieur Pierre BUYOYA!
@Irakoze Florien
«meme ceux à qui ces soient disant puchs étaient dirigés le soutiennent sans se cacher»
Nibabihereze hagati yabo effectivement, bareke kutugora puisque que c’est nous-autres banyagihugu qui finissons toujours par encaisser les conséquences de leurs frénésies et hypocrisies qu’ils se livrent entre eux en même temps qu’ils se la coulent douce ensemble à Kigobe et ailleurs. Ubu turamaze guca akenge si nka kera bagenzi!
@Pioneer
Pioneer, ako kazi k’ubu porte-parole de Buyoya uragahebere abagashoboye vu que tu es complètement nul là-dedans! Il faut qu’il te remplace par un expert en la matière et au plus vite, sinon il risque de louper sa place à la Francophonie.
@Mon maître farceur.
Je suis tres nul en effet, et en tout! Un eminent professeur emerite de MIT (Massachusetts Institute of Technology) nous disait ceci il y a 27 ans, a la veille de sa retraite (je traduis de l’anglais): “tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien”.
Mbe ko Compaoré atorohewe, ivyo ntishobora kugira ingaruka ugasanga Buyoya atakaje ijwi? Abo bantu babiri bafatiye ubutegetsi rimwe, Compaoré yaraje no mu Burundi,… Turindire turabe.
Qu’est ce que vous croyez!!!
La chutte et l’humiliation de Compaoré annoncent effectivement l’humiliation de Buyoya dans ces élections.
Kandi ntakundi bizogenda kuko Buyoya baramubwiye ako ico kibanza bidakwiranye,
donc ko atari iciwe, ariko aguma ahadikiriza.
Merci à la journaliste NGABIRE Elyse d’avoir, par son article, donné l’occasion aux internautes de débattre sur la personnalité du président BUYOYA Pierre. Tous les échanges autour de cet ancien chef d’Etat amorcent, en quelque sorte, le débat sur la nature même de la CVR tant redoutée par certains. Pourvu que personne n’échappe à la justice impartiale et indépendante pour panser tant de blessures .
Mettez en ligne tous les commentaires non favorables à ce putschiste SVP. Avez-vous encore peur de lui? Soyez courageux comme Maggy cher « IWACU »
Le soutien à Buyoya est personnel, ne cherchez donc pas à influencer la population burundaise qu’il n’a jamais consulté avant de se lancer dans cette course à la chefferie de la Francophonie. S’il est élu, ce sera sincèrement pour lui, sa famille et proches, et pas question de l’honneur du Burundi et de son Peuple. Qu’il n’oublie pas surtout les citoyens qui sont morts à cause de sa mauvaise gestion du Pays, ivyo vyose vyanditswe mu mitima de cette Nation yipfuza ko ishigikira sa canditature à la Francophonie sans pour autant chercher à faire la paix avec, le ridicule ne tue pas sérieusement! Je vous invite à suivre les informations sur ce qui vient de se passer avec son fidèle ami Blaise Comparé, ça peut me donner raison ou tort! Nta narimwe Umunyagihugu souverain atamikwa ijambo, ahubwo ararihabwa, nos politiciens devraient l’apprendre à leurs dépens. Quand je parle des citoyens, entendez les véritables patriotes et non les détracteurs de la démocratie et paix nationale!
Aux differentes interventions sur cet interessant, j’ajouterais ceci:
1. Le President Buyoya n’est pas demandeur de soutien, encore moins des DDs.
2. Ce Monsieur, parti de rien, a gravi tous les echelons, dans un contexte d’hostilitié hors du commun.
3. Qui ne l’a pas combattu au Burundi ou dans la sous-region? Qui a oublié l’injuste embargo lui imposé au moment où il remuait terre et ciel pour sauver un pays en lambeaux?
4. Ou en serions-nous si l’autre Pierre lui avait emboîté le pas, depuis 2005, sur le chemin de la cohesion interethnique et des compromis sociaux? Si seulement ce dernier pouvait tirer sa revérence en 2015 et nous epargner une autre decennie perdue!
5. A ceux qui, a l’instar de cette dame (que je ne nommerai pas) dont la sortie mediatique a etonné plus d’un, se sont arrogé le droit de juger le President Buyoya, modelez vos transports. Ce monsieur n’a peur de rien, encore moins de la CVR!
