La sécurité, l’économie, la Cour pénale internationale et la lutte contre l’exclusion sociale feront objet de cette session ordinaire qui précède le 27ème sommet des chefs d’Etats et gouvernement qui débute le 16 juillet 2017.
Prennent part à cette session ordinaire du Conseil exécutif de l’Union Africaine les ministres des diplomaties des 33 pays africains qui ont répondu présents, les ministres ou délégués des finances, les juristes, les experts politiques et bien d’autres tenants de titres de diplomates comme les ambassadeurs.
Le président de ce conseil en même temps ministre des Relations extérieures du Tchad a souligné à l’ouverture de cette session ce mercredi 13 juillet que l’Afrique doit être «autosuffisante» surtout en matière judicaire. Il a rappelé certains procès qui doivent être objet d’information aux présidents et chefs d’Etats dont celui de Hussein Habré récemment condamné par les chambres africaines pour des crimes commis au Tchad entre 1982-1990.
La Cour pénale internationale devra aussi susciter l’attention de ces experts qui jugent «partiale» cette juridiction.
La sécurité surtout au Sahel, en somalie, au Burundi, au Sud Soudan et à l’Est de la RDC, est aussi sur l’agenda de cette session ordinaire qui précède le sommet proprement dit des chefs d’Etats.
Le président de ce conseil a aussi souligné que les exclusions sociales sont devenues «monnaies courantes en Afrique» et qu’elles doivent être éradiquées.
Il a également fait part de sa préoccupation sur l’économie du continent. «Nous devons nous focaliser sur les priorités du continent, favoriser les échanges entre pays africains. D’ici janvier 2017, nous devons présenter un rapport sur la mise en œuvre de l’Agenda 2063 au cours de la première décennie de réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD). L’intégration devrait avoir un réel impact sur l’avancée. Nous devons aider les pays en retard à progresser rapidement», a-t-il indiqué.
Dimanche dernier, Dr Nkosazana Dlamini Zuma, Présidente de la Commission de l’UA avait souligné que les économies africaines seront axées sur la recherche et le développement, que le monde va vers des méga blocs commerciaux dont est exclue l’Afrique malheureusement.
«On a tout à gagner en se mettant ensemble. C’est dans ce cadre que l’intégration aidera les hommes et les femmes investisseurs qui se mettent ensemble dans le but de construire un continent prospère», a-t-elle poursuivi.
Le Sommet se penchera aussi sur le rapport des activités de la capacité africaine sur la gestion des risques.
Le Sommet abordera aussi des questions stratégiques comme le financement de l’UA, le budget, les élections, les questions de paix et de sécurité sur le continent.
Et blablabla Et blablabla……..
C’est le même discours depuis la nuit des temps
union afrique devrait former une bank d’investiment d’infrastructure.
les ressources sont faciles a trouver:
OU?
chaque transaction commerciale au sein de l’afrique peut etre taxer a 1% et cette somme d’argent peut aller a cette bank.
Avec 1millions de personnes,les transactions commerciales quotidiennes peuvent atteindre a aboutir a $300 milliards de dollar americain de revenue par an a cette bank.
cette bank aura pour objectif :
-electricity distribution en afrique
-trains and roads
-faciliter l’industrialisation
– agriculture moderne
les africains etant pauvres doivent soufrir eux meme en payant 1% a cette bank ,c’est cela l’autosuffisance
start from there more on technical que be studied and improved with time
May God bless africa
La justice internationale n’existe pas dans ce monde. Sinon, celui qui a cruellement assassine Son Excellence Ndadaye, le Hero de la Democratie au Burundi ne serait pas a Arusha ( au Dialogue interburundais) pour donner des lecons criminelles au monde entier.
@Hima Jeremy: « Celui qui a cruellement assassine Son Excellence Ndadaye,…ne serait pas a Arusha… »
1.Le citoyen burundais lambda/MUNYAGIHUGU NYARUCARI a droit de se demander comment cela pourrait arriver alors que le Gouvernement burundais parle souvent de l’independance du BEAU PAYS DE MWEZI GISABO.
2. « DOUZE ANS APRES LA DATE PREVUE PAR L’ACCORD DE PAIX D’ARUSHA DE 2000, on connait enfin les noms des onze membres de la Commission Verite et Reconciliation (CVR), chargee d’ETABLIR LA VERITE SUR LES MASSACRES INTERETHNIQUES AU BURUNDI DEPUIS 1962… »
(Voir Burundi: La Commission Verite et Reconciliation voit enfin le jour. http://www.jeuneafrique.com, 4 decembre 2014).
On comprend que la question de la justice internationale importe tant pour le ministre Tchadien – Idriss Deby n’était-il pas le conseiller de Habre à la sécurité et à la défense durant toutes ces années criminelles? Et maintenant que le dossier Habre est classé, le sien est frocément sur le dessus de la pile des juridictions…. africaines… renier la CPI ne sauvera pas tout le monde… le destin avance, la justice remporte de temps en temps des victoires sur les dictateurs et elle a le temps pour elle puisque les crimes sont souvent… imprescriptibles