Les médias indépendants burundais vivent des moments difficiles. Tous les journalistes savent qu’ils peuvent être à la place de Bob Rugurika. Ceci explique cette formidable solidarité.
Nous sommes contre l’arrestation de notre collègue, nous resterons mobilisés pour sa libération. Je profite de l’occasion pour remercier tous ceux qui nous soutiennent dans ce combat, les membres de la société civile, les simples citoyens, les représentants des pays amis du Burundi, etc.
Oui, nous sommes tristes, voire en colère contre le traitement réservé à notre collègue. Ainsi, nous avons été choqués par son transfert à Muramvya en catimini, dans une voiture sans aucune plaque. Lors de notre rencontre, Bob Rugurika nous racontera qu’à Mpimba on lui avait dit qu’il allait au parquet. Et quand il a vu le véhicule, bourré de policiers, dévier du centre ville et prendre la route vers Kamenge, il était convaincu qu’on allait l’exécuter. Pourquoi cette torture ?
Mais, malgré tout, dans les moments pareils, il nous faut rester « froids », mesurés dans nos propos, car les provocations ne manquent pas.
Sur cette affaire et toutes les autres d’ailleurs, évitons aussi une certaine « pensée unique ». Restons ouvert à tous les canaux d’information, à toutes les hypothèses et critiques.
Ainsi, plusieurs lecteurs ont été choqués qu’un journaliste d’Iwacu, sur son blog personnel hébergé sur notre site internet, puisse écrire « qu’il n’est pas Bob » et contester certaines démarches de son enquête. Personnellement, je trouve cela très sain pour la profession. Je crois que la liberté d’expression que nous prônons doit être vécue et acceptée dans nos rédactions. La solidarité journalistique est compatible avec la liberté d’expression.
C’est pour cela qu’on vous aime M. Kaburahe.
Vous êtes à la fois Bob et Roland. Je trouve ça bien.
Merci Mr Mutima.
J ai lu et relu les investigations de Sieur Roland.
En effet il n y va pas avec le dos de la cuillère!!!!!!!!!!!!!!
1. On aimerait quand même qu il continue ses contre investigations a propos de l autre supposé meurtrier (Je parle de Butoyi, le fou de Kamenge). Faites leur aussi un cours d investigation criminelle dans un français bien sonné.
Courage et faites preuve de la même indignation!!!!!!!!!!!!!!!. .
Les meurtres parfaits (triple assassinat de trois sœurs italiennes, au nez et a la barbe de la police ) ont toujours été résolus par des gens comme vous (Arsene Lupin, Sherlock Holmes, Rouletabille, etc…)
Chers frères et amis internautes: Ou puis-je trouver le commentaire de Rugero?
Qui peut éclairer ma lanterne?
@Kaziri
Vous cliquez sur « Blogs » dans le menu en haut, ensuite sur « Voir le blog » à côté de Roland Rugero.
Le titre commence par « JeNeSuisPasBobRugurika ». Et rappelez vous que nous aurons besoin de ce que vous en pensez. Bonne lecture!
P.-S. : Si vous n’utilisez pas un ordinateur, il va falloir un peu de gymnastiwue et utiliser Google ou Bing pour rechercher le terme « jenesuis… »
Merci cher Antoine,
Et si la RPA aurait fait tout cette investigation pour la passer a un autre medium de communication (bon disons BBC, CNN, Aljazira, france24, the east african, radio okapi, les journaux ougandais etc…) pour la re-trasmettre ensuite… Est-ce possible d’abord? L’idee est de reduire les troubles quoi. A voir ce qui se passe avec notre opposition, j’ai l’impresssion que les tracasseries chez les journalistes plus d’autres insoumis vont continuer et s’intensifier pour au moins les 5 ans a venir.
Quand on manque d’arguments contre le contenu d’un message, on s’attaque au messager!… C’est une technique vieille comme le monde!… et justement, tout le monde est au courant.