Mr pioneer, cette dame a exprimé un avis qu elle partage avec d autres. Votre dénigrement n a aucun sens, faut apprendre à respecter ceux qui ne pensent pas comme nous. Encore bravo Maggiy
Non Mr/Mme hat.
1. Je n’ai nul part denigré Maggy. A quoi bon? Relisez mon texte (et le vôtre). Un conseil utile: soignez la forme de vos commentaires ulterieurs (ici comme ailleurs).
2. Sur le fonds, qualifier quelqu’un PUBLIQUEMENT de “criminel” n’est pas “exprimer un avis”. C’est un crime de droit commun. Que son “avis” soit partagé par plusieurs n’en fait pas moins un crime.
Cordialement.
Mr ou me pioneer, je crois que vous vous trompez sur l époque . En 1972 il y a eu massacres de gens innocents mais personne n a dit aucun mot, aucune indignation que de la résignation. En passant il ya eu des assassinés mais aucun criminel. Mr 40 ans après les choses ont un peu changé et certains osent au péril de leurs vies:vous le dites assez bien il n a peur de rien. Quand à mes commentaires ils m engagent devant qui de droit et vous pouvez garder vos conseils. Très respectueusement.
Quoi! Qu’est-ce que vous racontez là? Vous avez dit « parti de rien, pas besoins de soutiens des DDs …! » Si vous êtes le Président Bagaza et Pierre (l’autre) à la fois, et que vous vous exprimez sous un pseudonyme, alors là je vais vous croire. Quant à Iwacu, je pense qu’il faut les laisser tranquilles et pas chercher des voix dissonantes. Ils se sont joints aux autres pour promouvoir la candidature de Buyoya.-
Reka turindire ikizova muri ayomatora ariko nibazako uburundi hataragerako butwara francophonie kuko barabuze uwobatanga abuserukire.Kuko Buyoya ntabwo intwaro ya cndd fdd imutanga kubera kumukunda!!habe namba!!!Nigushaka kumwigizayo gusa,bafise ubwoba bwiwe!!!bibazako yobambura ubutegetsi kandi.
En plus banamushimira koyaretse uprona bakayinyakuriza ntihagire nakimwe abivugako n’ibindi n’ibindi….
Muzorabe urya mupfasoni wo muruyigi icoyavuze kuri candidature ya Buyoya yogutwara francophonie,….
Murakoze
Kaburahe,
Ndabona ko amacommentaire adashigikiye uyu mugabo wanyu Buyoya mutayashira ahabona.
None mwibaza ko ibi arivyo bizotuma atorwa???
Mwoshaka mwoha ijambo n’abadashigikiye Buyoya mukareka bakavuga ico bamwiyumvirako koku ntaco bizohindura ku matora: Abazotora bo barazi uwo bazotora.
Ikindi naco naho mwanka ko abatamushigikiye bavuga, canke naho ayisite yanyu ishaka kunyegeza ukuri kuri uyu mugabo Buyoya, ibindi bimenyesha makuru nka za RFI n’ayandi masite amuvuga ukwo ari n’ivyo yakuze atarya umunwa.
Oui, un Burundais à la tête de n’importe quelle organisation internationale, y compris la francophonie, serait un honneur pour notre pays. Il est indispensable de souligner qu’on n’élit pas quelqu’un à ces postes-là, on élit le pays. Pour que cela puisse se faire, il nous faut un leadership fort, déterminé et respecté pour soutenir son candidat jusqu’à ce niveau de responsabilité internationale… ! Le Rwanda l’a fait par exemple pour Donald KABERUKA, Président de la BAD et d’autres haut fonctionnaires Rwandais dans les organisations internationales. Pour le Burundi, en l’état actuel des choses, je doute fort que nos autorités puissent soutenir et placer quelqu’un, fût-ce l’ancien Président BUYOYA , à la tête de la Francophonie. Attendons voir, mais personnellement, je ne le pense pas car notre diplomatie est non seulement invisible et inaudible mais aussi et surtout peu respectée sur le plan international. Murakoze… !.
Si le Président BUYOYA est élu à la tête de la francophonie ce ne sera pas à cause de l’appui du gouvernement burundais actuel, ce sera plus tôt à cause des mérites personnelles et de l’estime que les membres de la francophonie lui vouent.
Ne le soutenons!!Go ahead Mr.President!!
