Des femmes mûres entretiennent de jeunes hommes pour du sexe, un phénomène urbain. Une caractéristique d’une société où le plaisir prime, selon un sociologue.
« Sugar mummy » ou maman-gâteau, c’est ainsi que l’on désigne les femmes de plus de 45 ans qui recherchent du plaisir sexuel auprès de jeunes hommes, souvent la vingtaine, pour les entretenir en retour.
M.S., une divorcée, 45 ans, est en couple avec un étudiant de 26 ans, presque le même âge que sa fille aînée. Cette mère de trois enfants ne fait pas son âge. Chic, coquette… elle fait tout pour se rajeunir.
« Je l’ai rencontré dans un bar », raconte-t-elle. Un simple flirt qui a viré vers une vraie relation, d’après elle. Cette sugar mummy affirme qu’elle vit une sexualité épanouie avec son « copain ». Joyeuse, elle lâche : « On s’amuse beaucoup au lit et il tient vraiment à moi.» Elle préfère les jeunes car « beaux et dynamiques au lit ».
M.S. confie que son divorce l’a beaucoup affecté et qu’elle n’était pas heureuse même avant. « Je me suis ainsi jurée de vivre pleinement mon célibat… ça faisait longtemps ! »
Par l’attrait de l’argent et des «cadeaux de luxe », Michel, un jeune citadin, la vingtaine, affirme être courtisé par une veuve de plus de 45 ans, l’âge de sa mère. Chic, riche, cette femme mûre recherche un partenaire sexuel pour voir la vie en rose, assure Michel.
Crédule au début de la relation, ce n’est qu’après quelques mois qu’il a compris que cette mère de deux garçons voulait devenir sa « sugar mummy ». « Je n’ai pas résisté à son argent. »
Sûr de lui-même, Michel confie qu’il n’est pas gêné par cette relation. En nous voyant, estime-t-il, les gens croient que c’est une tante, un membre de la famille… tout sauf ma partenaire. Il affirme qu’il l’a connue grâce à un ami et que c’est la « sugar mummy » qui a fait le premier pas.
Le plaisir sexuel, une grande préoccupation !
« C’est une caractéristique d’une société moderne où le plaisir sexuel devient une grande préoccupation. », explique Dr Désiré Manirakiza, sociologue. Jadis, poursuit-il, la femme était considérée comme la donneuse du plaisir. Elle n’avait pas le droit de le réclamer. Il souligne que le libéralisme sexuel constitue un virage à 180 degrés : « Les femmes non seulement cherchent du plaisir sexuel, mais sont prêtes à l’acheter. » Il estime que la plupart des sugar mummy sont des femmes qui ont été privées du plaisir sexuel, elles veulent se rattraper.Pour ce sociologue, quelques conséquences ne sont pas à écarter. Ces jeunes hommes ou filles deviennent totalement dépendants. Habitués à recevoir de l’argent facilement, sans travailler, ils ne pourront plus gagner leur vie autrement. « C’est la prostitution proprement dite qui s’en suit. »
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Les femmes cougars, ça existe partout…il n’y a pas qu’au Burundi….et ça va être de plus en plus répandu avec le pouvoir d’achat des femmes….c’est la revanche de la gente feminine….d’ailleurs en Occident, la société va devenir de plus en plus matriacale car les filles restent plus longtemps aux études que les garcons….donc plus tard, ce sont elles qui vont tenir le cordon de la bourse du ménage et du coup imposer leur propre loi….mes chers amis que ça vous plaise ou non, c’est au tour des femmes d’acheter aussi du plaisir….je suis partant!!!!
A vous entendre tous on est porter à penser que le seul péché serait d’un(e) jeune qui couche avec une femme plus âgée ou l’inverse . Pour moi un péché est un péché un point. Si ce n’était pas un péché au vue de Dieu , ce garçon ou cette femme a droit de faire son choix. Si jamais il y a dans le code pénal burundais quelque chose qui empêche cette relation , ils sont aussi condamnables. En définitif , que chaque homme ait sa femme pour éviter la débauche . Par ailleurs , la femme répudiée reste toujours la femme de son ex même si vivant séparément .
