Une ordonnance de non-lieu vient d’être rendue, ce mardi 28 janvier, par la Cour suprême dans le litige qui opposait l’Uprona institutionnel et le courant de réhabilitation. Il est salué par les deux camps. Pourtant, dans l’avant midi, une grande inquiétude régnait à Ku Mugumya.
Après la décision des deux ailes de régler à l’amiable leur contentieux autour de la question du leadership, le député Charles Nditije et le Pr Evariste Ngayimpenda ont conjointement animé une conférence de presse au siège national du parti. Les conférenciers craignaient que la Cour suprême ne rende un arrêt de nature à torpiller les efforts de réunification en cours. Dans le communiqué de presse conjoint, les deux responsables déclaraient que cela aurait été interprété comme une preuve de « l’instrumentalisation grave de la haute juridiction du pays et une confirmation d’une volonté délibérée de la part du pouvoir Cndd-Fdd de compromettre la réconciliation de l’Uprona avec lui-même. »
En outre, ils affirmaient que « cette décision serait une confirmation de la volonté du pouvoir de diviser les partis et de créer des organisations satellites (la « nyakurisation ») avec l’aide des éléments marginaux et corrompus à sa dévotion. »
Deux ténors de l’Uprona en ligne de mire
Gaston Sindimwo, secrétaire général, et le député Bonaventure Niyoyankana ont été pointés du doigt comme des taupes, des traîtres à comparer aux « imihimbiri, abangushi n’ibisuma » (voyous, menteurs et voleurs) que stigmatisait le prince Louis Rwagasore dans son discours après la victoire de l’Uprona aux législatives de 1961. Plus précisément, il est reproché à ces cadres d’être des collabos que le pouvoir Cndd-Fdd veut placer à la tête du parti de Rwagasore. Comme contrepartie, les deux upronistes sont soupçonnés qu’ils feront tout pour faire passer à l’Assemblée nationale le projet de loi instituant la Cour Spéciale des Terres et autres Biens, le projet de loi sur la CVR et surtout qu’ils béniront le projet de Constitution qui consacrera le 3ème mandat de Pierre Nkurunziza. A Gaston Sindimwo, il est reproché d’avoir fourni une liste de fonctionnaires à nommer à la CNTB à l’insu du président du parti. Pire « les gens de l’Uprona qui osaient tenir tête à Mgr Sérapion Bambonanire ont été chassés par la clique Gaston Sindimwo », a révélé Charles Nditije.
Les deux leaders de l’Uprona en cours de réunification ont appelé les militants à marginaliser socialement et moralement ces corrompus (« kubacira umukenke »).
Interrogé sur les accusations à son encontre, le député Bonaventure Niyoyankana a réaffirmé qu’il ne trahira jamais le parti Uprona et qu’il ne rêve même pas de collaborer avec le Cndd-Fdd pour nuire à l’Uprona et à la nation entière. Il rejette la faute sur Charles Nditije et sur le Premier Vice-président Bernard Busokoza.
Qu’il y ait réunification des deux ailes c’est incontestablement une bonne chose pour le parti du prince Louis Rwagasore.
Mais alors, les efforts devraient être fournis pour laver le linge sale en famille si du moins toutes les voies ne sont pas encore epuisées.
@Mafaranga, Musinga, Masaka, Runyota,….
Soyons clair sur ma 1. réaction sur ce sujet!
1. ma 1. réaction n’est qu’un témoignage sur l’enfant/le jeune homme que j’ai connu.
2. je n’ai aucun lien avec Gaston, la dernère fois que je l’ai apercu, twari dufise +/- 12 ans.
3. je n’ai aucun et n’a jamais eu un lien quelconque avec l’Uprona. J’ai été pionnier mais tout les enfants (burundais et etrangers) voulaient être pionnier à cet époque.
4. je vis depuis 23 ans à l’etranger et avec le peu je vais mieux. Je vis à la sueur de mon front et comme ca j’ai ma paix. Je ne suis partisan de rien et de personne au Burundi. Je n’ai jamais milité dans un parti.
