Le nouveau patron du Conseil National de la Communication veut renforcer la professionnalisation des journalistes et promouvoir le dialogue entre gens du métier.
Quelles sont vos priorités ?
Le renforcement des relations de confiance entre le CNC et les différentes associations des professionnels des médias nous tient vraiment à cœur. Nous allons multiplier des contacts et échanger pour arriver à des conseils constructifs. Si des erreurs se commettent, le dialogue sera privilégié. En cas de récidive, la loi sera appliquée. Une attention particulière sera aussi attachée à l’octroi de la carte de presse en collaboration avec les professionnels. Des conditions d’attribution et de retrait résulteront d’un consensus. Les journalistes professionnels doivent être distingués des faux journalistes car nous exerçons un métier à haut risque.
Vous n’allez donc pas sanctionner à tour de bras …
Loin de moi l’idée de privilégier la sanction. Nous comptons sur les organisations des professionnels des médias, qui peuvent s’autosaisir pour des fautes éventuelles. Nous pensons au tribunal des pairs, l’Observatoire de la Presse Burundaise. Que ce soient les professionnels, le CNC ou les pouvoirs publics, personne ne voudrait que notre métier recule.
Pourtant, le Conseil National de Sécurité, dont vous faites partie, exige la rigueur envers certains médias « déviants ». Comment jugez-vous leur travail ?
De façon générale, il est appréciable. Mais tout n’est pas rose. Une information peut être traitée différemment, selon la ligne éditoriale de chaque média. Le CNC va donc analyser cette préoccupation du CNS par le truchement de nos services de monitoring pour voir si la requête du CNS est fondée.
Quels sont les défis que doivent relever les journalistes ?
Ils sont liés au matériel et à la formation. Et tous ceux qui se réclament journalistes ne le sont pas forcément. En outre, la période est cruciale car proche des élections. Les journalistes doivent faire preuve de professionnalisme face aux sollicitations des politiques. Il faut garantir aux différents acteurs et aux citoyens le libre et équitable accès à l’information.
Que répondez-vous à ceux qui accusent le CNC de toujours servir le pouvoir ?
La profession et la loi sont mes armes.
@YAKO
Mushingantahe/Yako. Biraboneka ko Rema iguteye ingorane. Icokubera rero ciza n’uko wova mu Burundi ukimukira ahandi, kuko Rema ni yaba ikubabaje muracari kumwe. Et ces slogans que tu lui colles nibaza ko ziri cane cane mu mutwe iwawe kurusha muri studio za Rema. Nibaza ko abantu bamwe bamwe muzomarwa n’umururazi ubarimwo imbere y’uko mumarwa n’ihonyabwoko mwibaza ko rishobora guterwa na Rema. Du reste je vous respecte et portez-vous bien.
Il faut pas juger une personne avec une aussi facile gratuité….les débuts sont toujours difficiles et qui n’a jamais débuté ne saura me contredire.Laissez-le travailler et jugez -le par ses actes. Son goût pour un verre, vous n’êtes pas peu nombreux à le côtoyer dans un bistro…et je sais qu’à ce moment là, vous êtes en train de regarder la télé un verre à la main ou sur la table… son caractère, il le partage avec beaucoup d’entre -vous et…qui ne bois fait autre chose…donc attendons et voyons…
Plutôt je te souhaite pleins succès Richard. C’est pas un travail de gamin qu’on te donne. c’est un pari à gagner pour toi…pleins de responsabilités….prise de décisions…etc…Et pour ceux qui parlent de l’expérience, tu aura fait un premier pas.
Courage cher ami
Mais j’ai peur
J’ai peur de mon ami qui peut etre tenté d’être corrompu par le systeme
Meme les deputes sont corrompus au Burundi
nawe bazogushikira
mugabo courage
Hahaha, Ewe Ntigacika uracetera inkuru nka kera kuri « La reine ». Ntawe nzi cane uyo mugabo, ariko nagomba kumwifuriza kuroranirwa muri kino gikorwa kitoroshe, na cane cane uhereye kuri rino robanura ngo: « Les journalistes professionnels doivent être distingués des faux journalistes ». Au 21ème sciècle, biragoye au Burundi fût-il. Boba ari abafise ama master gusa ga nyakwuba…??! Aho wohava ugira safisha mu mwuga!