Ce sont les femmes qui sont decues par les hommes de leurs ages. Elles se refugient chez les jeunes pour trouver ce qu’elles n’ont pas eu d’eux pour ne pas mourir frustrees. C’est frequent dans les Pays occidentaux ou une femme ne s’accroche pas a un homme qui ne lui donne pas du plaisir et vice versa. Nous sommes deja contamines, les femmes s’emancipent. La sensibilisation est necessaire chez les hommes burundais qui traitent leurs epouses comme des door mats sur l’importance du plaisir sexuel dans un couple et au femmes d’etre ouvertes a leurs epoux pour leur dire ou elles souffrent et a ces jeunes pour leur dire que leur choix a des mauvaises consequences tot ou tard dans leurs vie.Les choses changent rapidement avec le temps, ne soyez pas etonnes si demain Clarise nous parlent des gay/lesbians.
Je me souviens de ce jeune de l’Université du Burundi en droit qui a été trompé par femme dans de telles condition a NYAKABIGA. Après il découvert qu’il était porteur de VIH SIDA et il eu de la trouille. Jusqu’aujourd’hui quand on se rencontre et qu’on le salue, il répond spontanément » REKA SHA NACIYE NANDURA UMUGERA. SINARI NZI KO YARIKO ANSORORERA UMUGERA ».
Bon rateye isoni!!!
Bavyita gupfubura
Abagabo babo babapfusha ubusa
Faites ce que vous voulez mais de grace protegeons nos mineurs
Bravo Clarisse pour tes articles !!!!!
@Mthukuzi
»Etre émancipé c’est être libre de vivre comme on l’entend. »
Le mot liberté a deux significations:
a. Faire tout ce qu’on veut, comme on l’entend. C’est la vie selon le monde et les jeunes le comprennent souvent comme ça. Cependant, vivre en étant enchaîné par ses passions et les passions sexuelles en particulier, c’est de l’esclavage. Il en est de même de la gourmandise, de la beuverie, de la drogue et j’en passe. Ici, nous avons affaire à de la fausse liberté, celle qui amènera le monde à la perdition pour le plonger dans les mains de Satan et de ses suppôts.
b. Certaines autres personnes ont compris qu’il ne faut pas vivre comme le monde le préconise. Pour elles, il faut se détacher de tout, de ses passions et des séductions du monde. Elles ont parfaitement compris que Jésus-Christ, mort sur la croix et ressuscité, est venu libérer les gens de leurs chaînes. Elles ont compris la volonté de Dieu sur elles et suivent cette voie. En ce faisant, elles vivent la vraie liberté, celle des fils et des filles de Dieu. Leur vie éternelle auprès de Dieu leur est garantie.
Le grand paradoxe reste que le danger de perdition est plus élevé dans les sociétés qui cherchent à interpréter littéralement ce que vous préchez. A méditer…
Ariko Kabadugaritse ntutwenza ngusigaze none ashaje akazako ama rides azoba abaye ivyatsi, ibiti canke urwiri kugira ngo bitinde bikunde abe amazonie?????
De ma part, je pense quíl faut prendre au serieux la conclusion du sociologue. La consequence sera que toute une generation de jeunes hommes irresponsables, depedants puisque habitues a de l »argent gratuit. Vous dites que le Burundi est soud-developpe? Attendez ce que va nous rapporter ce phenomene.
A bon entendeur salut!
@Rutake Tharcisse
La journaliste tanzanienne Amby Lusekelo vient de rappeler ce message de Mwalimu Julius Kambarage Nyerere (13 avril 1922- 14 octobre 1999), ancien president de la Republique Unie de Tanzanie:
« A man is developing himself when he grows, or earns enough to provide decent conditions for himself and his family; HE IS NOT BEING DEVELOPED IF SOMEONE GIVES HIM THESE THINGS. »
(Voir Amby Lusekelo: » Dar es salaamians talk, talk and talk », http://www.dailynews.co.tz, 23 October 2016).
Hypocrisie, hypocrisie, encore et toujours!
