En réponse à une lettre lui envoyée par les syndicats COSYBU, SYTRATHE, STUB, SLTR, …, la 2ème Vice-Présidence de la République met en place une équipe interministérielle de réflexion et de propositions. Elle exhorte ces syndicats d’attendre avec sérénité la suite réservée à cette question et de continuer à croire en la sincérité et la force du dialogue.
«La Deuxième Vice-Présidence de la République voudrait saisir cette occasion pour rassurer les employés des institutions que la mesure prise par le gouvernement l’a été dans le souci de garantir l’équité sociale et la solidarité pour tous les Burundais sans distinction aucune.» C’est ce qui ressort d’un communiqué de presse, du 18 mars 2016, de la 2ème Vice-présidence de la République.
Dans une lettre envoyée à la 2ème Vice-présidence, ces syndicats s’insurgeaient contre la mesure du gouvernement du Burundi relative à l’octroi d’une indemnité d’ajustement des disparités salariales et au gel des annales, primes et indemnités. Ces doléances syndicales concernent en grande partie les Administrations Personnalisées de l’Etat, les Etablissements Publics à caractère Administratif et les Sociétés à Participation Publique.
La Deuxième Vice-Présidence rappelle que le Gouvernement du Burundi a, depuis 2005, pris des mesures salutaires visant l’amélioration des statuts des fonctionnaires de l’Etat. Elle cite notamment l’ouverture au dialogue social demandé «de manière responsable» par le personnel enseignant et accepté par le Gouvernement, l’amélioration des statuts des magistrats et du personnel du ministère de la santé publique, l’augmentation salariale à 34% consentie à la veille de la Fête Internationale du Travail de 2007 par le Chef de l’Etat, et surtout la pomme de discorde : «l’engagement du Gouvernement à rendre disponible un montant de 80 milliards de Fbu et l’inscrire dans la loi des Finances, pendant 4 ans, à raison de 20 milliards de Fbu par an à partir de cette année 2016, en vue de réduire les disparités salariales et, partant, harmoniser ces dernières.»
La 2ème vice-présidence préconise le dialogue
Selon le communiqué, la 2ème Vice-Présidence vient de mettre en place une équipe interministérielle de réflexion et de propositions dans le but de faire suite efficacement aux doléances exprimées. «La 2ème Vice-Présidence de la République saurait gré aux responsables habilités de surseoir à l’octroi des avantages susvisés en attendant l’issue du dialogue qui sera organisé par le Comité National de Dialogue Social sur base du rapport qui sera produit par l’équipe interministérielle déjà mise en place.»
La Deuxième Vice-Présidence de la République demande aux syndicats d’attendre avec sérénité la suite réservée à cette question et de continuer à croire en la sincérité et la force du dialogue.
Signalons que les syndicats avaient demandé l’arrêt sans délai de cette mesure, et avaient menacé de prendre des décisions appropriées conformes à la loi si le gouvernement ne sursoit pas à cette décision.
@Fabrice Manirakiza
Annales: les esprits mal tournés peuvent retourner ce mot en gros mot; sur ce moi souvent je lui préfère « augmentation annuelle » du traitement; même si c’est un peu trop long! je rigole!!!
@ bagaza qu’entends tu par société civile?
@ Jeremy
Hewe, d’apres les enseignements civiques de NDUWIMA…, BARANDAG…, NKURU…. et autres, le Burundi n’a pas besoin de ces aides etrangeres. Tu n’a pas compris!!!!!! Ushaka iki kuri abo bantu????!!!!!!!! Canke uriko uravuga kuruhande rw’iwawe??? Urashonje deja, ata n’ukwezi kurahera, ingingo zifashwe????? Kaza booti,mwanaume!!!! Kubari ufe kiofisa.
@Ntazizana…tu as oublie de mentioner que le burundi est trop riche il peut s ‘en passer de petite miette des petits neo colons…je crois que ces dd vivent dans leur planete propre pour ne pas dire des singes. L’urunana continue a la RTNB une farce de mauvais gout.
We Hima Jeremy ivyo uvuze uguye Hors sujet par rapport à l’ article relatif aux fonctionnaires !
Une bonne nouvelle est que Francine Niyonsaba vient d’etre premiere dans la competion d’Atletisme qui se deroule au Etats Unis. Quelques Burundais honorent leur Patrie alors que d’autres voyagent a travers le monde pour salir leur pays par des mensonges et domander aux Blancs de couper leurs aides. Quelles contradictions?
Jeremy, n’oublie pas: ie Burundi est souverain. Pas besoin d’aide!!!
Oui, effectivement le Burundi n’a pas besoin des aides qui viennent diviser les Burundais car la plupart de ces aides passe par une partie de la Societé Civile qui est monoethnique.
Bagaza, le Burundi est souverain (fini les aides et fini les réclamations à ce sujet)
Le débat est clos.
Le pays est riche
cher Bagaza
il ne faut plus ressortir les vieilles théories, il faut évoluer, » diviser pour régner » n’est plus d’actualité. Abazungu comme tu veux bien insister là dessus ne refuser pas d’aider le burundi parce que le président est hutu ou tutsi, c’est uniquement qu’on ne respecte pas les accords. j’ai même lu que les organismes qui auront cette aide devront se conformer aux accords d’arusha pour leur personnels. C’est très bien sauf que ces accords on les brandit quand ça arrange et on les enterre vite pour d’autres sujets. je te laisse le temps de lire l’article sur ce lien:
http://agencebujanews.blogspot.fr/2016/03/communique-de-lolucome-sur-le.html.
Uwanka Nyabuzana amwankana n’ubuzana bwiwe. Mbe ayo mahera y’abakoroni muyahigako iki? Un peuple indépendant et autonome ne va pas chercher des miettes d’aide chez l’énemie de son pays et de son peuple.
Ubona ko abarundi bo hambere baca utwibutsa twinshi, ngo « Wanka bangwe ntiwanka zana ndabe ».
Reka ubukene bubice bicike urabe ingene twicuza. Kwa Nkuru ho ibigega birabogaboga, kandi ivyo ni ukuri, hazokena twe ba nyarucari, n’abashigikiye mandat badasigaye inyuma.