Oublions ses voyou de Ciramunda et ses acolytes dans leur bla bla bla d’article bidon..
Soutenons le président Buyoya et oublions ce qui nous divisent. C’est l’honneur du Burundi qui est en jeu ici et pas les intérêts de tels personne ou tel autre.
Et même si Nkurunziza devrait voter pour ce nom de« Buyoya» au prochain Sommet de la Francophonie, il n’aura qu’à considérer ce geste comme «personnel» puisque Buyoya n’a jamais inspiré confiance au Peuple Burundais ni l’inverse. Ni kuki bomushigikira aveuglement? Saches bien qu’une tâche, si minime soit-elle, reste pareil une tache tant qu’elle n’est pas complètement effacée, lavée ou dissoute. Buyoya devrait tout d’abord se repentir s’il veut partir du bon pied avec le Peuple burundais qu’il a tant offensé. Sinon, qu’il accepte d’assumer l’entièreté de ses écarts et conséquences y associées ata kubiyumvira. Agomba kumenya ko abarundi atari un Peuple ignorant comme il le prétend du moins, kandi ngo Igiti ntikigukora mu jisho kabiri!
Je suis tout simplement sidéré par l’amnésie dont font preuve nos 2 anciens chefs d’Etat issus du FRODEBU que le président BUYOYA est soupçonné, à tort ou à raison, d’avoir contribué à décapiter le 21 octobre 1993, sans parler de tant de sang d’innocents versé sous son pouvoir ( Ntega et Marangara, notamment mais pas seulement).
Le mieux pour ce candidat à la tête de l’OIF aurait été d’attendre de se faire d’abord blanchir par une justice indépendante. Sinon son élection équivaudrait à la consécration de l’impunité dont, par ailleurs, on ne peut pas dire que ce candidat a combattu lorsqu’il s’était auto-proclamé à la tête de l’Etat burundais par 2 fois.
J e trouve que, avant de soutenir cette candidature, le peuple burundais aurait dû être consulté par voie référendaire.
« Le mieux aurait été d’attendre de se faire d’abord blanchir par une justice indépendante » Y a t-il une quelconque charge qui pèse contre lui à l’heure actuelle? Y a t-il un procès en cours contre sa personne? Si poursuite criminelle il y a, ce n’est pas à lui de les initier (contre sa personne). Restons rationnel!
turakwiye kwiga urupfasoni kwagiriza umuntu arivyo wumva bagutamika birabababajwe kuri iyi génération imaze ibaho.oui turakeneye CVR men avec le système DD ntahobizopfa bishitse.
pourquoi on a refusé la justice internationale et l’enquete internationale?
C’est bon de soutenir notre ex.president BUYOYA a la tête de l’OIF haraho nabandi barundi bahatorera akuyuko. Voir son ex. gouvernement benshi naba fonctionnel internationale car ils avaient bien apprécié et les autres.DD.aura la mm capacité intellectuell….?.ex
Jose, ufise imyaka ingahe ou encore Bagaza yatwaruye ungana gute?
menya neza BAGAZA son regime narimuto men regime ya BUYOYA 1-2 narazibonye et je les ai apprecié suite du moment twari tugezemwo kko les HUTU voulaient a tout pris le pouvoir (paix ou violence) 88-91-93
oui ila innitié et formé un gouvernement 50/50% HUTU et TUSI il accepté la voix des urnes , il a passé le pouvoir librement a NDAYIZEYE suivant l’accord d’ARUSHA Mme avec le respect que je vous dois nos frères DDISTE pourq ils voulaient supprimer l’accord d’ARUSHA?
@Iwacu, il y aurait pas moyen de nous faire une émission spéciale sur ce qui se passe au Burkina Faso, au lieu de nous dire ce que cette bande de copains (ex présidents) pensent les uns des autres.
Je crois que ça nous est plus utile.
@Mr ou Mme Democrate,
Vous etes plus interesse au Burkina Faso qu’a votre pays?Encore pire ng ca vs est plus utile!?bn sang si le ridicule tuer …!!Mieux pr vous de demande un passport BurkinabE!
@ Tuvugukuri
Uzi gute ko ar’Umurundi?
Mr ou Madame Tuvugukuri
Democrate a raison car ntiwibaze ngo turasinziriye i Burundi dukeneye ko kaburahe atubwira neza uko muri Burkina Faso biriko biragenda kuko natwe twarambiwe sha….
