Explosions d’obus et des détonations d’armes automatiques se sont fait entendre, ce matin vers 9 heures.
Selon plusieurs témoins, 3 obus ont été tirés. Deux à l’avenue de l’Université, en pleine route, blessant une femme au bras et un taxi-motocycliste au niveau de la jambe. C’est la police qui l’a évacué. Suite à ces explosions, les vitres de certains bureaux de la marie de Bujumbura ont été brisées.
Un autre obus s’est écrasé dans les enceintes des résidences gérés par des religieuses situés tout près du Lycée Rohero en face du siège de la banque BBCI. Des témoins indiquent qu’une femme a été grièvement blessée à la jambe. Elle risque d’être amputée.
A la 4ème avenue dans le quartier Bwiza, au cabaret communément appelé ’’Kwa Roza’’, des témoins affirment avoir vu un homme en civil tirer en l’air. Après quelques minutes, il est entré dans une maison et il en est ressorti habillé en tenue policière. Selon ces mêmes sources, cet homme est parti sur une moto.
D’autres sources sur place à la 4ème avenue à Bwiza nous indiquent que d’autres hommes armés ont lancés des grenades sans faire de victime. Après leur forfait, ils sont partis à bord d’un taxi qui semblait les attendre.
La brigade anti-émeute est arrivée sur les lieux après un quart d’heure. Cette intervention rapide a créé une panique générale. Ces policiers n’ont pas pu arrêter cet homme. Selon la police, un suspect a été arrêté et a saisi un ’’obus que ce terroristes n’avaient pas utilisé’’.
A la station d’arrêt communément appelée ’’Permanence’’ à Bwiza, c’était un remue-ménage lors de ces explosions d’obus et des tirs à l’arme automatique survenus tout près de la Brarudi. Un carambolage a été évité de justesse. La police parle de poursuite d’un malfaiteur qui était sur une moto.
Tous les bus stationnés et d’autres en attente de clients, ont démarré en trombe et en même temps dans un concert assourdissant de klaxons et de crissements de pneus pour se mettre à l’abri.
Uwo wese aronderera amahigwe yivy’isi mu nguvu, no mu kwica abanyagihugu, uwusesa amaraso ya mwenewabo, ivyiwe nta shingiro bizokwigera bironka, kandi bizokwama bimubera intambara zidahera, lero uwabimenye n’uwakira ivyo ahawe n’Imana mu mahoro, ivyo nivyo birama, amaraso ntarekura, abarundi nibihane, bakarabe icitwa ikibi cose, amaraso arahumira imiryango, saba imbabazi Imana yo mw’ijuru. n’umuvumu ugoye kuzimangana.
Bible y’Imana yo mw’ijuru, yo yaremye vyose, irazi intango n’iherezo rya vyose, ivuga yuko « uwicisha inkota azokwicwa n’inkota », ngo vyose bikorerwa mu maso yayo, Imana ikinumira, ukwihangana kwayo gutuma irindira yuko abantu bohinduka, ariko mu vyanditswe ngo nta n’aka » i » kazovako, kandi ngo uguhora ni ukw,Imana yo nsa. Nti ducike intege, tubandanye twambaza Imana yacu yo mw’Ijuru, ifise inzira nyinshi zo kudutabara, abo izokoresha niyo izobitorera, leka twizere Umwami wacu Yezu, ari ku Ngoma, niwe ntsinzi yacu. Abo nabo bazeye amahirwe yo kw’isi, mu maraso ya bene wabo, abo bakorera guhona, tubifurije guhinduka.
« On peut tromper une partie du peuple tout le temps, ou tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple pendant tout le temps »
Les années 1990, Mgr Ntamwana s’exprimant en pleine messe à propos d’une population en quete de démocratie enchainait : « Laissez passer mon peuple ».
Et à la veille de la contestation contre le 3ème mandat de Pierre Nkurunziza, 20 ans après, c’est le meme prélat qui est revenu pour dire à de jeunes croyants venus suivre la messe, c’était à Gitega: « Sindumuja, kandi namwe ntimwemere kuba abaja ».
Qui sont ces burundais qui ont décidé de pourrir leur ville et leur vie , sans aucun espoir de reprendre le pouvoir?
probablement des drogués, sinon on y comprendrait rien!
