La Stevco, entreprise qui veut développer la culture de la stevia s’indigne contre la décision du ministre de l’Agriculture et de l’Élevage d’arrêter la multiplication des boutures de la plante dans certaines provinces du pays. Alors que la population bénéficiaire est dans le désarroi, l’Isabu accuse la société de ne pas avoir respecté les clauses du partenariat.
Jean-Claude Bigirimana, agronome, affirme qu’ils ont arrêté le travail et renvoyé 40 travailleurs, surtout des veuves, sur les 70 qui travaillent sur le site. L’ordre d’arrêter la vulgarisation de la culture de la Stevia a été donné le 28 avril 2014 par Odette Kayitesi, ministre de l’Agriculture et de l’Elevage. La population aux environs du site de multiplication de la Stevia à Musenyi (Bubanza) est abasourdie. « C’est une chance d’avoir obtenu ce travail, mais je ne comprends pas pourquoi les autorités ont réagi ainsi », lance une quadragénaire, veuve depuis 10 ans.
Dans la province de Bubanza, en commune Mpanda, tous les outils de travail ont été confisqués et enfermés dans les locaux de la police communale. Les techniciens agronomes ont été déclarés « indésirables dans la province par le gouverneur après avoir passé une demi-journée au poste de police communal », fait savoir M.Bigirimana. Même grogne dans les autres provinces du pays.
Un manque à gagner en termes de milliards
Epitace Bayaganakandi, président du comité de suivi de Stevco (capital social : 3.200.000.000 Fbu), assure que les dégâts et les pertes causés par cette mesure sont énormes. C’était dans une conférence de presse organisée, ce 6 juin. La mise en valeur des terrains, l’installation des germoirs et des pépinières, l’importation des semences, les activités de semis et de multiplication, de location des terrains, la coopération technique ainsi que les constructions en cours s’estiment à plus de 2 milliards de Fbu.
Il mentionne aussi la mise au chômage et la perte de revenu pour 400 personnes. Ce sont des particuliers ou des membres des associations qui avaient signé des contrats de multiplication de cette semence avec la Stevco. L’Etat du Burundi, poursuit M. Bayaganakandi, enregistre aussi un manque à gagner de 2.841.000 dollars (rentrées de devises), 3 milliards de Fbu (taxes et impôts) et 25 milliards de Fbu d’investissements en cours. Et d’ajouter le découragement des investisseurs potentiels.
« La Stevco n’a pas voulu travailler avec nous dès le début »
« La Stevco n’a pas voulu travailler avec notre point focal affecté dans le cadre du partenariat signé le 10 octobre 2012. La société nous a demandé d’envoyer le point focal deux mois après qu’ils aient planté les semences dans les pépinières », accuse Dieudonné Nahimana, directeur général de l’Isabu.
Or, martèle-t-il, la semence n’a pas encore eu de certificat d’homologation délivré par l’Office national de certification des semences du Minagri. Il fait savoir que même si elle a été expérimentée en Chine ou ailleurs, il ne s’agit pas du même climat qu’au Burundi. Et d’insister : « D’autres recherches sur cette plante doivent être menées par l’Isabu qui a la technicité et le mandat pour le faire. »
La semence est déjà certifiée par des centres de recherche internationaux
« Nous avons un contrat de partenariat de recherche participative avec l’Isabu sur la culture de la Stevia depuis le 10 octobre 2012. Nous avons eu aussi la permission d’importer 12 tonnes de semences de la Stevia », indique Fabien Gahungu, responsable agronomique du projet Stevco. Le contrat a été renouvelé le 27 avril 2014. « C’est la preuve que nous travaillons ensemble. » Le lendemain de la conclusion de ce contrat, la ministre de l’Agriculture a demandé à tous les DPAE d’arrêter la diffusion de la culture de la Stevia.
