La police a procédé à des rafles dans les boîtes de nuit à partir de 3h de ce 28 juin, le long du Boulevard de l’Uprona. Les personnes arrêtées ont été embarquées à bord des camions de la police pour le Commissariat municipal de la police (ex-BSR, Bureau Spécial de Recherche.)
13h 30 : Selon les officiers du Commissariat municipal de la police, « nous procédons aux vérifications des dossiers des personnes arrêtées, avant de les relâcher. » Aucune échéance fixe n’est donnée.
12h : Le porte-parole adjoint de la PNB, Pierre Nkurukiye, donne des détails sur l’opération de rafle de la nuit : « 140 personnes ont été arrêtées, dont 33 hommes, 107 femmes et filles. » Et surtout il insiste : « Parmi les personnes arrêtées, il y avait une cinquantaine de mineures. »
L’opération, qui a commencé à 3h du matin, aurait été menée « suite aux publications des journalistes faisant état de débauche parmi les jeunes filles dans la capitale », et ciblait des lieux de loisirs en plein centre-ville : « S’il y a tellement d’attention ce matin, c’est que les personnes arrêtées cette nuit l’ont été dans des lieux de haut standing. Sinon c’est une opération de routine pour la police », explique l’officier de la PNB.
Les objectifs ? « D’une part, nous voulons mettre un frein aux fréquentations des boîtes de nuit par les mineurs. D’autre part, nous souhaitons sévir contre les actes illicites qui se commettent dans ces espaces, notamment la consommation des stupéfiants, la débauche et des actes contraires aux bonnes mœurs. »
Pour Pierre Nkurikiye donc, « c’est une opération qui va se poursuivre », et « qui ne doit pas inquiéter outre mesure ceux qui veulent fréquenter les bars et dancings la nuit venue : c’est leur plein droit, d’autant plus que les propriétaires de ces lieux sont reconnus par la loi. »
Quant aux personnes arrêtées, « chacune a désormais un dossier et la police va traiter chaque cas individuellement. J’en profite pour interpeler les parents qui ont des enfants mineurs ici pour venir les récupérer », a précisé le porte-parole adjoint de la police.
10h30 : L’Ombudsman, de passage près des bureaux de l’ex-BSR, en profite pour y entrer et s’enquérir de la situation. Aux officiers de la police, il leur demande de traiter rapidement les dossiers des personnes arrêtées, en veillant notamment aux étrangers (un Belge, un Zimbabwéen, un Américain, un Ougandais et des Rwandais), pour que les personnes majeures soient relâchées au cours de la journée, « quitte à continuer les enquêtes après. »
Certains des proches des filles arrêtées leur ont apporté dans la matinée des pagnes pour se couvrir, d’autres font apporter par les policiers de garde quelques victuailles aux amis, juste pour tenir. En espérant que tout le monde sera libéré bientôt.
10h : La centaine de personnes arrêtées dans les boîtes de nuit, en majorité de sexe féminin, passent actuellement des procédures d’identification au sein du Commissariat municipal de la police, selon le porte-parole adjoint de la Police nationale burundaise – PNB. Les policiers procèdent à la mesure de la longueur des jupes que portent les femmes et filles arrêtées : « Il y aura certainement des amendes infligées pour atteinte aux bonnes mœurs », se plaint une mère venue récupérer sa fille qui fêtait hier son diplôme de fin de lycée.
Une foule nombreuse de citadins est massée à l’entrée des cachots de l’ex-BSR, en attendant de récupérer les leurs. Et les profils des détenus varient : élèves qui fêtaient hier soir la fin des humanités générales, fiancés en sortie après l’officialisation de la dot, vacanciers venus des pays voisins ou d’ailleurs, etc.
Le porte-parole de la police promet de s’exprimer clairement sur ces arrestations au courant de la journée.
Les policiers procèdent à la mesure de la longueur des jupes que portent les femmes et filles arrêtées : « Il y aura certainement des amendes infligées pour atteinte aux bonnes mœurs »
Hahahahahahahahahahahah………!!!
Mais, je perd la tête ou quoi! Qui a pris cette mauvaise initiative, c’est une folie là! Kalachnikov à la main, à la recherche des mini jupes?!!! Je crois qu’on manque de stratégie vraiment au niveau « d’en haut!! » Je parie qu’on moment où cette police torturer cette population paisible, celui qui les a envoyé dormait avec ou touchait sur la minijupe d’une quelconque jeune fille de l’âge de sa fille!!!!!
Menteurs!!!
Il s’agit d’une action maladroite, mal préparée, mal exécutée et surtout qui n’honore pas le corps de police.
Sinon si l’on ne veut pas que des mineurs entrent dans les boites de nuit il suffit d’exiger un strict contrôle des identités à l’entrée des ces boites de nuit un point barre.
En effet, des femmes mariées, des filles majeures, fiancées, même des passants ont été arrêtés et surtout il n y’avait aucune critère de sélection des personnes à arrêter.
Je pense sincèrement que d’autres raisons avaient motivées cette opération (notamment les amendes) mais que la pression était devenue intenable avec les coups de fils qui ont surement fusé de partout.
J’ose espérer que cette opération atari direction ya police yayitegetse kuko bisa nk’ingingo yafashwe n’umuntu umwe canke umurwi kuko yateguwe kandi ishirwa mugiro nabi cane ; malheureusement comme la plupart des fois d’ailleurs.
Nonese niba ari munshingano za polisi zo kubahiriza amategeko agenga ama « mineurs »
igipolisi c’Uburundi ntabwo kizi gutanukanya abantu bakuze n’abana? Iyo mikorere siyo!
