Reporter sans Frontières a réagi ce mercredi 6 décembre au lendemain des menaces et des remontrances sévères du ministère de la Sécurité publique à cette envoyée spéciale de RFI. Cela fait suite à son reportage sur des cas de viol impliquant des policiers lors de leurs opérations.
Dans son communiqué, cette organisation de défense de la liberté d’expression parle de ’’répression de l’information’’. Pour Reporter sans frontières, ’’l’information est plus que jamais victime de la spirale de violence et de la confusion politique dans lequel s’enferre le Burundi’’.
Selon un communiqué lu le lundi 4 janvier par le porte-parole de la police, le major Pierre Nkurikiye, le ministère de la Sécurité publique ’’regrette les traditionnels reportages de malédiction de Mme Sonia Rolley, journaliste de RFI’’.
Ce n’est pas tout comme reproches : « Elle n’a cessé de mettre du ’’feu sur la poudre’’ (de l’huile sur le feu. NDLR), comme d’habitude, en publiant de fausses informations incendiaires», a-t-il insisté.
Le ministère de la Sécurité publique a accusé la reporter de «fabriquer de faux témoins, accusant un policier de viol à Bujumbura après les attaques du 11 décembre sur certains camps militaires».
Selon le major Pierre Nkurikiye, ’’la police n’a constaté aucun cas de viol à cet endroit et à cette date et attend toujours des plaintes éventuelles dans ce sens’’.
Le ministère de la Sécurité publique a d’ailleurs appelé à demi-mot les services habilités à prendre ’’des mesures nécessaires à l’encontre de l’action perturbatrice de cette journaliste’’.
«Proférer de telles menaces contre une journaliste connue pour le sérieux de son travail est absolument scandaleux», s’insurge Cléa Kahn-Sriber, responsable du Bureau Afrique de RSF. Il rappelle que Sonia Rolley ’’avait notamment publié des articles sur la systématisation des viols lors des perquisitions policières’’.
D’une part, fait-t-il remarquer, ’’le président de la République fait des effets d’annonce et parle de la réouverture des certains médias et de l’autre, il tolère que l’on continue d’intimider les journalistes’’. D’après ce responsable du Bureau Afrique de RSF, Bujumbura ’’ne viole pas seulement le droit des journalistes à faire leur travail mais le droit de toute la population burundaise à être informé de ce qui se passe dans son pays’’.
Pour Reporter sans frontières, il y a risque de dégringolade du Burundi qui occupait encore la 145ème place au classement de 2015 de la liberté de la presse établi pas RSF couvrant l’année 2014. «Avec la fermeture arbitraire des médias et la persécution des journalistes depuis le début de la crise de 2015, il est peu probable que le pays maintienne cette position dans le Classement à venir», conclut Cléa Kahn-Sriber, responsable du Bureau Afrique de RSF.
http://index.rsf.org/#!/ Le cas sonia rolley est un peu special :etant envoye speciale au burundi elle couvre aussi la RDC ,le RWANDA, leTCHAD et n’hesite pas a poster des twittr n’etant pas au burundi ex twitte du 2 sept 2015; pour moi son professionnalisme tant vante est remise en question des ce point .
2) son patron RFI a ete toujours radio rebelle dans le passee tout comme aujourd’hui donc attendre une information equilibre sans connotation de leur part est tout a fait impossible .Major B avait un certain temps coupe leurs emetteurs car ils servait les interet des assaillants.
3)RSF menace de nous degradre sur leur classement. moi je dit chiche
on est mieux classee que le Rwanda ,Egypt en afrique , la chine, malyasie LEs emirats (DUBAI) , en asie source http://index.rsf.org/#!,
.perso je ne vois pas en quoi leur liste sert un peuple. Etre bien classer quand on meurt de faim et que les population des pays classe derniers sont a l’aisem materiellement et financierement n’interresse ne vaut pas la peine .le peuple veut la tranquilite et le developpement economique .