– Au cours de notre visite, nous avons constaté que les germoirs ont répondu positivement, parce que nous avons estimé que le taux de germination se situait entre 75 à 800/0
– La densité de semis était élevée
– Certaines graines ont germé très rapidement (3ème jour après semis), tandis que les autres ont continué à germer jusqu’au 8ème jour
– Le développement des plantules suit l’allure normale sauf les germoirs où le semis a été très dense
– Concernant les maladies et ravageurs, quelques attaques des termites et fourmis ont été observées, et des champignons liés à l’humidité excessive
– Suite au taux de germination excessive, on a dû faire le démariage des jeunes plantules. La transplantation a débuté le 3 Avril. Elle se poursuit avec les plants qui atteignent la taille requise
Pourtant, regrette-t-il, elle a déjà été certifiée par des laboratoires spécialisés et des centres de recherche internationaux. « Cette culture a un certificat d’origine qui montre toutes ses caractéristiques. Le climat, le sol, la température… adaptés. » Cet ancien chercheur à l’Isabu, durant 8 ans, déclare que l’Isabu n’est pas mieux outillé que les laboratoires spécialisés pour faire toutes ces analyses. Qui plus est, le rapport de leur point focal était positif (encadré). « C’est une preuve que nous sommes sur le bon chemin. »
Nous demandons l’encadrement de l’Isabu
Une délégation composée de membres de la 2ème vice-présidence, du ministère de l’Agriculture et de l’Isabu s’est rendue, du 3 au 5 septembre 2013, au Kenya pour négocier avec la société Purecircle. Objectif : introduire la Stevia au Burundi pour le compte du gouvernement. Le 10 mars 2014, une nouvelle société Soprod-Stevia est agréée et son siège est à Vyanda (Bururi). Comme le montre le statut de la société, les associés sont Jean-Bosco Bizimungu, Jaffar Nkomo et Naima Jaffar Nkomo. Le capital social est de 60 millions de Fbu. Ce montant ne peut couvrir que l’achat de 30 kg de semences de Stevia, note M.Bayaganakandi. « La concurrence est la bienvenue, mais qu’ils nous laissent travailler. Nous demandons seulement que l’Isabu nous encadre. »
Epitace Bayaganakandi souligne que le Burundi importe aujourd’hui de nouvelles variétés qui sont certifiées et directement diffusées : « Des semences de palmier à huile, de bananier, de riz, des huiles essentielles. Même chose pour les bovins et les caprins. » Notre Stevia, ajoute-t-il, remplit les normes de qualités régionales et internationales ainsi que les normes phytosanitaires. Il est déjà en diffusion au Rwanda, au Kenya…
Il faudrait à tout pris aider et non bloquer surtout pour des intérêts individuels ou par ignorance de la pauvreté qui affaiblit les ménages ou du système ISABU presque pas fonctionnel dans plusieurs cultures même ceux déjà cultivée au Burundi , Rappelez vous que vous êtes une femme, choisie parmi des milliers de femmes ( ma sœur , ceux qui t’ont conseillé sur ce dossier ne vous aiment pas )
Que tu sois bénie
Et pourtant le Stevia pousse bien au Burundi. Et pourtant il y a un marché d’écoulement! Et pourtant nous avons un politicien qui voit loin et non au bout du nombril!
Et pourtant nous avons un Président qui invoque Imana yo hejuru mais qui laisse l’injustice se commettre devant ses yeux?
Où allons-nous de ce pas?
Ni bareka Bayaganakandi ateze imbere abarundi; ninde yagize nk’ivyo bagahaya?
Abarundi ni beza , n uburundi ni bwiza ,
Mutama Bayaga eka kweri uri umwete , kandi wibagira ningonga, odeta ati izine y icayi yawe ugara , na macamions yuzuye icayi agapfungwa , ubonye urarusimvye ??????,Imana ikakuja imbere
Wagarukanye I projet yuburimye Odeta akihatwara
Umuyobozi wa Isabu yoyemera we yorara amurengeje urugo, ndakurahiye
Imana yo mwijuru niyo izohagukura , Senga kweri, ushireko nirozari nyeranda
Uwo mutama yagwaye ibiki????????
La stevia est interdite en Europe. Elle n’est pas bonne pour la santé. Par ailleurs si j’ai bien compris, elle cultivée dans les pays voisins. Quelle est la chance qu’à le Burundi de concurrencer ces pays?