Edouard NDUWIMANA vient de signifier à NDITIJE Charles qu’il reconnaît NIYOYANKANA Bonaventure comme Président de l’UPRONA, une décision qui montre l’agonie du CNDD FDD face à l’unification de l’UPRONA. BUSOKOZA Bernard va annuler cette décision en tant que chef hierarchique de Nduwimana Edouard. Nditije va rester Président du Parti Uprona, NIYOYANKANA Bonaventure et Gaston Sindimwo vont former l’Uprona Nyakuri inféodé au CNDD FDD.
Bravo NDITIJE et NGAYIMPENDA ko mwasubije iteka Uprona nabo ivyo bihemu vy’aba Uprodd biriko vyuzuza inda zavyo tuzoraba iyo bishika.
Je m’imagine demain ou apres demain « NDITIJE ET NGAYIMPENDA accuses de detournement de mineurs comme BAMVUGA » Tenz bien les gars scrutez vos alentours, le labo Rementanya vous a a l’oeil. Il est rare qu’il s’avoue vaincu.
Si ma mémoire est bonne, ceux qui militent en faveur de la réunification de l’Uprona devraient vite déchanter. C’est rigolo, les vrais politiciens n’arrêtent de rire depuis que Nditije est tombé dans le piège de Tacien Sibomana et Ngayimpenda. En effet, Nditije a été élu lors d’un congrès organisé par Bonaventure Niyoyankana. Ngayimpenda et Tacien Sibomana avaient alors attaqué en justice la régularité de ce congrès, et de là les institutions qui en étaient issues, à savoir Nditije et Sindimwo.
En première instance, Ngayimpenda et Sibomana ont eu gain de cause, et le congrès ayant mis en place Nditije a été déclaré irrégulier. D’après cet arrêt, Niyoyankana devait organiser un autre congrès, cette fois-ci conformément aux textes de l’Uprona. Niyoyankana et sa clique, dont Nditije à l’époque, ont fait appel. En retirant alors la plainte, Nditije vient de confirmer le premier jugement. Celui-ci devient ainsi coulé en force de chose jugée. Donc, le congrès qui a mis en place Nditije est irrégulier, et celui-ci doit partir. Ce qui veut dire que celui qui a aujourd’hui la compétence de convoquer un congrès régulier pour mettre en place les nouvelles instances de l’Uprona est Bonaventure NIYOYANKANA, qui est le seul Président du Parti reconnu par la loi . Et effectivement, la faute est à Nditije. Elle n’est pas du CNDD-FDD comme Nditije aime bien faire la projection de ses propres erreurs sur les autres. Qu’il assume son erreur et se taise. Il oubliait qu’il marche avec des loups. Ceci est ce que mérite un parti ethniste.
Musinga
Tu es très fort. Ce qui s’est passé aujourd’hui confirme point par point ce que tu as dit!
A moins que tu ne sois pas proche de ceux qui ont décidé!
Si non Bravo pour ta perspicacité!
« Gaston Sindimwo, secrétaire général, et le député Bonaventure Niyoyankana ont été pointés du doigt comme des taupes, des traîtres à comparer aux « imihimbiri, abangushi n’ibisuma » (voyous, menteurs et voleurs)….. Les deux leaders de l’Uprona en cours de réunification ont appelé les militants à marginaliser socialement et moralement ces corrompus (« kubacira umukenke »)… » Voici sans doute les graines d’une nouvelle guerre à l’Uprona.
L’ensemble reuni est-il egal ou superieur a l’ensemble avant la reunion en tenant compte des entrees et sorties dans ou de la meme entite?
Bravos a tout ce beau monde qui oeuvre pour l’union entre freres. Je serais heureux de voir le pouvoir s’investir dans la reunification de notre jeunesse pour les mettre au travail au lieu de les dresser les uns contre les autres.
Une demande a mes chers DDs: s’ils vous plait, instruisez a ces Imbonerakure de cesser la pagaille. Mobilisez-les pour des idees qui les aident pas celles qui detruit leur avenir. Meme demande pour tous les politiciens d’autres partis.
Honte a nous.