@Viator: « Je ne vois pas en quoi leur liste sert un peuple. »
Vous pourriez avoir quelques idees si vous essayiez de lire l’un ou l’autre article sur la liste suivante:
1. Pas de democratie sans liberte de la presse, http://www.laligue.be;
2. Il faut defender la liberte de la presse, http://www.lemonde.fr;
3. La liberte de la presse: dernier rampart de la democratie, http://www.journalensemble.coop;
4. La liberte de la presse et le developpement vont de pair, http://www.afdb.org;
5. La liberte de la presse et le developpement durable, http://www.communication.gouv.ht/sept2013;
6. Liberte de la presse et developpement, http://www.scienceshumaines.com.
@OYA
Je te vois, tu es parmi ces personnes qui sont toujours noires dans leurs pensées. Gotham City existe aux USA dans l’Etat de Wisconsin. Si tu es de notre siècle voici ses coordonnées géographiques (GPS) en bas, tu localiseras cette ville toi-même à l’aide de Google Earth (tu connais ça? Ou tu es dans l’antiquité?). Elle est surnommée aussi Richland, ce qui signifie Terre Merveilleuse. Elle est à une heure de route de Madison City. La ville n’a connu aucun cas d’assassinat depuis 2014 jusqu’aujourd’hui. Les gens meurent par ce qu’ils sont malades, vieux, accidents, catastrophes naturelles/ouragans, etc. Ce n’est pas dans la jungle de NKURUMBI où les gens meurent des balles dans la tête, etc. chaque jour.
Coordonnées GPS : 43°13′23″N 90°17′28″W
Nous savons tous que les Sindumuja utilisent bcp les . médias dans leur guerre contre le governer. Or Esdras c’est lui qui guide Sonia alors qu’il est lui-même Sindumuja avec une casquette de journaliste. Faites vous-même le lien.Ce n’est pas Sonia qui a pénétré dans Musaga toute seule. Quelqu’un lui a dit d’y aller et à cible la maison.On n’est pas con.
Évitez ces commentaires illisibles. Le journal est écrit en une langue connue.
Et alors? Il est où le problème si Sonia a pu rencontrer des temoins à Musaga ou Nyakabiga?
la police n’a constatée de viol à cette date et attend toujours une éventuelle plainte comme si les enquêtes existent au burundi? Porter plainte contre un violeur chez avocat, c’est un suicide, alors arrêtez de trouver de boucs émissaires partout, de coupables c’est toujours les autres? ingorane si umu journaliste,ingorane nivyo mugomba kunyegeza.Nimba ataco mugomba kunyegeza, muramwitwarira hazobeho enquête indépendante,et transparente.
La police ne peut pas constater un cas de viol perpetre par cette police meme.
Message from Robert Kelly to Pierre NKURUNZIZA:
« I’m lookin over the skyline of the city
How loud, quiet nights in the mist of crime
How next door to happiness lives sorrow
And signals of solution in the sky
A city of justice, a city of love
A city of peace, for everyone of us
We all need it, can’t live without it
Gotham City, oh, yeah
How sleeping awake because of fear (ohh, yeah)
How children are drowning in their tears
How we need a place where we can go
A land where everyone will have a hero (even me)
A city of justice, a city of love
A city of peace, for everyone of us
We all need it, can’t live without it
Gotham City, oh, yeah
Yet in the middle of stormy weather
We won’t stumble and we won’t fall
I know a place that all of us shelter
A city of justice, a city of love
A city of peace, for everyone of us
We all need it, can’t live without it
Gotham City, oh, yeah », The Song Gotham City.
Cette City n’existe meme pas aux USA… au moins pour les noirs ! C’est une utopie.
@Oya: « Cette City n’existe meme pas aux USA…au moins pour les noirs! C’est une utopie. »
1. « Gotham City » AS ALL BATMAN FANS KNOW, IS NEW YORK-particularly New York below 14 th Street, from SoHo to Greenwich Village, the Bowery, Lttle Italy, Chinatown and the sinister areas around thebase of the Manhattan and Brooklyn Bridges…We didn’t call it New York because WE WANTED ANYBODY IN ANY CITY TO IDENTIFY WITH IT… »
(Voir William Safire: « On language: Jersey’s vanishing « New », http://www.nytimes.com, July 30, 1995).
2. D’apres le recensement de 2006-2008, les Noirs americains, les caraibiens et les emigres africains faisaient 2.086.566 personnes, soit 25,1% de la population de la ville de New York.
(Voir Demographics of New York City, http://www.wikipedia.org).