Plusieurs commentateurs ici et là s’évertuent à dépeindre Roland Rugero comme un membre fidèle du parti au pouvoir au Burundi… et que c’est pour cette raison qu’il aurait fait et publié les résultats de son enquête. Personnellement, je pense que c’est tout aussi malhonnête de s’en prendre à quelqu’un qui ose donner une autre version de ce qu’on veut nous raconter. Mais soit!… Et puis!… Même s’il était membre du parti au pouvoir, qu’est-ce que cela changerait-il à la version de ses vérifications? À part le fait que cela aurait été plus facile de dire qu’il l’a publié pour protéger des criminels du pouvoir? Et pour s’en prendre aux journalistes? Et pour se venger de la RPA? Et pour discréditer l’opposition?…. Avouez que la pilule a été dure à avaler!
Il vient de s’écouler plus de trois semaines (!) et pas un seul autre journaliste, pas un seul autre journal, pas un seul autre poste de radio ou de télévision (que la RTNB), pas une seule autre organisation de la société civile… n’a daigné ou n’a eu le courage d’aller vérifier, de l’autre côté de la frontière (au Rwanda), si ce que racontait Guillaume Harushimana, était vrai! Ou peut-être l’ont-ils fait, et n’ont pas aimé ce qu’ils y ont découvert! Est-ce par hasard parce qu’on a plutôt cru à la version de Rugero? Moi je parie que oui!
Guillaume Harushimana, par le biais de Roland Rugero, a fourni des alibis vérifiables par n’importe qui, qu’il soit du parti au pouvoir ou non!… Et cela m’étonne que personne n’ait pas pensé à aller les confronter… Et justqu’à preuve du contraire, ils sont les seuls à nous avoir donné des preuves palpables, crédibles et vérifiables. Tout ces bruits (de salons!) ne servent donc qu’à détourner l’attention… de la vérité!…
Et tout le monde préfère maintenant se focaliser sur les droits de l’homme, des journalistes, etc… parce qu’un pays a osé mettre en prison un des leur… même s’il se pourrait qu’il ait commis un impair!…
Tout le monde commet des erreurs!… et les journalistes ne peuvent pas s’y soustraire!… La première occasion de grandir, c’est de commencer par admettre les erreurs qu’on commet… et de les corriger!
Que ce soit par militantisme à l’aveugle ou hautement partisan qu’il l’ait fait (ce dont je doute!), Roland Rugero n’a pas réduit à zéro la version de la RPA… Il a fait beaucoup mieux : «Il y a mis un doute!»… qui va forcer à combler un vide qui avait été créé par la négligence… de toute une équipe!
P.-S. : Don’t kill the messenger!
«Tout ces bruits (de salons!) ne servent donc qu’à détourner l’attention… de la vérité!…» Donc voilà, toi tu connais la vérité, racontes-nous donc toute l’histoire, sinon trouve-toi une autre victime, FREE BOB RUGARIKA !
Vous dites journalisme de salon, j’appelle cela « polémiques de comptoirs » ! Qui consiste à niveler l’information par le bas et l’illustrer de petites réflexions entendu dans les bistrots/forums/ social media… La paresse intellectuelle qu’impose désormais la toute puissance de « Google » aura eu raison de la culture personnelle, qui autrefois jadis, était respectée et admirée. Mais bon, c’était l’ancien temps, une autre époque, bien avant que l’épithète d’intelligent ne soit l’apanage exclusif de nos téléphones…
Cher JP-K, ce qui est choquant, reste plus que jamais l’assassinat par décapitation des 3 sœurs en 2014 ! Une sorte de « conscience collective » a été en même temps atteinte dans sa « Chaire » et dans son Ame et au fond, tout ce qu’elle réclame n’est que justice soit faites pour qu’elle puisse faire la PAIX avec elle même. « Lorsque le crime est au cœur de la société il n’ya pas de justice »disait Platon.
@Alice, Recourez-vous à google de temps en temps?