Ewe muntu ugifise ubwenge inyuma yabo ba porona uzotangara nubu ukiriko,baca umugani mukirundi ngo uwahenye ntakangaza,ngwaba agire asubire,,,,,,
Jewe ndifuza kwiyandikisha muri Uprona ariko sinzi
ingene ngira nta permanence dufise hafi ariko ishaka ni ryose.
@ Philippe Ngendakumana Publié le 29-01-2014 dans Politique/par IWACU
Sincèrement parlant votre article n’est que spéculatif et hypothétique, donc vide de sens et déconnecté de toute réalité. Il ne s’appuie que sur de fausses allégations qui n’ont par ailleurs aucune preuve apparente si on s’en tient à ce qui est relaté sous la rubrique «Deux ténors de l’Uprona en ligne de mire». Cette partie en dit long que ça prend des enquêtes un peu plus approfondies avant de sauter vite sur la culpabilité des incriminés ou indésirables!…
Voici des exemples tiré du texte:
1 «Les conférenciers CRAIGNAIENT que la Cour suprême NE RENDE un arrêt de nature à torpiller les efforts de réunification en cours…»
2 «Les deux responsables déclaraient que cela AURAIT ÉTÉ INTERPRETÉ COMME une preuve de « l’instrumentalisation grave de la haute juridiction du pays et une confirmation d’une volonté délibérée de la part du pouvoir Cndd-Fdd de compromettre la réconciliation de l’Uprona avec lui-même.»
3 «Ils AFFIRMAIENT QUE cette décision SERAIT une confirmation de la volonté du pouvoir de diviser les partis et de créer des organisations satellites (la « nyakurisation ») avec l’aide des éléments marginaux et corrompus à sa dévotion.»
4 «Il est reproché à ces cadres d’être des collabos que le pouvoir Cndd-Fdd VEUT PLACER à la tête du parti de Rwagasore»
5 «Les deux upronistes SONT SOUPÇONNÉS qu’ils FERONT tout pour faire passer à l’Assemblée nationale le projet de loi instituant la Cour Spéciale des Terres et autres Biens, le projet de loi sur la CVR et surtout qu’ils BÉNIRONT le projet de Constitution qui CONSACRERA le 3ème mandat de Pierre Nkurunziza»
6 «Les gens de l’Uprona qui osaient tenir tête à Mgr Sérapion Bambonanire ont été chassés par la clique Gaston Sindimwo, A RÉVÉLÉ Charles Nditije»
7 «Interrogé sur les accusations à son encontre, le député Bonaventure Niyoyankana … REJETTE LA FAUTE sur Charles Nditije et sur le Premier Vice-président Bernard Busokoza.»
8 «Les DEUX leaders de l’Uprona en cours de réunification ont appelé les militants à MARGINALISER SOCIALEMENT ET MORALEMENT CES CORROMPUS»
Je veux réagir pour témoigner:
J’suis né et grandi à Nyakabiga. Gaston, il est de ma generation; je le connais encore enfant. Je viens de lire certains articles parus sur d’autres sites et j’ai eu un malaise. En fait, Abarundi barakunda guhonda no guhonyora.
Je ne crois pas ko muri twebwe Abarundi ko hariho umuntu arusha kuba umupolona Gaston, je m’explique:
1. Gaston avait une ‘mère UFB très militante vers la fin des années 60 et les années 70. Il est né uproniste!
2. A l’âge de +/- 10 ans; Commandant et mon commandant (j’étais l’un de ces caporaux) en chef des pionniers de Nyakabiga et membre de l’Etat Major national. Il a été à l’âge de 11 ans en mission dans l’ex-URSS. J’ajoute ko ivyo vyose vyari sans piston kuko mama wiwe yar’umukene akaba n’inyakamwe.
3.Malgré son devouement à l’Uprona; ntivyabujije ko aba mal orienté hageze ko aja muri secondaire; yagiye mukawa yo mu Kivoga/Kumuzinda. Après 10.bamushira kuri ecole d’art yi Gitega. Il faisait beaucoup pour la socièté mais la socièté continuait à l’exclure comme les 90 % de burundais.