Democrate ahubwo uri umugabo!!! tu reveilles plus d’un… Merci bcp !
@Tuvugukuri et @jac Sentore, je suis bel et bien burundais. Mais ce qui se passe la bas a tout a voir avec ce qui se passe chez nous a savoir un pouvoir qui s’entête a foncer devant des élections biaisées. Vous ne voyez pas toujours le lien? Voici par exemple un message posté à 15h41 TU sur france 24 :
« @Inoussa. De nombreux internautes nous demandent quel regard portent les autres pays africains sur la situation au Burkina Faso. Sûrement un regard inquiet… Au moins quatre chefs d’Etat préparent ou envisagent des révisions constitutionnelles similaires à celle du Burkina pour se maintenir au pouvoir : au Congo Brazzaville, au Burundi, en République démocratique du Congo et au Bénin. »
erega democrate, le probleme nuko wagiye kuvanga ama sujets, ntakamaro kowariguca ukengerea iyi article, ivyomuri burkina fasso navyonyene bazovyandika, ibintu vyose birafise umwanya wavyo, ntibica bivuga ko ama journaux atayindinkuru ajanye nibihugu vyayo areka kwandika ngo nuko habaye coup d etat muri burkina fasso
Kumushigikira ni vyiza, twese tumuje inyuma, mbere bikunze n’abatwawe n’inzigo (ya hano iwacu mu kirundi…) bikosore. Ivyo abazwa na vyo, eka hamwe na Nkurunziza, Ntibantunganya, Domitien et Bagaza bazobibazwa igihe kigeze. Politiciens burundais ayant des mains propres, chose rare…
On peut aimer ou ne pas aimer quelqu’un, c’est le choix de tout un chacun. A ce que nous sachions, Pierre Buyoya n’a jamais empêché Ndadaye et ses compagnons de faire sa campagne électorale en 1993. Et il a accepté le verdict des urnes, malgré lui. Du jamais vu au Burundi sous un régime militaire aussi puissant que celui de cet ex major-président. C’est une qualité que je lui reconnaîtrais et qui manque gravement à l’autre pierre, Nkurunziza je veux dire. N’amalgamons plus les choses, car quelles que seront les fonctions de telle ou telle autre personnalité interpellée, personne ne sera à l’abris de la CVR. Buyoya autant que Nkurunziza…
En un seul mot nous nous devons d’etre prioritairement burundais et surtout d’en etre fier! En effet, Buyoya reste et restera l’homme de consensus envers qui tous les Burundais sans distinction aucune. N’uwanka urukwavu niyemere ko …… Mais j’ai une question: Et si ces deux anciens chefs d’Etat n’avaient pas soutenu l’homme fort Buyoya, est-ce qu’Iwacu aurait accepter de publier leurs critiques? Je crois pas. En effet, Buyoya est partout et nulle part.
@Kaburungu
@Kaburungu
Je ne comprends pas ce que vous voulez dire . Si reellement « Buyoya reste et restera l’homme de consensus envers qui TOUS LES BURUNDAIS SANS DISTINCTION AUCUNE » , pourquoi alors la majorite de ces Burundais a prefere elire feu Melchior Ndadaye au poste de President de la Republique du Burundi en 1993?
Merci.
Moi aussi je suis d’accord. Soutenons la candidature du fils de notre pays.
C’est certes une communauté des valeurs. Mais je pense que celui qui se poserait la question lesquels (ces valeurs)ne se serait pas fourvoyé pour autant.
Ces »objectifs liés notamment à la solidarité économique, politique, sociale, culturelle, artistique, sécuritaire, diplomatique, etc » sont a poursuivre avec précaution et perspicacité ntitube nka ba bandi ngo NKUKO VYAMYE NA MBERE HOSE….
Et puis je ne manquerai pas de m’étonner de l’ingéniosité des hommes politiques. Regarde IWACU dit que selon Mr D.N :
« Il fait un clin d’œil à une certaine opinion qui voudrait lier ce mérite de Pierre Buyoya à certaines périodes du passé peu glorieux » Ici je vais souligner la malignité du langage diplomatique.
UNE CERTAINE OPINION…..et..CERTAINES PÉRIODES DU PASSE PEU GLORIEUX. Une période, qui par magie, n’a pas d’acteurs.Une phrase sans sujet véritable: une façon d’occulter les responsabilités.