Non, monsieur le Directeur ! Lire que ce « journaliste » d’Iwacu « n’est pas Bob » n’a rien de choquant. Le contraire aurait certes étonné. Qu’il conteste « certaines démarches » de l’enquête de Rugurika n’a rien de choquant non plus. Le lecteur en profiterait plutôt pour confronter les méthodes et bénéficier des scoops tirés de la nouvelle démarche.
Ce qui me choque personnellement, c’est cette suffisance qui frise l’arrogance voire le mépris envers la famille des journalistes qui luttent pour leur profession menacée par un système juridique à la solde de l’Exécutif. Les temps sont graves pour le métier.
Contester la méthodologie c’est sain, mais affirmer que « RPA ne s’est pas montrée à la hauteur de sa tache » en diffusant des enregistrements audio difficilement qualifiables d’enquêtes » est un jugement trop subjectif qui relève de l’arrogance. Ses « investigations » sur le cas Harushimana feraient sourire un enfant du secondaire si « le journaliste » ne crachait pas, ce faisant, sur ses « confrères » qui risquent leur vie en confrontant des criminels puissants. Ubusya uwundi ntibuguma.
Et que dire de la leçon sur « la dérive du métier » ? Et de la grande conclusion qui s’en suit ? Je crois que vous devez avoir reçu vous, Antoine Kaburahe, beaucoup d’appels de journalistes professionnels indignés par le « tambuka uze ino » de leur jeune « confrère ».
Pour moi, la liberté d’expression du blogueur Rugero doit se faire sous réserve du respect des droits et de la réputation des autres journalistes, en l’occurrence ici ceux de la RPA. La critique n’est pas synonyme de l’injure. Car, quoi de plus injurieux pour un journaliste que d’entendre que toute une enquête acceptée et publiée par toute l’équipe de rédaction relève d’un « journalisme de salon » ? Qui est-il, lui Rugero, et qu’a-t-il présenté comme éléments tangibles pour réduire tout ce travail à zéro?
Mon opinion est qu’il est difficile de combiner ce métier de journalisme (que je ne connais pas mais que je respecte beaucoup) avec le militantisme aveugle et hautement partisan. Sauf si la déontologie ne signifie pas grand-chose et que la crédibilité n’est pas une valeur de base. L’histoire regorge malheureusement de tels « journalistes ». Heureusement qu’il en existe d’autres très nombreux et très crédibles comme vous. Et comme BoB Rugurika !
Cordialement
JP-K
@ JP-K,
Je respecte ton analyse mais je te refere de lire le livre » I am not crazy , I am just not you » de Roger R. Pearman & Sarah C. Albritton si du moins tu aimes faire la lecture. Tu vas te donnes la reponse toi meme sur ton analyse. Normalement l’information s’achete mais je viens de te rendre riche.
@JP-K
Juste vous dire que, comme d’habitude, votre aalyse m’a enchanté. Je suis un inconditionnel de votre logique et style. Votre intelligence est sincèrement réjouissante. J’en profite pour dire que pour ma part, la liberté d’expression du blogueur Rugero n’est absolument pas à remettre en cause. Nous sommes là pour critiquer, analyser, décortiquer, … viore remettre en cause ses assertions (qui sont tout sauf des enquêtes!) . Ce qui est étonnant c’est que le journal IWACU lui sert cette plateforme pour qu’il traite le métier et les journalistes qu’il n’aime pas de la sorte. Il le ferait sur un obscur blog quelconque, ça ne m’étonnerait pas; mais que ce soit M. Kaburahe qui le lui peremette m’est difficile à comprendre! Peut-être le cadrera-t-il dans les jours à venir …
Amahoro.
Cher Kaburahe, ugomba ko aba journalistes baronka immunite kurya kw’aba parlementaires? Bishikirize tuvyumve kuko ngize iminsi mbona igihe cose hahanywe umu journaliste umengo n’impene yuriye inzu.
