Mardi 05 novembre 2024

Politique

Résolution sur le Burundi : le Conseil de Sécurité appelle tous les protagonistes au dialogue

13/11/2015 20

Le Conseil de sécurité des Nations Unies a adopté à l’unanimité ce jeudi la Résolution 2248 appelant tous les protagonistes de la crise burundaise actuelle à engager des pourparlers et à cesser toute forme de violence.

Dans ce texte, le Conseil de sécurité s’alarme sur la situation prévalant au Burundi. Cette résolution souligne l’aggravation continue de l’insécurité et la montée constante de la violence. «L’impasse politique persistante dans le pays, caractérisée par l’absence de dialogue entre les parties prenantes burundaises, inquiète le Conseil de Sécurité», insiste-t-elle.

Ce Conseil de sécurité condamne les violations des droits et les atteintes à ces droits perpétrées tant par les forces de sécurité que par les milices et d’ autres groupes armés, les exécutions extrajudiciaires, les actes de torture, les arrestations arbitraires, les actes de harcèlement commis contre les défenseurs des droits de l’homme et les journalistes.

Dans cette résolution, le Gouvernement est exhorté à traduire en justice les responsables de violations du droit international humanitaire ou de violations des droits de l’Homme et d’atteintes à ces droits.

«Un véritable dialogue associant toutes les parties, fondé sur le respect de la Constitution et de l’Accord d’Arusha, serait la meilleure façon d’aider les parties prenantes à trouver une solution de consensus », recommande le Conseil de sécurité des Nations Unies.

Pour cet organe, il y a nécessité de tenir d’urgence un dialogue inter Burundais en coordination avec toutes les parties prenantes pacifiques concernées, qu’elles se trouvent dans le pays ou à l’étranger, afin de trouver une solution consensuelle à la crise actuelle. 

Pas de sanctions pour l’instant

La Résolution 2248 ne prévoit pas de sanctions mais il est envisagé des mesures supplémentaires à l’ encontre de tous les acteurs burundais qui, par leurs actes ou propos, concourent à perpétuer la violence et entravent la recherche d’une solution à la crise.
Le Conseil de sécurité demande au Secrétaire général des Nations Unies de suivre de près l’évolution de la situation au Burundi et l’invite à déployer une équipe pour travailler avec le Gouvernement.

Ban Ki-moon est prié de le tenir informé dans les 15 jours, en présentant des options sur la présence future de l’organisation des Nations Unies au Burundi. Le Secrétaire général est aussi tenu de présenter tous les 30 jours un rapport sur le Burundi, en particulier sur l’état de la sécurité et les violations des droits de l’homme.

Forum des lecteurs d'Iwacu

20 réactions
  1. S. P. Nanga

    Vous avez parfaitement raison Monsieur @Stan Siyomana.
    La Dignité, l’Indépendance et la Souveraineté nationales valent de loin moins de votre 52%. Ailleurs, au Pays qui nous aime, et qui ressemble, telles deux gouttes d’eau, on rabaisse autrement la dépendance de l’aide étrangère.
    D’après, chez nous au Burundi, la Dignité, l’Indépendance et la Souveraineté nationales valent 0. Et pour s’en sortir, le Burundi doit vendre l’Âme aux Diables.
    La Guerre est très belle quand elle se déroule chez les autres. Les meilleurs, les plus coupables, les plus capables l’importent dans nos propres murs. Uwuramvye arabona.
    Infine, le Droit de parole n’est une concession : C’est le Droit.

  2. Honest

    Very good.