Une fois que cette plante ne trouve pas de marché, les Burundais auraient abandonné le peu de terre qu’ils ont au détriment des cultures vivrières pour rien. Au lieu d’investir dans une agriculture qui ne profite aux étrangers, il faut créer un marché intérieur. la situation va être la même comme celle du café qui ne profite qu’aux étrangers et à une poignée de gens qui exploitent les paysans.
Imagination… izina rirafashe kweli! Comment peux-tu dire que la Stévia est interdite en Europe alors qu’elle est vendue dans la grande distribution comme un édulcorant naturel? dans les sucrettes pour diabétiques, dans les boissons gazeuzes … Cet additif alimentaire y est admis par l’UE.
Je pense que Kayitesi ne fait qu’exécuter les décisions venues d’en haut. En effet, j’estime qu’un Agronome ne peut pas prendre une telle mesure qui ne se justifie pas sur le plan agronomique. Concernant, la recherche, l’ISABU (actuellement dirigé par un simple ingénieur à la place d’un docteur ou Doc Ir avec un manque criant de chercheur de niveau doctorale) devait se moderniser et abandonner les protocoles classiques de recherche surtout pour des projets aussi innovants. C’est vraiment triste à entendre certaines déclarations de certains cadre du MINAGRIE défendant la cause des généraux au pouvoir. Mais je les comprends, ils sont sont là surtout non pas grâce à leurs compétences mais parce que ce sont des grands militants du CNDD FDD. Il se ridiculise et déshonorent les prof qui les ont enseigner. Je suis sur que si le gouvernement avait demandé l’avis des experts chercheurs qualifiés, il n’aurait pas pris une telle décision qui lui coutera cher.
@ Stevco, @ Soprod-Stevia, et tout ce monde, please check this out:
New Vitaminwater Swaps Sugar For Stevia, Grosses Out Fans
http://www.huffingtonpost.com/2014/06/11/new-vitaminwater-stevia_n_5480714.html
Je cite: For the past two weeks, Vitaminwater’s fans have pilloried the brand on Facebook, repeatedly complaining that the “naturally sweetened” bottles taste like “cough syrup” and “chemicals.” One even compared the flavor to that of “bug spray.”
Ceci dit, l’idee est bonne parce que le Burundi se tourne vers l’agri-business. Mais, le risque que le produit venant de Stevco, Soprod-Stevia et autres cie, soit invendable est reel. En passant, dans les annees 90s, la commercialisation des derivees de la stevia avaient ete interdit et re-autorise aux USA et ailleurs. Qui va alors assumer les consequences? La population qui aura abandone la culture des autres produits et investit dans la stevia va directement subir ces consequences. Entre le gvt et ces compagnies, qui va les indemniser?
Je me demande toutes ces questions tout en reconnaissant que je n’ai pas tous les details du projet, comme qui assume les couts des semences, les intrants et autres frais. Dans ce cas si c’est cette pauvre population, les consequences seront devastatrices quand ils auront realise une tres bonne recolte mais qui se revelera invendable.
Je serai peut-etre un peu contradictoire, l’idee est bonne comme je l’ai dit avant. Mais quand le consommateur, a un mauvais feedback datant de Juin 2014, il y a lieu de se poser des questions. Rappelez-vous, en occident on dit que le client est roi. Entre temps, abarundi tuzosanga turiko turwanira ubusa nkuko twamye kuva na kera na rindi
Peace out!
Bayaganakandi a eu l’idée géniale de développer des projets agricoles et rentables. Seulement il a été naîf en pensant que les CNDD FDD vont lui faciliter la tâche. Le problème de la stévia n’est pas technique/agricole mais politique avec des dimensions de la corruption. Mme Kayitesi actuellement Ministre de l’Agriculture a fait la faculté d’Agronomie (FSA) à l’UB. Elle ne devrait pas ignorer qu’une plante comme la STEVIA est interessante du point de vue rendement. La stévia est originaire des régions tropicales d’Amérique du Sud (Paraguay), elle pousse à l’état sauvage dans des prairies ou des massifs montagneux, sous un climat semi-aride. C’est comme les autres plantes sauvages du Burundi ( Umunyankuru, umufumbegeti, igicuncu,…), elle sait que cette plante ne présente aucun danger sur la diversité de la flore au Burundi. Elle abuse de sa fonction de Ministre pour empecher plus d’un million de ménages de gagner un revenu grâce à la culture de cette plante.