None tureke guhana abanyamakuru bakosheje? Ko tubakorako mukayihereza umunwa kandi amategeko ategerezwa gukora kuri bose?
Kaburahe,
Uraba uhanura abo musangiye umwuga kuvuga ukuri! Iyumvire umubabaro w’abantu babesherwa n’aba journalistes. Iyumvire nawe umuntu yogutangaza kw’iradiyo akwagiriza ibibi utakoze ukuntu womerewra. Ndazi abotora gupfungwa icamaso hako babesherwa ivyo batakoze!
« Les tigres ne se mangent entre eux?! »
Si le journal Iwacu avait été un concurrent direct de la RPA sur le dossier dont il est ici question, beaucoup de lecteurs auraient au moins relativisé et donné une ou des raisons justifiant la contre-enquête de Roland Rugero. Seulement voilà! C’est venu de quelqu’un qui était censé être de « leur » côté. Et le choc a été dur à encaisser! Ce qui étonne. C’est qu’il y en ait qui disent que Rugero n’aurait pas dû aller fuiner là où il a été!… En oubliant qu’il a fait exactement la même chose que Rugurika : parler d’une injustice!… au moins pour la forme!
Il a tendu une oreille à quelqu’un qui en avait besoin, tout comme Rugurika l’avait fait pour l’autre!
Et cette solidarité implicite qui prend ou veut prendre tout le monde pour acquis, et qui renferme les gens dans cette vision unique de la réalité (quite à la déformer par le mensonge et la manipulation!), est dangéreuse… et reste à tout prix à bannir!…
Rugero a fait ce que tout journaliste soucieux de la vérité aurait dû faire avant de dénoncer qui que ce soit en ondes! Maintenant nous sommes en train de vivre les conséquences d’une telle négligence!… Et de tenter d’en réparer ou d’en faire réparer les dégâts.
Malheureusement, c’est le prix à payer, d’un côté comme de l’autre! Mais… Est-ce que la leçon sera apprise? Seul le temps est au courant!…
S’il y a un défaut qu’on peut reprocher à nos journalistes ou « défenseurs » de doits « non humains », c’est cette volonté de nuire (à l’autre!) qui prend tout le dessus et conduit à servir le mensonge en prétendant le contraire!
En conséquence, le manque de patience et la précipitation prennent le dessus sur la rigueur et le professionnalisme!… Il est temps que cela change!…
La conscience fait partie de ce qui nous différencie des autres animaux… dont les tigres!
Tu as raison mon frère tous on a le devoir de chercher la vérité. Seulement personne ne devrait être empridonné pour ça. Immaginons-nous un instant si Roland devait aller en prison pour avoir dit ce qu’il a dit. Lesdeux enquètes ssont valables, et personne ne doit en souffrir.
@francis
Peu importe que Rugurika ait raison ou pas, peu importe que Rugero ait raison ou pas… Personne n’a le droit de cacher un criminel qui avoue son crime en ondes!…
Moi je suis convaincu que ce prêtendu dénonciateur a menti, ce qui veut dire que Rugurika ne devrait pas rester en prison… Par contre, même si son protégé a inventé toute cette histoire, il reste quand même qu’il doit être poursuivie pour calomnie et/ou diffamation… Cela vaut également pour la RPA, et son directeur!
En conclusion, on peut libérer Bob Rugurika, et il pourrait à son tour aussi accepter de livrer son informateur à la justice… juste pour s’assurer qu’il a réellement menti… ou dit la vérité, et pour prouver sa bonne foi. Sinon, couvrir un menteur est aussi être son complice!…
Et en passant, j’ai toujours pensé que le meurtre de la troisième soeur pourrait ne pas être lié aux deux autres!…
«Personne n’a le droit de cacher un criminel qui avoue son crime en ondes!…» HAHAHAHA, wewe uba sur quelle planète ? Tu penses qu’ils ne connaissent pas son identité ? Et tu penses qu’ils ne sont pas capables de l’arrêter en moins d’une journée ? Ils veulent que le nom vienne de la bouche de Bob, et ainsi les inculper ensemble. Sinon, ils le connaissent et savent très bien où il est. Bob est dans ses droits (journaliste) de protéger sa source, surtout que le criminel en question dénonce des hommes de pouvoir haut placés. Qui revindrait se confier à une radio SI ON NE PROTÈGE PLUS LES SOURCES. Ça serait la fin du journalisme d’enquête !