  3. Honest

    Et quant au génocide! Je pense que certains burundais souhaitent avoir le génocide tutsi. Beaucoup sont guidés par des doctrines fran-maçonniques et c’est cela qui se passe actuellement. L’opposition parle beaucoup de préparation de génocide tutsi, ce qui veut dire que l’opposition est mono-ethnique et le pouvoir est mono ethnique. Cela est archi faux. Il n’y a pas de génocide ethnique au Burundi pour le moment. Concernant les tueries, des Tutsi et des Hutu sont tués. Même au sein du cndd-fdd beaucoup sont exilés d’autres tués alors qu’ils sont des Hutu co-combattants de Nkurunziza dans la forêt. Je ne veux pas nommer les gens mais souvenez-vous de ceux du cndd-fdd qui ont rédigé la lettre demandant à Nkurunziza de ne pas se présenter aux élections. Donc, arrêtez de dire qu’il y a génocide tutsi car c’est faux. La réalité est que Nkurunziza est contre toute personne qui est contre son 3ème mandat, il s’en fou que tu sois Hutu ou Tutsi. J’ai un ami burundais hutu politicien qui est persécuté, il s’est actuellement refugé au Rwanda et est dépouillé de tout, aucun papier, alors qu’il était un haut cadre du pouvoir; ses grand-père paternel et maternel comme ses grand-mères paternelle et maternelle sont Hutu, mais il ne peut plus mettre pied au Burundi. Dans peu de temps, je l’accueillerai à Bobo-Dioulasso au Burkina Faso dans ma famille, lui et quelques membres de sa famille. Donc arrêter de proclamer le génocide tutsi. Un génocide politique peut-être? Oui, mais pas un génocide tutsi.
    Il peut y avoir un génocide tutsi dans le futur si la Communauté Internationale, en se basant sur des machinations fausses actuelles des opposants extrémistes et des Européens néo-colonialistes, oblige Nkurunziza à quitter le pouvoir en le tuant ou en l’arrêtant par force pour la c.p.i: dans ce cas il y aura un très grave génocide tutsi que l’o.n.u même ne pouraa pas maîtrisé. La Communauté Internationale doit obliger le pouvoir et les opposants à s’asseoir pour discuter une transition. Elle doit obliger les Burundais à trouver une solution burundo-burundaise qui aboutira au départ négocié et volontaire de Nkurunziza avec des élections acceptées par tous. Tout le monde sait que le pouvoir a tué beaucoup mais l’opposition aussi a commis la même erreur de tuer beaucoup. Tuer est égal à tuer, donc ils sont tous responsables. S’il y a besoin d’envoyer des gens à la c.p.i, Nkurunziza ne sera pas seul. Si le pays veut vraiment la justice et la paix, Nkurunziza sera ensemble avec les membres de l’opposition, des militaires, des policiers et beaucoup de civils à la c.p.i, même les anciens politiciens y seront aussi puisque ce que le pays vit aujourd’hui est le fruit de ce qui s’est passé depuis longtemps.
    Pour moi, la meilleure solution est de s’asseoir pour dire la vérité, assumer les responsabilités mutuellement, se pardonner, discuter une sortie pacifique de la crise.
    Un conseil citoyen et patriotique: que les jeunes patriotiques, les Organisations de la Société Civile et les défenseurs des droits humains ne s’alignent jamais derrières des politiciens qu’ils soient de pouvoir ou de l’opposition. Quant aux jeunes, soyez des hommes et femmes politiques mais ne soyez pas des politiciens, éloignez-vous des politiciens; soyez des jeunes citoyens, sensibilisez-vous, reprenez-vous, unissez-vous, reprenez-vous, le pays a besoin de vous, l’Afrique a besoin. Ne vous entre-tuez pas quelque soit votre appartenance politique. Le pays a besoin de ses jeunes. Prenez l’exemple du Balai Citoyen du Burkina Faso, la jeunesse a simplement chassé Blaise et Diendéré sans s’entre-tuer malgré leur très grande différence d’appartenance politique. L’exemple du Burkina Faso est très positif car les jeunes ont montré que l’unité est possible malgré les grandes différences. Courage à vous car « bukebuke bukomeza igihonyi.
    Votre frère burkinabé Honest.

    • S. P. Nanga

      Brovo, Monsieur @Honest, notre Frère.