Le ministère de l’agriculture à travers l’ISABU ne se soucie plus de la diversité des culture d’exportation. L’ISABU n’est plus innovants après l’époque de Bagaza. Un homme d’affaire ( Bayaganakandi) s’informe (plus que les agents de l’ISABU occupés à dormir dans les bureaux) sur la stévia et fait un projet de son introduction au Burundi, après 2 ans d’essaie ( par Bayaganakandi), l’Isabu se réveille et remarque qu’il y a une nouvelle culture qui génère des devises, des missions à l’étranger sont programés et l’état veut contrôler la filière en excluant son promoteur.
Bayaganakandi, aba DD baramenye ko kirimwo amahera bagomba bagukuremwo, rondera uwo ari hejuru yabose ashiremwo umutahe narirya amavoka na ananas vyamunaniye, nayo ahandiho ntuzokora.
C’est vraiment triste kubona abarundi tutabona kure,aha mu Burundi nibake bashobora gufata risque dans les affaires,n’ukurabanirako gusa,iyo babonye uwizaniye projet au lieu de l’encourager,nukumuca inkokora avec jalousie nagahemo katagira izina,hama bishobotse projet igatera imbere,tout le monde s’y met et c’est la faillite collective,uburorero ni bwinshi , nimurabe namwe le nombre d’hotels construits mu myaka itanu ishize a tort et a travers,ibizu d’habitation atakamaro nagato bifitiye igihugu ,….
Harageze ko twikebuka nuwusahuye aya Leta ntaje kuyazika murivyo bizu,tout est a faire dans notre pays nta n’ikibiriti kimwe c’umwampi dukora.
Reka uwo mutama yikorere projet yiwe yayitanguye arimwe nyene mwaba DD au pouvoir mumuhaye autorisation,iyo ISABU nayo hahahahaha reka kwiyambura agashambara ntawutazi ce que vous etes capable de realiser.
Bwana Bayaganakandi aha c’est parti de bonne guerre abo ba DD ntibazoguha agahengwe, mais comme je te connais ntankeka uzobikurako hama abarundi wahaye akazi bagushimire.Il faut tenir surtout ne te decourage pas et je sais que je ne t’apprends rien.
Iki gihugu kizotezwa imbere n’abana baco dont BAYAGANAKANDI.
CIAO
Voila le plan de developement DD: KUBUZA ABARUNDI KWITEZA IMBERE.
KIRETSE URI UMU DD AKOMEYE KANDI DE PREFERENCE UMUHUTU CAYICE MWISHAMBA!!!
Mamaje uwaturoze ntiyakaravye. Dandaze igihugu tugende.
Cher Ernest, dis moi sincerement quelle faculté as tu fait à l, UB?.
Harya uburundi buragowe nuko abantu muri naives kandi bitebe bitebuke muzoryivu rindira
1) Nta projet nimwe aba dd murakora ikaba réussi (Amavoka, ibikaju, ….)