QUI a FAIT QUOI et QUAND. Choses exécrables dans l’entendement des politiciens.
Ico nifuza nuko la CVR yonyaruka kugira tumenye ivyo abantu benshi bagiriza l ‘ex president Buyoya kugira ukuri kuje ahabona. Niba Francofonie izomukingira kurenguka imbere ya CVR, birakwiye ko atotogwa kuko ukuri kwoteba cane
C’est incontestablement un honneur pour toute la nation burundaise car les détracteurs du candidat burundais n’ont rien à gagner dans la victoire de la canadienne ou du mauricien.
D’ailleurs n’oublier pas de voter pour le chanteur compatriote que nous ne connaissons pas tous BOBONA pour le prix découvertes Rfi sur http://www.prixdecouvertes.com.
Date limite pour le vote le 31 Octobre.
Merci mes Chers Presidents vous avez bien dit, l’INTERET NATIONAL d »abord.
Merci Nzobandora, à part ce que l’on peut gagner on ne perd rien, il faut le soutenir! D’ailleurs je vote pour le chanteur burundais je ne le connais pas moi aussi mais c’est l’honneur pour ma patrie!
Murampimbaye. Urukundo mukunda igihugu ni urwo gushigikira. Naje ndamushigikiye. Ejo namye nganira n’Umufaransa (je suis à Paris actuellement), ndamubwira ko hari Umurundi yahoze arongoye igihugu cacu azokwitoza ngo abe umunyamabanga wa Francophonie; yaratangaye cane yongera arahimbarwa. Erega n’ico mutazi, Uburundi ino mu Bufaransa ntibuzwi, kiretse au niveau diplomatique. Iyo mvuze ko mva mu Burundi ndinda gusigura aho hatumbereye, mfatiye ku bihugu bazi: Urwanda na RDC. None Umurundi yotwara Francophonie ntimwumva ko ryoba ari iteka kuri ari ako gahugu kacu gatoyi, k’inkengerwa, yamara kuzuye ivyiza n’ubutunzi bitagira uko bivugwa! Natere imbere.
bumvishe ncuti kandi abamaze gushika i burundi barashima kodufise igigugu ciza , bati dufise ingorane y’ukwiyumvira ngo dutegure kazoza. aho abarundi dutangarije twari turonse uwemerge ngwajahabona none aho kumushigikira turiko turamurwanya. ntabujuju busumba ubwo. Muvuga Diouf koyari intwari, murazi l’histoire ya casamance? conflit iriyo kuva kur Senghor gushika n’ubu iva kuki? narahagendeye ,ndayaga n’abantu batandukanye , uratiragashambara wegere umu senegalais azokuyagira, ariko nticabujije kobose bamuyoboka
Abo n’ose bavuga: « pas d’intérêt pas d’action »
Ba batutsi et Opposition bakunda manifestation contre le Gouvernement Nkurunziza sur les places publiques à l’Étranger, ils seront certainement au Sommet de la Francophonie au Sénégal et j’ai cependant hâte de voir comment ils vont encore dénigrer Nkurunziza qui est supposé jouer fort dans la cour des grands pour faire passer la candidature de Buyoya, uproniste tutsi de première heure. Mugabo ico nzi co nuko abahutu, qu’ils soient ou non de l’Opposition, ne ménageront aucun effort pour dénoncer sur la place publique sénégalaise, les nombreux coups d’État honteux et actes ignobles infligés à la Nation burundaise à son solde. De ce fait, ils profiteront pour démontrer à Nkurunziza qu’il donne un appui à une candidature précipitée qui n’en valait cependant pas la peine. Et, si les deux veulent réellement l’absolution du Peuple pour le tort causé, en cas d’une victoire ou défaite de Buyoya, qu’ils profitent du retour du Sommet pour présenter – conjointement – des excuses publiques au nom de tous les Gouvernements que le Burundi a connu jusqu’ici, y compris les leurs, pour tous actes et gestes impairs infligés à la Nation burundaise, toutes ethnies confondues, ainsi les burundais pourraient refaire la Paix avec eux par une dernière condition que Nkurunziza n’aura pas à se représenter pour un 3è mandat. Il y a toujours moyen de dialoguer avec les citoyens quand il le faut n’est-ce pas? Ibindi tuzogenda tubitorera umuti buhoro buhora ico kintu kivuyemwo kwanza.