    • Dieudonne BAHEBIYA

      Voilà ce qui prouve que le Burundi a produit des fils et des filles vraiment sages. Merci cher frère burkinabé Honest. Même si le Burundi a encore des INTUMVA, il faut toujours parler. Il y en a qui vont finir par comprendre que la haine n’a jamais était une solution. Si l’animal tue, c’est juste pour se défendre contre la faim. Les humains sont créés pour vivre ensemble, créer ensemble la richesse pour chasser la faim d’abord puis construire le pays, lui doter des infrastructures pour devenir encore plus riche pour bien éduquer nos enfants fruits de notre amour pour nous et notre pays. Ces enfants vont devenir des jeunes qui vont grandir et encore grandir dans l’amour et la politique du bien-être et du bonheur pour tous. Les parents deviendrons des vieux et vieilles alors il faudra leurs remettre ce qu’ils nous donnés en même temps donner aux nôtres donc faire des familles heureuses qui partagent la joie de vivre ensemble, qui portagent la douleur quand elle vient de part et d’autre. Il n’y aura plus ces histoires qui disent « muhe utu : muh’utu = muhutu ou encore mbega ngabure ga mututsi ?» car l’égoïsme des uns et la mendicité des autres n’auront plus de place dans ce petit BURUNDI, riche de pâturage, sources limpide et de sous-sol garnie et d’une capacité humaine incroyable. Aimez-vous les uns les autres comme vos parents vous ont aimés.

    • Luc

      Tout ce que vous avez dit est vrai. Je ne vais pas rien ajouter. Mais je vais aussi dire quelque chose un peu plus: A ceux qui appellent l’intervention de Casque blues de l’ONU. C’est nécessaire que l’ONU use de son influence pour qu’il y ait un dialogue franc, pour arrêter les tueries qui se passent. Mais croire que les casques blues peuvent apporter la paix aux Burundais, on se trompe. Comme example, en 1994 au Rwanda, l’avion qui porter J. Habyarimana a été abattu tout pré de l’aéroport alors que l’aéroport était gardé par les casques blues de l’ONU. Le Canadien, Général Dallaire sait bien que A. Uwiringiyimana qui était premier ministre du gouvernement de transition a été tuée sous les yeux des casques blues incapable de protéger qui que ce soit. Je suis très convaincu que si l’aéroport de Kigali était A la protection des militaires Rwandais, l’avion du président de l’époque n’aurait pas été abattu et le génocide n’aurait pas été eu. A l’Est du Congo(RDC), il y a la MONUC. Mais, il y a des cas où les massacres se perpétraient et les gents courraient vers les forces de la MONUC pour la protection mais celles-ci poussaient ceux gents vers les forces criminelles. En Lybie, l’ONU a autorisé les bombardement mais aujourd’hui on entend que la grande partie du territoire Lybien est aux mains des Islamistes radicaux. Donc, ceux qui croient que les casques blues de l’ONU peuvent emmener la paix au Burundi se trompent. C’est aux Burundais eux même d’agir dans le sens de chercher la paix que de s’entre déchirer.

  4. MINAGO

    Chers burundais(e), moi je me pose des questions que certainements d’autres se posent. Quand on nous parle de dialogue entre gouvernement et l’opposition vous compenez réellement ce que òa veut dire pour moi c’est entre NKURUNZIZA et la coalution dirigée par NYANGOMA si non e reste ça sera INKINAMICO comme certains aiment utiliser ce mot rwandais, et dans ce cas vous croyez que Nkurunziza va accepter et s’il accepte RWASA va reprandre le maquis et dire que c’est lui l’opposant le plus fort qui a des hommes (car c’est le pretexte commun avec nkurunziza qui croit que meme s’il fait du burundi et des burundais ce qu’il veut il a beaucoup de gens dirière lui, entre guillemets). Dans le cas ou Rwasa accepte vous croyez que les deux autres vont arriver sur un quelconque accord? Car Nyangoma exige la fin du règne de Nkurunziza et il a raison car sont suffisant pour montre la capacité d’un homme et de son cote Nkuruziza la fin de son règne signifie beaucoup de chose dont des poursuites pour des crimes commises. Et comme les accords signifient abandonner certaines opinions pour accepter celles des autres. disons que Nyangoma accepte d’amninistier Nkurunziza, est -ce – que tout les burundais seront d’accord?N’y aura – t- il d’autres mécontentement qui vont provoquer d’autres conflits dans le futur? il y a beaucoup d’interrogations sur ça.