2) Deniza yigishije vision abanyarwanda finalement il fallait commencer par son mari
3) Bayaganakandi yaraje gukura mukaga des milliers de foyers plongés dans la misère que vous avez crée dans les faux laboratoires
4) Aba dd nimwaba mugomba gukora business nimusubire kwiga administration kuko iyomwigiye mukibira ntikora yabaye expiré depuis
5) Bayaganakandi baguhora ubwoko, umugabwe hamwe nuko wanse kubafumbatisha
6) Ndabisubiyemwo nzovyemanga imbere yimana yuko hako ubu muburundi woba kwashetani mumuriro kuko wowo ntucagura ushitseyo ntaba dd mwese nicokimwe
7) 2015 nimwatora aba dd attendez d’être nourris comme les oisions
c’est pas su tout normal!!! comment est ce qu’ une autorité peut prendre une mesure pareille? est ce que la ministre a examiné les dommages et intérêts que l’Etat risque de pays une fois que la société porte plainte? en tout uburundi ntaho buva buja hariho decision udashoka ufata uko wishakiye motif ngo urumutegetsi ce qui prouve la ministre en question a des avantages recherchés qui l’a poussée d’agréer une autre société incapable financièrement a exercé l activité none inda zabarundi zieobageza hehe? 60 millionns ce quoi? 40.000$ est ce q ayo mahera yokora iki atubatse na bureau administratif vyasociété en elle?? en tout cé pas pour rien nicatumye baja guhiga indi société nicagiturire kitazigera gihera muburundi bari kubanza bakitura Isabu hama babona ko ivyobitegwa bidakwije bakayankira mais ahandiho nta motif nimwe yotuma société yankirwa gukora!!
Avec des taux de chômage aussi eleves et une pauvrete extrême qui règne dans nos campagnes, une telle mesure ne devrait être prise qu’en cas de force majeure. Il est vrai que nous devons sortir de l’anarchie et apprendre à respecter les lois, mais je crois que le non respect des procedures bureaucratiques observe dans cette affaire ne vaut pas le coût inflige par cette decision de la ministre.
Dans cette affaire comme dans beaucoup d’autres, ce n’est pas l’interêt superieur de toute la societe qui prime, trop souvent à cause de l’ego de nos hommes et femmes de pouvoir.
Mr Epitace, bahe ibihumbi ntakindi bakeneye. Vous n’avez rien compris du système DD. Que ça crée de l’emploi ou que ça rapporte des devise ce n’est pas leur souci. Bahe ibihumbi n’ejo uca ubandanya ibikorwa vyawe.
Ce Grand Messieur n’a qu’avenir investir au RDCongo. Avec la paix , la stabilité et la volonté du gouvernement de promovoir le climat des affaires, je lui trouverai un rendez vous à la primature pour mener à bon port son projet.
Si il veut voir loin et grand, il est le bienvenu au Congo. Tout le monde investi en RDCongo, c’est dommage que les burundais soient à la traine, il ne faut pas être frilleux. Les chinois reussissent, pourquoi pas les burundais.(français, chinois,turcs,allemands,israeliens, sud africains,kenyans,tanzaniens,etc….il ya de la place pour tout le monde.
http://www.investindrc.cd/fr/
Mon numéro est le +22790583337.
Abarundi, le ventriotisme va nous tuer. si on ne fait pas gaffe.
sincèrement, je trouve que c’est une problématique sur laquelle on a pas suffisamment d’éléments pour prendre telle ou telle autre position. D’un côté, Epitace doit se plier aux lois en vigueur ( Personne ne peut pas être au dessus des institutions), d’un autre côté, le Ministre doit favoriser l’emploi, l’investissement ( même dans les pays avancés, on peut passer outre les règles de la libre concurrence pour favoriser les champions nationaux). ce dossier manque d’objectivité!!
C’est une compagnie qui a créée beaucoup d’’emploi et qui ferait entrer des devises dans les caisses de l’Etat qui en manque cruellement. Cette compagnie a été autorisée à fonctionner légalement comment peut-elle tomber dans l’illégalité quelques mois après et surtout après avoir autant investis? Ce qui est sure les motifs de l’Isabu sont carrément amusants car les autres nouvelles semences (palmier à huile, de bananier, de riz, des huiles essentielles) sont normalement certifiées par les pays fournisseurs et non pas par l’Isabu, pourquoi cet acharnement contre Stevco alors d’autres compagnies notamment l’industrie de Nahum qui est en passe de vider toutes les banques avec zéro production jusqu’à présent continuent à fonctionner sous la bénédiction des autorités ?
Ce qui est malheureusement évident est que le souci majeur des dirigeants n’est visiblement pas celui de régler le chômage et le développement du pays mais plutôt garder avant tout la main sur le secteur économique et tempi si ça cadre ou pas avec l’intérêt de la population en général.
