« Donner une impulsion aux Forces de Défense Nationale (FDN) surtout dans leur élan de former une Force capable de faire ses preuves dans les missions nationales ou internationales pour la cause de la paix », c’est le grand apport de l’armée burundaise à l’atelier sur l’élaboration des manuels standards de formation pour la Force Est Africaine en Attente (East Africa Standby Force : EASF, en anglais).
C’est la déclaration du Chef d’Etat Major de Formation, le Général de Brigade Théodore Kandere, dans le discours d’ouverture officielle de la réunion, ce mardi 20 août à l’Hôtel Club du Lac Tanganyika à Bujumbura.
La certitude du Général burundais résulte du fait que les FDN « participent dans des exercices organisés par l’EASF ».
L’atelier de Bujumbura permettra de « finaliser le projet d’un manuel commun de formation auquel tous les pays membres de l’EASF devront se référer dans la conduite des entraînements pour les opérations de maintien de la paix», a déclaré le Général Major Cyrille Ndayirukiye, ancien ministre burundais de la Défense et actuellement Directeur du Mécanisme de Coordination de l’EASF. Ce livre jettera donc les bases d’une « formation standardisée et de qualité » . Le Général Kandere n’a pas caché son optimisme : « Des connaissances techniques, intellectuelles et morales dispensées uniformément dans tous les pays fournisseurs d’hommes, vont porter notre Force Est Africaine en Attente au sommet de l’excellence ».
Le document sera en usage dans les cinq centres de formation dits « centres d’excellence » établis au Rwanda, au Kenya, en Ouganda, en Ethiopie et au Soudan. Le Burundi se cherche encore pour en avoir un sur son sol.
L’atelier de Bujumbura a rassemblé 52 participants venus des 13 pays membres de l’EASF. Il comporte trois composantes : une militaire, une de police et une civile. L’EASF a son quartier général au Kenya et sera constituée d’une brigade (entre 2500 et 3000 hommes) prête au déploiement sur ordre de l’Union Africaine.
Hewe OSCAR LIMA, barya ni abagabo, abasirikare babikwiye, umwe muri bo mukurasa akoresha trigo. Ni ibihangange! Ntibatumaramaza baravyize bikwiye. D il y a 10 ans bari babiri gusa mugabo ngira abandi baravyize mu nyuma.
Il faut que quelqu’un fasse le boulot au profit d’un autre qui paye! C’est de la sous-traitance; et cela arrive aussi entre gouvernements!
Biriko biraza.
Turiko turaca ubwenge. Isi yuzuye amanyanga.Abatazi ubwenge ngo ni ukugarukana amahoro naho ni uguca amafaranga. isi ni ukwo imeze. Tureke kwicana, kuko turashobora kubaho neza mu gutungwa n’ibikorwa nk’ivyo mu karere. Komere mwa ngabo mwe. Muze musume muronka iyo muzoja hose kugarukana amahoro.
Les compétences dont parle mon Général sont à inculquer aux généraux ex-FDD puisque leur comportement v is à vis des questions typiquement politiques laisse à désirer. Leur place est plus à la permanence du CNDD-FDD qu’à l’EMG, raison pour laquelle ils sont promus aux grades supérieurs même en position de détachement: des conseillers qui grouillent dans les cabinets présidentiels ou présidentiels? C’est triste, car ils sont plus civils que militaires.
Dukeneye une armee discipline apana ama bandi nkayo turiko turabona mu karere!!!
Ils regardent comme des militaires aguéris sans doute!
Mubona baraba gute?
wewe uhagarara kungene baraba. weho uraba gute?