4. « Une source des coulisses de ce parti Uprona explique que « Gaston Sindimwo est plutôt un congolais né dans la commune urbaine de Nyakabiga d’un père congolais et d’une femme rwandaise ». Triste, triste et mille fois triste!!!! Umuntu ashobora kwubahuka akavuga ivyo arateye isoni!
Vrai et que Sindimwo Gaston s’appellait Sindano Gaston; né d’un père congolais et d’une maman patriote burundaise et probablement de Mwaro. Gaston n’a jamais été congolais, il était dès sa naissance Burundais et a été toujours burundais.
4. S’il a profité de toutes les occasions qui se sont présenté à lui, arabimerita! Chapeau! Hanyuma abavuga ibintu ataho bihagaze ni jalousie. Ntawutwara adashaka guprofita!
2.
Uramuvuze neza mugabo uramuseseye agatabi: » ntawutwara adashaka guprofita »nawe uwoguha aho utwara wobanza »guprofita » imbere yo kwibuka intérêt général!!!!
Hanyuma none s’il est né d’un père congolais,il a usurpé la nationalité burundaise,cela est clair il est congolais.
Il faudrait renvoyer du parti tous ces profiteurs et détracteurs du parti baje kushinga umugambwe wabo s’ils en sont capables.
Hanyuma uwo Niyoyankana avuga ngo n’amakosa ya Busokoza na Nditije nabishire ahabona preuves à l’appui tumenye ivyo ari vyo
Mon frère,
Si ma mémoire est bonne, Nditije araguye mu mutego nkuwo ifuku yaboneye mu mwobo. None ko agize retrait du pourvoi en cassation intenté par l’aile Niyoyankana, Ntiwumva ko yemeje ko le congrès yamushizeho iri illégal? Je ne pouvais pas croire aussi limité un professeur de sa carrure.
Monsieur Jac SENTORE avec toutes les respects que je vous dois, vous n’avez rien dit de convaincant qui nous dit que GASTON SINDIMWO a trahit au parti UPRONA! Ëtre Pionnier depuis son jeune âge, JRR et après UPRONISTE ET OPPORTUNISTE bishobora kuranga umuntu wese akunda INDA. Rondera rero izindi mmvo (d’autres motifs ou explications) kugira usigure ivya Gaston! Ehe washaka usanga udafise bimwe bimwe mubimuranga, jewe ndamuzi, gose cane. Ntitwakuranye arananduta, na se ntawe narinzi, ariko uko ndamuzi ni uku: Kandi umpinyuze; warigeze wumva avuga ko yarenganijwe kubera yabaye orienté muri école d’art? Uyu munsi niho atanguye kubituma abantu (muribo urimwo) kuko ni icivugo kibi ca CNDDFDD; Mbe woba uzi ko Gaston na MBAYAHAGA bakoreshejwe mukwirukana SINUNGURUZA, bagakoreshwa na DD kugira basambure UPRONA. Ego Sinunguruza ntaco yaramaze ariko umenye ko iyo NDITIJE ATABITANGA IBARA RYAGIRE RIRWE; IKINDI NACO, wonsigurira ingene umugenzi wiwe MBAYAHAGA, yize akaminuza ESTA A3 ari directeur commercial muri ONATEL? Ako ni akibara k’abantu bitwa ba MPEMUKE NDAMUKE, Buzure Izabo abandi dutubike, badashaka ko igihugu kija mu mahoro, kuko ikibanza cabo coca kiboneka. Et donc bama bariko BARATOBA. Ehe rero mugenzi ndaguhanure kanure wongere urabe, ubone imbere wibagire bukebuke inyuma, urabe igihugu iyo kiriko kija, wibaze uti hakenewe iki, niho nibazako ARI WEWE ARI ABAGITWARWA NA NYABAHURURU BAGAHENDWA N’IMBURAKIMAZI BAZOMENYAKO DUKENEYE ABAKORERA IGIHUGU, APANA ABAKORERA ATELIER ZABO; UMBABARIRE KUKO NANJE NARABAYE UMU JRR ARIKO UBU UPRONA NDAYIRABIRA KURE!