  5. dester

    Dans la vie il faut éviter de porter les habits des brebis alors qu’on est des loups. La principale conséquence de ces personnes qui veulent instaurer à leur manière suivant leur règles la paix dans notre pays ce qu’ils s’attirent la malchance. RIP a la France qui est endeuillé actuellement par l’attaque de PARIS, bilan 300 morts alors qu’au Burundi en plusieurs mois de manifestations nous avons eut seulement 200 morts!!!! Vraiment faut arrêter de critiquer les autres, je ne parle pas même pas de l’attaque à Lyon ou celle de Charlie Hebdo, mais nous voyons de plus en plus que ces pays qui se disent en sécurité plus que nous sont les plus touchés par le terrorisme et ils se donnent a cœur joie de réprimé les terroristes!!! Pourquoi empêcher le gouvernement burundais de faire la même chose??? Aux USA combien de noire sont morts les 6 derniers mois, environ 350 je crois, mais si dans ta maison brûle pourquoi vouloir aller atteindre le feu dans la maison de ton voisin!!!! ça c’est la folie

  6. Ntahitangiye

    Urgence: Réunion de l’ONU pour constater l’aggravation continue de l’insécurité et la montée constante de la violence en France:

    Au moins 120 personnes ont été tuées dans une série d’attaques simultanées menées vendredi soir à Paris. Trois explosions se sont produites aux abords du Stade de France, en marge d’un match de football entre la France et l’Allemagne. Une prise d’otages a eu lieu dans la salle de spectacle du Bataclan, faisant au moins 80 morts. Plusieurs fusillades ont eu lieu dans la capitale. Un conseil de Défense est prévu ce samedi matin.

    Source :
    http://www.rfi.fr/france/2min/20151113-plusieurs-fusillades-cours-paris-victimes-bataclan-charonne

  7. Ntahitangiye

    Je remarque que:

    1) »Cette résolution souligne l’aggravation continue de l’insécurité et la montée constante de la violence. »
    2) »Pour cet organe, il y a nécessité de tenir d’urgence un dialogue inter Burundais en coordination avec toutes les parties prenantes pacifiques  »
    3) »La Résolution 2248 ne prévoit pas de sanction »

    La résolution aurait oublié les putchistes et le communiqué de l’UA qui prévoyait des sanctions ?

  8. Nshimirimana

    Muvyemere canke muvyanke, Nkurunziza azotwara Uburundi n’abarundi mpaka 2020, et dites-vous qu’il est loin d’être un président sanguinaire comme le prétendent certaines mauvaises langues. On a vu pire sous l’Uprona de Micombero, Bagaza et Buyoya, et le Peuple burundais composé de la majorité opprimée depuis la nui t des temps ne peut encore accepter une telle humiliation gratuite surtout!