Quand je lis les réactions de certains, un seul constat me vient en tête: le patrircat a du mal à accepter que les femmes puissent entreprendre quoi que ce soit pour leur propre plaisir. Car « la société » risque de perdre le contrôle avec pour conséquence la « dégénerescence », comme le dit madame Jeannette en bas. Si la pédophilie reste un crime à combattre avec la dernière énergie, la relation « amoureuse » impliquant deux personnes majeures – quellle que soit leur différence d’âge – reste un droit. S’agissant maintenant de femmes plus âgées contre des garcons plus jeunes, c’est aussi un signe d’une évolution normale de la société et d’émancipation de celles-ci. J’ai juste envie de dire une chose à ces braves femmes qui bravent ces tabous: A VOTRE PLAISIR!
@Mthukuzi,
[Ndlr: c’est aussi un signe d’une évolution normale de la société et d’émancipation de celles-ci]???,
Je croyais que l’émancipation de la femme veut dire la parité entre l’homme et la femme dans tous les domaines mais je savait pas qu’il faut coucher avec les jeunes garçon les moins âgés!!
Etre émancipé c’est être libre de vivre comme on l’entend. L’égalité s’exerce entre les personnes libres. La femme ne peut pas prétendre à la parité alors que même sa sexualité reste sous le contrôle des autres. Par ailleurs, la liberation sexuelle de la femme ne suffit pas, je n’en disconviens pas. J’ai tout simplement dit qu c’était UN signe, pas LE signe. C’est un indicateur parmi d’autres.
@Mthukuzi,
Si l’émancipation veut dire être libre de vivre comme on l’entend, pourquoi ne va-t-elle pas courtiser les hommes de même âge qu’elle? Mais elle choisit les jeunes parce qu’ils sont faciles à tromper! C’est une pure déviation et une sorte violence sexuelle. La Police devrait traquer et les femmes et hommes qui s’adonnent à cet acte destructeur du Burundi de demain!
Et comme les hommes couchent avec les jeunes filles!!!! En ce sens on pourrait penser et défendre que le fait pour une femme de coucher un jeune homme qui a l’âge de son fils constitue une forme d’émancipation. Si les hommes le font pourquoi pas les femmes?
@Mani,
J’ai voulu condamné tous ceux qui commettent cet acte barbare car cela n’a autre but que détruire l’avenir de ces jeunes!
ce sont des gateaux empoisonnés
Et quelle direction cela prendra-t-il? Quel en sera la finalité?
Si l’inverse (en âge) pouvait faire moins de dégâts, le reste ne peut qu’être une forme invisible de descente aux enfers pour le jeune garçon. Ayez courage, chère Clarisse Shaka, de montrer tous les aspects de cette soi-disant relation de plaisir qui ne va pas tarder de virer au goût amer pour le garçon. La femme en aura déjà tiré tout son jus de plaisir avant que les rides n’envahissent son corps et qu’elle donne au public l’image de l’Amazonie. Amazonie, car géographiquement tout le monde connait mais personne n’y va.-
C’est une pure malédiction! Tout de même que les papa très âgés qui font la cours derrières les filles de même âge et même moins âgés que leurs propres filles! Où allons-nous? Que Dieu nous pardonne!
Encore Clarisse! Wahora he ga ntu!
La fin du monde approche…Si vous couchez avec quelqu’un qui a le meme age que votre fils, c’est le diable qui couche avec vous.
@Jean Bigirimana.
« La fin du monde approche…Si vous couchez avec quelqu’un qui a le meme age que votre fils, c’est le diable qui couche avec vous. »
Le diable ne peut coucher qu’avec celui qui croit en lui!
Par ailleurs, paraît-il que la prostitution est le plus vieux métier du monde!
Cessez votre hypocrisie!
C’est le dégénérescence de notre société!!!!
Tout simplement honteux!
Ces femmes sont des diables qui attirent de jeunes gens dans la prostitution. Honte à elles!
Cher Clara, ai je tort de comparer les femmes gateaux à des diables?
@ Jeannette
Faites-vous plaisir mesdames! Il n’y a pas de mal à ça tant que vous le faites avec des adultes consentants. À ceux qui parlent de diables et de fin du monde, je dis que vous êtes prisonniers d’une morale rétrograde et que votre mort sera votre fin du monde. N’oubliez pas qu’aucune forme de relations humaines, y compris le mariage (parfois de raison) ne peut échapper au jeu des intérêts…