Sindano c’est vraiment congolais. Mais qu’a cela ne tienne? Y a un bon nombre de non Burundais qui se sont donnes corp et ame pour le parti. Par ailleurs, le parti Uprona n’est pas de creation burunaise, encore moins de Rwagasore comme on le pretend. Il est plutot de creation Swahili « VYEMERE NIVYO ». En tout etat de cause a l »Uprona c’est pas comme dans les partis nouveaux (nes) ou le chef est ROI. A Kumugumya on a un labo. Gare a celui qui cree un labo parallele. Je reconnais que le militant competent Gaston que j’ai connu et connais encore s’est senti regaillardi par des actions souvent cautionnees par le labo, mais cette fois, il allait de plus en plus loin. Niyoyankana, Ohh, c’est un nul qui a toujours suivi des courants tot en s’arcboutant sur la barque qui filait vite et bien.
Vive l’UPRONA ET SES LEADER
MERCI BADASIGANA
Maze bampema y’uyuzuye ribo basumirinda basubize hasi agatima k’amacakubiri
1. Un petit conseil a mon ami Niyoyankana. Ne tombe pas dans le piege de ces desespérés DDs. Le prix a payer serait tres lourd pour toi et les tiens. Sors une declaration publique reaffirmant ton indefectible loyauté a l’Uprona reunifiée, sur les 3 enjeux du moment: Constitution, CNTB et independance de la magistrature (cf dossier Me Rufyikiri et autres). Tu as deja un bon palmares dans le dossier des deplacés (Ruhororo, Bugendana, Gishubi, etc.). Ne te grille pas en succombant a la manipulation par les DDs.
2. A ce porte-parole de la Cour Supreme qui se reveille tardivement: qu,attendiez-vous pour mettre en application vos pseudo RAP34/35 du 11 septembre 2011 (September 11, de triste memoire!!)?
Arretez cette provocation, les gars. Avec l’affaire Rufyikiri, vous venez d,ouvrir les hostilités. Nous sommes prets.
Turashimye iyo ngingo abo bashaka kuvomera mu mabondo yabo bakurikira aba dd, ntituri kumwe. Tuzorya bike turyame kare. Ntimugahemukire abadasigana Kubera amaronko. Vous préservez ma voix comme ça.
Brovo cher Uproniste,, vous venez de démontre votre point fort,, union fait la force, on attendait depuis ce geste très louable et respectable,, aho abandi baca batangura kwicana mwe murerekanye ko kudahuruza kuvyiyumviro ari ibisanzwe,, vous etes un exemple pour d’autres formation politique,, le CNDD fdd avaient les ambitions de vous détruire jusqu’ à la niemme centigramme, mais vous venez de vaincre,, abo nabo babinyegezamwo nukubacira umukenke,, Nioyoyanka agiye kwankana na Uprona umuvyeyi yamuvyaye,, ahejeje kugoka mukwakira amahera anuka ya Cndd fdd kugira aryanishe abarundi
Il faut bien vérifier, les 300millions qu’il vient d’encaisser, c’est de l’argent salle, prenons des mesures très sérieuses contre uwo muhemu, la premiere mesure est de le chasser sans conditions dans le parti, puis il va perdre son siege à kigobe,, Gaston Sindimwo verifier bien sa nationalité
Abibaza ko Uprona itakibaho nibajijuke kuko ifise beaucoup de jeunes intellectuels, msd izoyisiga aho Parena yayisize
Gira amahoro badasigana turi inyuma yanyu
« le député Bonaventure Niyoyankana a réaffirmé qu’il ne trahira jamais le parti Uprona et qu’il ne rêve même pas de collaborer avec le Cndd-Fdd pour nuire à l’Uprona et à la nation entière »/par Iwacu
Un faux serment devenu célèbre pour les leaders upronistes qui n’ont aucun autre choix que de se rallier au Parti du Peuple Cndd-Fdd, lol !!!…
Bravo aux Upronistes pour votre initiative, mais de grace, ne jouez pas l’union dans la dislocation. Tentez plutôt de ramener les « brebis perdus » dans le troupeau. Sinon vous continuerez de vous créer des ennemis.