Troublant quand même.
1. Le pays est au milieu d une tempête journalistique nationale (et même internationale) suite a l incarcération du Directeur de la RPA. Le dossier des sœurs italiennes assassinées revient comme un boulet alors qu il était enterré.
2. Les gens haut placés ne trouvent rien de mieux comme parade que laisser un des présumés coupables manifester avec un cercueil pendant 2 heures au centre ville de Bujumbura. Savez vous que les bailleurs de fonds (que vous craignez!!!!) ont maintenant les yeux rivés sur le Burundi!
3. Hier, les journalistes burundais ont demandé l autorisation au maire de Bujumbura de faire une manifestation pacifique pour soutenir leur confrère. Un NIET catégorique a été la réponse du maire.
4. Qui dirige la baraque?. Trouvez vous une logique , une vision quelconque dans cette affaire?
Non bien sur, d ailleurs comment se fait il que Bob Rugurika soit en même temps en prison avec le fou de Kamenge? Si Rugurika dit la vérité, c est que le fou est innocent.
Si le fou est le meurtrier, c est que Rugurika nous a raconté des bobards. Il devrait être traduit en justice alors pour montage grossier et dénonciation calomnieuse.
On se couvre juste de ridicule en face du monde entier!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je suis de ceux qui se réjouissent de la glissade rédactionnelle de notre cher RUGERO, mais si et seulement s’il pouvait mettre « urugero » — la mesure — dans ses écrits. Les sciences sociales dites affectueusement ou péjorativement molles ne vont pas au même rythme que la doxa. Dans leurs incommensurables efforts de rattraper la doxa, la position de cette dernière est à des années-lumière. D’où la posture rhétorique des rompus à ces sciences leur permet de nier — logiquement et adroitement — la lumière en plein midi (étonnant non !). Travailles cher Rugero — si jamais tu tiens absolument à continuer tes analyses — la glissade idéelle, car ayant le background dans les sciences dures, la tentation dans tes analyses sociopolitiques est grande de croire que sur ce terrain-là aussi c’est la logique bivalente qui est de mise comme en maths… Tant s’en faut.
@KELEMESIYA
En français s’il vous plaît!
Apprends-moi Maître! Rwaje mu bwato hanyuma mu ndege.
@KELEMESIYA
Désolé, je n’ai pas voulu vous manquer de respect, ou vous montrer que je connais mieux le français que vous… Non! Loin de là!… C’est une expression qui demande d’utiliser des mots ou des tournures de mots que tout le monde peut comprendre… En bref, je n’avais pas compris!…
@mutima
Ce n’est pas du tout que j’ai l’intention d’être lu par des centaines et des milliers de personnes, je voudrais :
1. qu’il comprenne exactement ce que je veux dire. Et je préfère a la limite de dire un petit peu moins que de dire quelque chose qui serait exactement ce que je voudrais dire, mais qui se trouverait n’être pas accessible pour telle ou telle raison au concerne.