Langue de bois! Tu me rappelles un autre qui a douché nos espoirs: un certain Pierre Claver de la CENI. Sache-le deja: tu vas te casser si tu t’attaques a nos journalistes. C’est pas vous qui les payez!
abibazak hari bishasha twitez kuruy mugab barihenda cane,mbe kuberik batarah iyo ntebe uwo muri radio privé? abo bomur RTNB si nabakozi b ,igihugu nkuk babivuga ahubw bakorer umugambw,inkuru bayitanga uko umugambwe ubishaka.ntibab bahashira Eric Manirakiza ,muhozi tukaraba,harih nabandi bafise ijambo badatinya igitsure nkumu pfasoni KIRAMVU
Emwe kiravyibushe imbeba!
Vyiza yohera impanuro kuri Domitila Kiramvu akamugorora guko amakuru yose avuga ayavugana ishavu. Ageze kuri CNDD-FDD ni ijuru rirubamye muragaba umuhero urashitse. Ku kibiri naho tout est rose meme s’ils tuent.
nimukore ivyiza murabw ko Domitila atabayaga igira uvuge ko atabavugiye mukiri mushmba? jewe ntagazwa nikintu coba carabuze ngo abatere ama rose ubu mufise nico mwomuha. Ike buke mureke kubona ko uwutabayaga aba ari inkozi y’ikibi kuko inyanka kubwigwa ibwigwa nuko amaso atukuye!
GIRAMAHORO arazi uwamutumye,aje gukora idili,muzorabe uwo mugabo wo muri conseil national de sécurité ivyo azokora,à entendre l’appréciation de ceux qui le côtoient,il est plus tyran que Édouard,wait and see
Il faut focaliser une grande attention sur les émissions diffusées par la radio REMA FM, les slogans de génocide de cette radio sont déjà detectés comme la RTLM milles collines au Rwanda en 1994, itubarize nirya ndirimbo baherutse gusohora pour raviver les tensions étniques à Rumonge uzoba ukoze, kuko amatota ya 2015 , on ne peut pas le nier tous les barundais sont dans la peur, mais quand meme il faut laisser les journalistes travailler dans la liberté sans etre intimidés, mais la chose qui sera difficile pour ce nouveau président du CNC c’est la mise en application de ces lois liberticides à la Pinochet que le président a promulguées en toute maladresse pour les exercer tyraniquement.
Courage Mr GIRAMAHORO
Euh Richard, uti « …Les journalistes doivent faire preuve de professionnalisme face aux sollicitations des politiques. Il faut garantir aux différents acteurs et aux citoyens le libre et équitable accès à l’information. »
Jewe ndabona ko ariho ugitangura ako kazi ariko utaramenya « the realpolitik ». Ou tu coopères, ou tu te casses et nous cherchons un autre responsable plus compréhensif!
Bonne chance et tu me diras!
Mr Giramahoro est un journaliste sans histoires. Dire qu’il sera à la hauteur ou pas kwoba ari nko gupfumura. Ivyo vyovugwa ku muntu yari azwi ku bintu vyinshi yari asanzwe ashoboye. Professionalisme? Iryo jambo riroroshe kuvuga ndakeka ko yibagiye aho igihugu kigeze!
Ariko Richard uko ndamuzi azofungura yihorere murundi ntakunda kurenza ugwamo abantu.
Iyo natation nayo muvuga ko akunda, basha amazi bahurira ku meza no muri douche n’umugezi ntiyowujabuka.
Et la lecture? Nivyo koko arasoma kandi akaryosha ikiyago.
Courage cher frère et ami
Jewe nkunda kubaza murantuga naho kenshi Iwacu muca mumfuta. Il est de quelle ethnie et province? Nizere ko atari umu nya BURURI canke NGOZI> Je doute ( ).
ntuzoterimbere kobero ibibazo vyawe vyarataye igihe kandi urahanzwe pe! culture yawe scientifique ntayo nzi, muga novuga ntihenze ko nimba aruko uraba ibintu,tu n,auras eu qu,une tete bien pleine au lieu d’une tete bien faite! Dommage vraiment je te plains!