Ceux qui pensent que UPRONA disparaitra un jour se trompent lourdement. Qu’il traverse des moments difficiles, ivyo nibisanzwe kuko même au sein des Partis politiques occidentaux, de tels problèmes zibaho (PS, UMP, etc). Bien sûr, il ne pourra peut être pas être au pouvoir, mais sa place et sa position est salutaire pour beaucoup de burundais, surtout que lui seul peut allerter l’opinion nationale et internationales sur les intentions génocidaires, sectaires et divisionnistes du CNDD-FDD. Qu’il y’ait des divisions ou pas au sein de l’UPRONA, détrompez-vous chers extrémistes, l’UPRONA restera débout malgré vents et marrés. Mbega mwebwe iyo musambutse ko muca mwicana, ni ryari murumva un uproniste de telle aile yicana canke apanga kwica uwundi mudasigana ngo nuko ari muri UPRONA institutionnel ou pas??? C’est ça la grandeur d’âme et d’esprit qui vous manque beaucoup et que vous n’aurez jamais chers DD et détracteurs de l’UPRONA.
Abo ba porona nubu icobereka ivyo barya boca bacanamwo. Mais l’histoire burundaise est pleine de contradiction, quand le Tutsi NIYOYANKANA a été élu à la tête de l’UPRONA c’était le 2 août 2009. il a battu ce hutu de NDITIJE qui l’appelle aujourd’hui umuhemu, umuhimbire et j’en passe. Moi j’étais dans un bistrot appelé Maison blanche au q6 ngagara, tout le monde a applaudi en chantant agateka aho kamye et voilà quelques années après c’est ce NDITIJE qui n’avait pas agateka qui est le héro au détriment de NIYOYANKANA qui était devenu pratiquement le porte parole des déplacés. ewe mporona uzokwama uhenda ubadakurikira politique.
Buvuga ivyo uzi ufiitiye inyishu kandi wokwemanga, kuko ndababara iyo ngaha umuntu uwariwe wese ariko ashikiriza irimujemwo canke atumwe. Mbe warigeze ubona umukuru wa UPRONA ATSINDA YIVYE AGACA APFUNGA ABO BAHORA BAKORANA? Un peu de réflexion quand même!
Ahubwo, tel est pris qui croyait prendre. Un point de presse animé par le porte-parole de la Cour Supreme mercredi montre que le parti UPRONA est plutôt en proie à une crise profonde et va faire face aux lendemains qui déchantent.
Le porte-parole de la Cour Suprême a souligné que le non lieu ne met en causes les arrêts RAP34, RAP35, RAP35 rendus par la Chambre administrative de la cour suprême en date du 11septembre 2011.
Si ma mémoire est bonne, le jugement rendu était que les congrès communaux qui ont permis de renouveler les institutions de l’UPRONA étaient illégaux. Finalement avec le non lieu, c’est la case départ. Je crois c’est plutôt NDITIJE qui pourrait partir pour que Niyoyankana puisse organiser des congrès en bonne et due forme. En attendant l’application des arrêts par le ministère de l’intérieur, je me demande comment le parti qui unissait le peuple burundais jusqu’à l’indépendance a pu se défaire d’une composante de la population qui avait choisi ses idéaux.
Continue a rever; l,espoir fait vivre. Uprona ni igiti kiturirwa. E. Nduwimana le sait tres bien. Qu’il franchise le rubicon, on l’attend au coin.
C’est une bonne chose que l’unification soit faite. Les Upronistes viennent de faire honneur à tous ceux qui ont ouvrés pour que le parti du Prince Louis Rwagasore reste debout depuis sa création le 7 janvier 1960. Dans la plus part des pays, les partis qui ont milité pour l’indépendance ont été dissous ou changé de nom. Mon espoir et que le Parti reprenne la feuille de route du gouvernement Rwagasore afin d’offrir au peuple burundais une vie descente et rendre à ce parti ses lettres de noblesse.
Bien à vous.
Louise.
Toutes mes félicitations a ces leaders charismatiques!!hanyuma à ces mihimbiri n’abambuzi mubereke ikibanza cabo babereye!mes Profs Courage courage….turi inyuma yanyu.hanyuma muzohore mubanza kuraba kahise kabantu imbere yuko mu placa mumabanga akomeye y’Igihugu n’Umugambwe!