Nkurunziza Pierre accepte de dialoguer avec tes compatriotes que tu as écarté du parti et de l’armée, stp!! C’est pas parce que certains roulent dans des véhicules blindés avec des cortèges ici et là qu’ils vont refuser de dialoguer pour que les bombes arretent de tomber dans la capitale. Ces gens qui tirent des bombes sur la capitale ne sont pas logés ds les quartiers contestataires. Ils sont dans Bujumbura rural, ils vivent là bas. Ils sont professionnels et très dangereux. Et leur démonstration prouve que finalement la popularité que Nkurunziza se colle est à douter, et que c’est pas seulement 3 quartiers qui sont contre ce mandat maudit
Meilleurs voeux de 2016 à la SilentMajorityAndVictims! Que le 1212Massacres soient bannis pour un plus jamais
laissez la population burundaise vivre en paix, svp!
Ce n’ est pas par lancer les obus sur elle que vous aller resoudre vos problemes.
je pense vrt a ces victimes ,ces innocents!!!
Dialogue oblige, svp
vive la paix au Burundi!!
Ma pensee aux blesses mais aussi a tous ces jeunes qui sont portes disparus par la police, et tues par apres.
Oui, dialogue oblige. La paix – la vraie du Burundi ne concerne pas celle des muscles, qui tend a proteger une partie de la population. Il faut cesser cette violence, l’egoisme et la haine devraient etre remplaces par le vrai patriotisme.
Entre temps, il fallait voir la police en « mood violence » en ville, comment elle traitait tout citoyen passant; le professionalisme…, il n’est pas leur probleme. En tout cas, il sera tres difficile de redorer l’image de la police.
Dialogue entre qui et qui? avec ceux qui tirent les bombes sur la population???arrêtez ce cynisme. Leur place est en prison.
Qu’est-ce que cela signifie? Un individu qui s’entête au pouvoir alors qu’il n’est pas légitime? Nkurunziza n’est pas le Burundi. Le Burundi n’est même pas une propriété familiale. Pourquoi doit-il vider les richesses du Burundi et aller jusqu’à endetter le pays (c’est le Burundi: le contribuable qui remboursera) pour rester inconstitutionnellement sur cette chaise? Pourquoi tant de morts tués par les forces qui devaient protéger le peuple? Pourquoi tant de paupérisation de la population. Le député Destexhe affirme que Kagame peut briguer un autre mandant parce qu’au moins il a stabilisé et développé le pays, mais Nkurunziza pour quel motif peut-il confisquer le pouvoir en utilisant la richesse du pays? De quelles réalisations peut-il se targuer? Il n’a aucune, aucune si ce n’est que les Imbonerakure qui rançonnent, terrorisent et tuent la population. Il est plus que temps de le déraciner et le planter sur le banc du tribunal international.
Louis: Premierement la democratie burundaise repose sur la regle du droit. Sans etre un supporter ni de Nkurunziza ni de son parties, je rejete l’argument en inconstitutionalite du mandat presidentiel actuel. Il est bien passe aval de la court constitutionnelle. Ca c’est la regle qu’on s’est sciement choisie. Deux, du rapport entre Kagame et Nkurunziza. Qui est competent pour faire des bilans? Kagame et hombre de sea collabos sont recherche s international pour crimes de sang plus graves. Ni Nkurunziza, bad as he is, ni aucun collabo n’est, apres dix and de service, encore sous mandant d’arret international comme on vu avec Gen Karake Karenzi. Finalement, as bad as it is, le CNDD n’ a pas amasse plus de 500 millions de dollars end fortune, ne fait de commerce comme le FPR. No Nkurunziza ni autre official burundais n’a recemment insulte des autorites rwandaises publiquement. Et le bilan que vous accorder a Kagame est partiellement finance par des biens voles au Congo que le Rwanda, a l’instar de l’Ouganda-qui ete condamne a payer plus de 4 milliards de dollars a la RDC-devra un jour rembourser. Une grande parties donc de ce credit vous donnez a Kagame a ete realised grace au Burundi-je condamne tous les Burundais pour leur cecite et silence-qui n’a pas proteste centre ce pillage et destruction d’une economie « locomotive » du Burundi. Kagame, en volant et tuant au Congo, en mettant a plat la CEPGL, a participle a misere qui alimente la crise burundaise actuelle. Merci d’ouvrir vos yeux aux realites stratetiques de la sous-region.