Une flle tuée après avoir été violée par un militaire, un enseignant retrouvé mort, des victimes de torture qui réclament justice, un administratif à la base tabassé par ses administrés.
Joachin Manirakiza, administrateur de la commune Bugarama indique qu’une élève de la localité de Magara a été violée par un militaire jeudi 4 août. Par après, cette flle a été tuée par son violeur, le corps de la victime a été retrouvé non loin du domicile de ce militaire.
Ce dernier serait un récidiviste car il avait été déjà condamné pour la même infraction. Selon l’administrateur communal, le bourreau est pour le moment recherché car il s’est volatilisé après avoir commis cet acte ignoble. La population de Magara est sous le choc et demande que ce militaire soit vite arrêté et traduit en justice. Les sources policières en commune de Rumonge précisent qu’un corps sans vie d’un enseignant a été retrouvé dimanche 7 août matin sur la colline de Magara en zone de Gatete. Ce corps identifié Védate Nimpoza, un enseignant de psychologie et sciences de l’éducation au lycée de Mugara. Les circonstances de sa mort ainsique les auteurs decet assassinat n’ont pas encore été identifés. La police indique que son corps était bien allongé à côté de la route et qu’une enquête a été ouverte.
Des victimes de torture réclament justice
Selon certains activistes des droits de l’Homme et des familles des victimes, au début du mois de juillet, 4 personnes auraient été torturées sur une position policière située sur la localité de Bambo dans la zone de Ruteme, en commune de Bugarama . Elles seraient accusées de collaborer avec les groupes armés. elles ont été ligotées puis battues par des policiers de cette position de Bambo . Les victimes de ces actes demandent que ces policiers soi- ent vite arrêtés et punis selon la loi.
Par ailleurs, elles réclament réparation pour des actes commis qui ont eu des conséquences néfastes sur leur santé physique. Les organisations de défense des droits humains indiquent que le code pénal érige la torture en infraction qui est réprimée par le code pénal burundais et l’auteur peut encourir une peine allant jusqu’à 20 ans de prison ferme.
Dans la nuit du lundi 8 août, Evrard Rwamigabo, chef de colline Gatete a été sérieusement battu par des gardiens des plantations de palmeraie aux environs d’une heure du matin. Il était en patrouille lorsqu’il s’est croisé avec ces gardiens. C’est quand il leur demandait de s’identifer qu’ils ont sauté sur lui et l’ont blessé au niveau de la tête. Des arrestations de personnes accusées de collaborer ou de participer à des groupes armés se font surtout en commune de Burambi et Rumonge . Leurs familles demandent que la loi soit respectée en matière de fouille perquisition, d’arrestation et de détention pour ces personnes poursuivies d’infraction de « participation aux bandes armées » Certains observateurs deman- dent que les patrouilles nocturnes soient uniquement réservées aux forces de l’ordre afn de ne pas semer la confusion.
C’est la faute au Rwanda
La ministre Kanyana va nier tout cela! Et sans honte!
Voila la province du très zelé Président du Sénat, l’auteur du discourse ‘Travailler ‘ & ‘Pulveriser’
Tu ne sais pas ce que tu racontes !!!!!!
Il faut d’abord faire une enquête avant d’écrire, le président du sénat est de makamba