Chers Upronistes,
Faites recours à vos anciens services de renseignements pour veillez car les taupes sont partout! Nous marchons vers un Etat dominé par les forces du mal, si Bernard Busokoza ait parvenu à remplacer Sinunguruza c’est grâce à la prière de pas mal des Burundais: Souvenez-vous de ce que Sinu a déclaré qu’il se rendait au Tanganyika, Si Niyoyankana ait parvenu à céder la direction de l’Uprona à Nditije c’est la Même chose: Souvenez-vous combien les upronistes et ses électeurs ont soufert sous sa clique « Sinu-Niyoyankana ». Si Martin Nduwimana ait pu quitter la vice-présidence (Malheureusement avec mauvais remplaçant on l’avait déjà regretté) c’était la grâce divine: Souvenez-vous quand il sautait en l’air en dansant soit disant en prière au côté des DDs et surtout du Président pour qui il avait contrat confiance.
Nous arrivons peut-être aujourd’hui à bon port: la réunification, la prise de position ferme en rapport avec les questions du pays. Je vois devant moi en particulier d’énormes obstacles mais en général ça sera nécessaire.
Evitez le drame du voisin RWANDA, prévenez les Nations Unies pour qui, on veut mettre un terme sa mission au Burundi !!! Quelles sont les mobiles derrières, qu’est ce qu’on veut cacher? Voulons-nous nous conduire en arrière ces 42 ans ou ces 21 ans? Ou bien voulons-nous avancer ensemble?
Salut!
De quelle reunification parlez vous? Il y a eu seulement adhesion d’une partie de Kumugumya dans la partie de Mukasi. Sinon on ne se reunit pas en se separant. Jean Claude, Terence et autres sont aussi de l’Uprona mais visiblement pas avec ces deux figures ci-haut.
ce Gaston ari pathetique vraiment..bari bakwiye kumunyarukiriza akisubirira kuraba za frigo na congelateur.ku ma moyen asigaye afise grace à sa collaboration avec le systeme dd ngira azoca yugurura une vraie usine!
ramba mugambwe wabadasigana. uprona ni wewe duhanze amaso, gaba wiganze mu B urundi. nari narakuvuyemwo, ngiye kugaruka!!!
Enfin une bonne nouvelle pour les upronistes.
Souhaitons que à l’avenir les upronistes apprendront à travailler en démocrates et sauront que toute voix discordante n’est pas nécessairement une opposition. On peut diverger sur un point ou un autre mais continuer à œuvrer ensemble , pourvu que les débats restent contradictoires et les décisions soient le fruit d’un vote régulier.
Pourvu que ça dure!
Mon propos part de la sagesse burundaise qui nous rappelle: »Uwugutuka ntagutorera » et « Uwohora imbwa gusutama yozimara zose ».
Le premier adage s’adresse à la personne qui affirme que M. Gaston Sindimwo est de mère rwandaise. C’est archi-faux. Feu Mama Jean-Marie (comme nous avions l’habitude de l’appeler) est une Burundaise originaire de l’actuelle province de Mwaro. M. Sindimwo n’est certes pas une lumière sur le plan de l’éducation (ETSA- Gitega), il n’en est pas moins un militant uproniste de première heure. La personne qui a rappelé son parcours en tant que pionnier, membre de la JRR et de l’UJRB, ayant même participer aux activités de la jeunesse révolutionnaire en URSS alors qu’il était à peine adolescent, est un fidèle de l’UPRONA. L’univers politique a connu beaucoup de transfuges, ce qui n’a pas été le cas de M. Sindimwo. Cela ne signifie toutefois pas qu’il est une ressource extraordinaire sur le plan des idées, je pense que nous sommes d’accord sur ce point. Mais alors, qu’est-ce qui le distinguerait de la plupart des « politiciens burundais »? Niyoyankana, et tant d’autres œuvrent davantage pour leurs propres intérêts que pour la nation. Cela est, hélas, devenu une tradition. On aurait eu des gens soucieux du développement du Burundi que nous serions au moins capables de fournir de l’électricité à tous les habitants la capitale (mais cela est une autre histoire).
