Non seulement ils observent un retard dans le paiement de leur salaire mais de plus, le mois d’août n’a pas été versé, selon les militaires Burundais de l’Amisom. Pour la représentation de l’Amisom, cela est dû d’une part à la longue chaîne de paiement qui passe par Nairobi-Addis Abeba-Bruxelles puis au Burundi. D’autre part, par les listes des militaires et leurs comptes envoyés par la CECAD qui parvient à la représentation avec retard.