    • Stan Siyomana

      @Nshimirimana: « Nkurunziza dirigera le Burundi jusqu’en 2020… ».
      1. Et d’ou viendrons les 52% du budget annuel de l’Etat burundais que representait l’aide etrangere occidentale.
      L’Etat russe de Vladmir Poutine pourrait etre a court d’argent (a distribuer genereusement a la dictature du 3 eme mandat presidentiel au Burundi) puisque les hydrocarbures (petrole et gas) qu’il exporte ne rapportent plus comme avant. Le rouble (=la monnaie russe) a chute de 35% par rapport au dollar americain pour la periode de 12 mois (jusqu’au 30 octobre 2015).
      (Voir Frank Holmes: Have commodities reached an inflection point? », http://www.usfunds.com, 2 Nov. 2015)
      A cause de la secheresse, la Russie et l’Ukraine risquént de perdre 30% de leur production de ble (d’hiver?)/winter wheat and triticale, a hybrid of grain.
      (Voir Christine Mungai: « Drought in Russia and Ukraine threatens 30% of wheat crop – this could have unlikely political implications in Africa », http://mgafrica.com, 3 Nov. 2015).
      La Chine nonplus n’aurait pas tellement de moyens pour venir en aide au Burundi, elle est engagee dans ses propres reformes socio-economiques (vers une economie qui se base plus sur la consomation/consumer-driven economy).
      Et puis le role du Burundi comme anti-chambre vers les immenses ressources naturelles de la RD Congo est tres exageree. La Chine et la Russie peuvent traiter directement avec l’Etat congolais.
      Lero I Burundi ntavyo kumanika akaguru mw’ikoma no kwishirira agati muryinyo ngo vyose ni sawa pe!

      • Bwarikindi

        Tu es innocent car c’est pas l’argent qui manque. Ça fait longtemps qu’ils ont coupé leurs soit-disant aides mais le Burundi continue à fonctionner et tout le monde a son salaire a la fin du mois. Baduhe amahoro gusa urabe ingene igihugu cubakwa. Twaramenye uko ifise irobwa n’a kare ivyagusa bitera ubwenge buke. Niwaba utarajijuka waracerewe we wiyita Stan siyomana. Abo bazungu ntaco bakurusha twe tubabamwo turabazi.

        • Stan Siyomana

          @Bwarikindi
          Si la dictature du 3eme mandat presidentiel au Burundi « savait desormais comment pecher elle-meme le poisson »/Twaramenye uko ifi irobwa, le FMI n’aurait pas prevu une chute de 7,2% du produit interieur brut (PIB) du Burundi pour 2015 et Global Competitiveness Report 2015/2016 n’aurait pas classe le Burundi 137 eme sur 140 pays.

          • Mwira

            Ivyo biharuro twara hiyo abarundi bumvikanye ntaco batoshikako. Ivyobiharuro vyawe bobikurusha kubikarcula.

          • Stan Siyomana

            @Mwira
            Ici, moi je n’ai fait que parler de certains indicateurs economiques qu’on utilise pour evaluer l’economie d’un pays.
            Et si vous avez d’autres/vos propres criteres, je serais tres ravi d’en entendre parler.

        • Stan Siyomana

          @Bwarikindi
          Avec le « tout le monde a son salaire a la fin du mois », la dictature du 3 eme mandat presidentiel au Burundi va peut-etre eviter que les gens ne descendent ENCORE UNE FOIS dans la rue pour manifester, mais pour aller vers le developpement durable et inclusif/Twaramenye ingene ifi irobwa, il faudra utiliser un certain pourcentage du budget annuel pour le developpement de l’agriculture et des infrastructures (pour produire quand meme plus de 40 ou 50 megawatts d’electricite).

      • Mwira

        erega benshi ntibabiryako bari mubuhungiro ivyo bintu. Abari barabimenyereye nibo bagowe. Amaboko ayo. Nka jewe ntanibati bigeze bampa murayo mahera. natunzwe naynje.

  9. Iwacu, pour eviter toute equivoque, veillez poster l’integralite de la resolution. Sinon, votre interpretation est sujet au debat et ne rassure pas tout le monde.

    Merci

    • Simon Nanga

      Vous avez PARFAITEMENT RAISON, Monsieur @ Micombero Jean. Tout comme vous, j’ai permettre le droit de lire le texte de résolution du Conseil Sécurité de l’ONU sur le Burundi.

A nos chers lecteurs

Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.

Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.

Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.

Editorial de la semaine

Enrôlement des électeurs. Entre fatalisme et pessimisme

Alea jacta, les dés sont jetés. La période d’enrôlement qui avait officiellement commencé le 22 octobre a pris fin ce 31 octobre. Se faire enrôler est un devoir hautement civique et citoyen en vue de reconduire ou renouveler la classe (…)

Online Users

Total 3 656 users online