S´gissant de la décision du ministre de l´agriculture, elle est connue de tous ceux qui veulent investir ou aider à la promotion de certains projets d´ampleur nationale. Si vous ne donnez rien, elle n´appose pas sa signature, ou elle conserve le projet dans ses tiroirs.
Il y´a des cas très bien connus de certains bailleurs entre autres la FAO. D´autres cas quand elle était ministre de l´environnement sont bien connus.
Souvenez-vous aussi de ce que le cadre du ministère de l´agriculture hospitalisée au Caire a raconté aux medias.
Quel système DD!!!Bahuye n’umunyamwaro atazi kwikura ifaranga!!!! niyikore kuwinyuma arabe ko bitagenda neza!!! Uwuramvye arabona.
CHers JPK, Jean Pierre, Yoan, Bernard, Kimeneke, etc
En 1996, j’étais à l’Université. Je me rappelle bien des jours, dans un campus universitaire, je disais à mes amis que Dieu n’existe pas. J’avais de la matière, une argumentation, des théories humaines sur lesquelles je m’appuyait. Today, nzi neza ko IMANA iriho, ni IMANA IMWE, ishobora vyose, Irera, yaduhaye Yesu Kristo ngo adupfire ku musaraba. Iyo Mana ikiza indwara, ikiza ivyaha, kandi ikoresha abantu. Wewe utayizi Ijambo ry’Imana rivuga ngo Uyirondeje umutima wawe wose woyimenya Jérémie 29:11-13 kandi ngo uyirondere bigishoboka Yesaya 55:6.
Kandi ndayishimira ko itampaniye ukutamenya kwanje kuko c’était très grave!!! Nawe iracakurindiriye!!
Ntimutuke Imana (n’abakozi bayo) kubwo ingorane mufise canke igihugu gifise! Gusenga ntaco bipfana n’ubunebwe, ntaco bipfana n’ubukene! Twebwe, ku munsi birashika ko dukora amasaha ashika 14 (14 heures) muri entreprise privée kandi turi n’abakozi b’Imana hari n’abandi bakozi b’Imana dukorana.
Hanyuma kirya gikorane c’est une bénédiction pour le Burundi, a blessing for the Nation.
Que Dieu vous bénisse
Y´a-t-il relation avec l´article sur la Stévia Company?
Jewe nibaza ko wahinduye point de vue gusa ntushobora kutubwira ngo NDAZI ko imana iriho kuko handitse muri bibiliya ngo……Bibiliya nayo wishimikiza yazananye he?
je trouve votre raisonnement circulaire. c’est un sophisme de l’argumentation qui suppose comme prémisse ce que l’argument veut prouver.
Les chrétiens sont parfois coupables de cette erreur, en argumentant de la sorte:
Prémisse 1: La Bible est la parole de Dieu
Prémisse 2: La parole de Dieu ne peut pas mentir
Prémisse 3: La parole de Dieu dit que Dieu existe
Conclusion: Donc Dieu existe
Ivyo vy’ijambo ry’Imana bije gute muri iyi article?
Ce que je remercie au journal Iwacu est sa variété des articles;il touché sur tous les secteurs dre la vie. Comme humble suggestion, Iwacu devrait insister beaucoup sur le volet ‘Economie », vu ce don’t souffre les Burundais,surtout la jeunesse avec le chomage; montrer les petites entreprises qui ont réussi,montrer comment on ne doit pas toujours attendre un job répondant à la qualification( donc pas sous-estimer un boulot car il peut etre un tremplin à votre carrier de formation). Le gouvernement devrait encourager, soutenir et protéger les créateurs d’emplois.
Il faut laisser Bayaganakandi faire son business pcq il en est le promoteur. Arrêtons nos jalousies à l endroit de ceux qui réussissent. Il ne faut pas perdre de vue qu’ils prennent des risques. Arrêtons aussi de nourrir la concurrence déloyale dès que qlq un a réussi.
Cet Ernest me fait pitié. Quelle relation entre la Stévia et ses propos????