2 je voudrais qu’il (le concerne en premier chef) ait le plaisir à me lire… lui amateur des préciosités, de la plume en peu entortillée…
D’abord, un blog PERSONNEL est un blog personnel, sans logo de l’employeur. Il ne devrait pas être « hebergé » sur le site officiel d’un journal avec pour en-tête « oui mais si cela venait à chauffer, nous ne sommes pas de mèche « . Vous êtes bien content de créer du traffic supplémentaire sur le site tout en vous retirant dans vos tranchées si jamais tout cela venait à péter. Ensuite, votre journaliste réponds, à loisir, à ses détracteurs en utilisant votre blog. Et que vous le vouliez ou non, d’une manière ou d’une autre, Iwacu TRIE l’opinion! Si vous êtes neutre, eh bien laissez tout le monde répondre/faire le journaleux/donner son opinion sur votre site tout en jouissant d’un en-tête assurance tout risque. Si vous n’êtes pas affilié à une quelconque opinion, alors, cher rédacteur en chef, laissez donc les voix du peuple s’exprimer sur le blog d’Iwacu « non affilié » et trouvez cela très sain. Vivons donc cette liberté d’expression et prônons la dans votre rédaction.
Monsieur KABURAHE, tu es l’un des rares journalistes des médias burundais privés et même publics, qui exercent leur métiers avec professionalisme. Nous nous souviendrons de votre sortie médiatique sur le soi-disant feu sur la BRB, et pas mal d’autres.
Vous savez très bien qu’il faut se solidariser avec ses collègues surtout quand on exerce un métier qui est peu aimé, mais il faut aussi apprendre à reconnaitre l’erreur car elle est humaine.
Vous redorez l’image de ce métier, qui est systématiquement ternie par ceux là-même qui l’exercent. Sincèrement, vous devez être fiers de compter parmi vos rang un journaliste comme RUGERO, dont les analyses et articles font preuve de solidité professionnelle.
Va de l’avant, IWACU
C’est très bien que vous prônez la liberté d’expression et la solidarité, mais il faut essayer de comprendre les gemissements de quelqu’un qui crie haut et fort son innocence.
Bien cher Kaburahe, La RPA jouit du soutien des puissants, il faut pas qu’elle en abuse.
Le groupe Iwacu devrait faire des enquêtes pour voir si réellement Guillaume est innocent ou pas.
Contrôler si réellement il était au Rwanda la date mentionnée au passseport,
Verifier l’identité de cet homme qui avoue avoir exécuté la 3è none
Si non les coups bas ne manquent pas dans ce pays, et la RpA n’est pas toujours sainte.
Je suis de l’avis de ceux qui veulent que la verité eclate au grand jours, si les gens dénoncées par l’homme interviewé par la RPA, ont réellement exécuté leur sale besogne qu’on les châtie.
Ici c’est le rôle de la justice de faire des enquêtes approfondies, malheureusement celle n’est pas à la hauteur.
Mr Kaburahe; Il faudrait remercier ROLAND RUGERO. Une fois de plus il vient de te permettre de briller.
Cher Monsieur Kaburahe,
En tant que professeur en journalisme, je reste sans voix devant l’actualité médiatique burundaise de ces deux dernières semaines.
Quand on voit Bob en prison pour des motifs totalement saugrenus, quand on voit resurgir les démons de l’ethnisme alors qu’un simple travail de fact-checking des journalistes aurait pu l’éviter, quand toi-même, un modèle pour de nombreux confrères burundais, se fait vertement insulter sur Facebook par un de tes pairs … je ne sais plus que penser de votre beau pays.
Amitiés et courage, Iwacu est la preuve vivante que « la solidarité journalistique est compatible avec la liberté d’expression » !
Pétition:
https://secure.avaaz.org/fr/petition/SE_Perre_Nkurunziza_President_de_la_Republique_du_Burundi_Liberer_Bob_Rugurika_immediatement_et_sans_conditions/edit/
Cher Antoine,
Merci beaucoup pour ce geste courageux. Je commencais a perdre espoir dans les medias burundais….prechant les droits et la democratie sans les vivres….une fois encore merci.
Tres bien dit Tony
Tony,tu restes toujours le même dans tes raisonements.Je te connais quand tu commença ton métier de journaliiste à la RTNB.Tu pronais tjrs l’ équité, la droiture , la vérité.Et tu le restes
Bravo Tony.
tes propos sont toujours mésurés Antoine. Allez .courage