Pour revenir au deuxième adage: « Uwohora imbwa gusutama yozimara zose ». C’est une réalité, la société burundaise vit dans une situation anomique (i.e. dérèglement social, contradictions normatives, désordre social, désagrégation des structures et de l’organisation naturelle/légale) où l’exception est devenu la règle. Cela ne concerne pas seulement M. Sindimwo. On peut citer M. Rukara qui peut se faire passer pour un intellectuel (PhD en sociologie) alors même qu’il n’a pas mis le pied à l’Université. [http://www.burunditransparence.org/C.V%20de%20RUKARA.pdf]
Personne ne semble s’interroger sur la nationalité de M. Alfani Rukara. M. Mohammed Rukara ne s’est-t-il pas toujours présenté comme de la famille royale par sa mère?
Pourquoi ce problème n’a-t-il jamais été soulevé dans le cas de M. Ascension Twagiramungu ? C’était pourtant de notoriété publique qu’il n’était pas Burundais (à suivre la même logique de Burundité). M. Nzayimana Abdoul qui a occupé le poste d’administrateur de Buyenzi et des responsabilités à la documentation pour ne citer que ceux-là.
Ce n’est pas parce qu’on a été prénommé Sindano que forcément on est Congolais. Je me souviens d’un Burundais qui s’appelait Pilote (nom de famille) et il était d’une commune rurale très reculée. On peut également avoir un père d’origine autre que Burundais mais avoir la nationalité de la mère (ce n’est pas dans la loi burundaise) mais il faut la reconnaissance du père et avoir suivi toute la procédure du mariage; ce qui n’est pas toujours forcément respecté. Nos sœurs, mères célibataires ne transmettent-elles pas automatiquement la nationalité burundaise à leurs rejetons? Les métis et mulâtres de pères colons ou même chinois nés de nos sœurs ont-ils été qualifiés d’étrangers. Selon moi, cela est un faux problème (en tout cas pour les enfants nés au Burundi et dont l’un des parents est Burundais).
Le plus grand problème qui mine l’univers politique burundais est le manque de maturité politique. Dans certains pays véritablement démocratiques, un politicien n’est pas un fonctionnaire: il est élu et non nommé. La nuance est importante.
Le Burundi suit un modèle assez critiquable qui mélange les défaut de la démocratie à la française et des systèmes monarchiques du Golf. Le président fait la pluie et le beau temps en nommant à sa guise tous ceux qu’il juge utile pour ses intérêts. Le cas de la destitution des deux derniers premiers vice-présidents est révélateur. Le Burundi n’avait pas besoin de tout ça.
Pour conclure mon post, M. Gaston Sindimwo est le produit du système qu’il sert aujourd’hui. Il a de bonnes raisons de fonctionner de la sorte (je ne vais pas dire par là qu’il a raison) étant donné qu’autrement le risque est grand qu’il se retrouve à l’Université de Musaga. Il est le maillon faible dans l’imbroglio politique et organisationnel UPRONA. La raison de son ascension, me semble-t-il, est pour que tant l’UPRONA que le CNDD puissent se servir de lui. Il ne va jamais prétendre à la présidence du Parti (tant convoitée) encore moins à la vice-présidence du Burundi. Il fait partie des militants les moins dangereux si l’on tient compte du fait qu’il faut être « universitaire » pour occuper certains postes politiques au Burundi. C’est assez ridicule (et déplorable) comme principe mais ce n’est pas étonnant dans un système dictatorial. M. Sinunguruza savait pertinemment que son directeur de cabinet adjoint ne lui serait d’aucun apport mais ce n’est pas l’apport qui comptait pour lui; il s’en foutait éperdument. Il cherchait avant tout le soutien de quelqu’un qui n’avait que cela à offrir. Il s’est malheureusement trompé en ignorant la realpolitik.
Je crois m’être trop étendu mais dans une situation anomique, il aisé de trouver un bouc émissaire ou de jeter l’opprobre sur un individu alors que c’est le système qui est à remettre en question. Ce sera mon mot de la fin.