Dans des pays civilisés où le respect de la personne humaine est respecté,chacun a droit yo kwambara uko avyunva.Iyo un garcon ou un homme ariko atembera mumabarabara ari torse nu yerekana physique yiwe ko la police idaca imutarukirako ko ariko arahena?Ca excite les filles kubona une poitrine bien développé et d une bonne forme.C est de même nkuko une jolie fille yoba raiko atwereka amabere yiwe ou ses si belles jambes.Le problème est qu on a une police paysanne,muzorabe dans leurs rafles inge batwara ces pauvres créatures:bagenda barabakaba kaba partout comme des sauvages.Alors le problème réel est que ces policiers iyo baravye ces filles barunva uburoho ariko kubera ari des paysans bakuzura une sorte de complexes.Iyo rero babarungitse kugira visite ou rafles naho bagira des bavures sans nom.
Iccari préalable ni uko des mineurs n ont pas d accès dans des discoteques.Bishitse par control bagasnga harimwo un mineur muri boîte ntibaca bashira tout le monde dans le même sac.Baramusohora,bakongera bakamutahana gushika iwabo bagasiga banaravye ko yinjiye kuko bafise devoir de le protéger hama des sanctions zigafatirwa la boîte en-soi.
Kubatwara muri prison est une bavure,une honte pour un pays sivilisé comme le nôtre.Par ailleurs la place d un mineur ntiri muri BSR.Impinga iracari ndende pas kuri abo baba basohotse ariko kuri
comportement des policiers. Hama abahora ba détourna des mineurs,notre pauvre police en action ntibegera naho baba bari.
Umukobwa peu importe uko yambaye arakenye kwisanzura tout comme umuhungu. Sinon aba Boko Halam ntaho tuzoba dutaniye.Humilier des gens à la Bavuginyunvira vyabaye coutume chez
nous sous pretexte de moeurs. Quelle est la plus préfèrable, la plus décente des pratiques entre guca imitwe y abantu ukayita dans des latrines ou porter une mini-jupe? Chers lecteurs,je crois sincèrement que le vrai problème est ailleurs.MERCI.
Mbega ni nde ahomba quand nos mineurs sont protégés contre le vagabondage sexuel, alcoolisme, drogue vyibonekeza cane dans des boîtes de nuit, bars et hôtels ??? Ce n’est nullement l’oeil curieux des mini-jupes ou tenues osées, mais c’est bel et bien les prédateurs sexuels et évidemment les parents qui survivent du butin de leurs filles mineurs prostituées. None ntimwumva ko ari akamaramaza mu Burundi? Sauvons ce qu’il reste à sauver chez nos enfants mineurs et jeunes burundais, ivyanse navyo que le Gouvernement ne ferme pas les yeux kuko ahari abagabo ntihagwa ibara!
Il y a quelques jours seulement, des catcheurs de Kamenge, à majorité masculins, présumés coupables de crimes
de crimes punissables par la loi sont traités de façon digne, que j’ai trouvé bien pensé, loin de la violence habituelle parce que au bout du compte, des jeunes sont des jeunes. Ils grandissent, ils ont encore droit au bénéfice du doute.
Et voilà, quelques jours plus tard, une centaine de femmes trainées dans la boue, coupables d’emblée parce que emprisonnées. Pourqoui ce traitement differenciel évident de présumés crimes de jeunesse?
A tous, la femme, la fille, ce n’est pas seulement votre épouse detestée, et la fille d’autrui . C’est aussi votre fille adorée, votre femme bien aimée, votre soeur, votre mère, votre tante, votre grand-mère. Les femmes que vous aimez le plus au monde.
Pensez à elles !!!!!
Nous voulons avoir l’heure juste sur cette arrestation:
– Le but enfin exact de cette arrestation?
– Combien de mineurs appréhendés?
– Combien de prédateurs arrêtés?
– Les personnes conduites au Commissariat municipal de la police avaient-elles toutes des cartes d’identité?
Erega ,il faut que la Police burundaise yerekana ivyo yakoze toute l’année kuko le 1er juillet irageze pr justifier agashimwe kuwakoze ibitangaza muri uyu mwaka kazotangwa na » Nyakubahwa ». Seulement bikanguye (police ) bateba pour être couronnée et surtout d’une facon maladroite ! Ivyo rero ntibiba biciswe kwikangura biba vyitwa « kuvunduruka »…. tukaba tuzi ko kuvunduruka bitabujije isake ku…. imbere y’inzu. Nibakora igikorwa nkico « iwabo n’abantu » bien conu par tous …. la police méritera alors sa couronne prévue ds 3 jours! Salut
Il serait souhaitable que notre gouvernement travaille sur les aspects ci-dessous et propose à notre parlement, pour examen, vote et approbation des lois et règlements relatifs aux questions ci-après:
1. La charte burundaise des droits et libertés pour que chaque citoyen burundais connaisse parfaitement ses droits et libertés;
2. La loi sur la police burundaise avec pour objectif d’assurer une meilleure protection des citoyens en veillant au respect de leurs droits et libertés;
3. Le code de déontologie des policiers du Burundi qui devrait régir la conduite de tous les policiers;
4. L’institutionnalisation de deux corps à savoir un commissaire à la déontologie policière chargé d’examiner les plaintes des citoyens vis-à-vis des policiers qui offenseraient le code de déontologie policière en abusant des pouvoirs que la société leur accorde et un comité de déontologie policière, sorte de tribunal spécialisé, chargé de trancher les litiges entre les citoyens et les policiers.
Tant que ces questions ne seront pas traitées, il y aura toujours des abus. Les droits et libertés des citoyens seront toujours bafoués. Les policiers ne connaîtront jamais où commencent et où s’arrêtent leurs pouvoirs. Les citoyens dont leurs droits auront été bafoués ne sauront jamais où ils doivent canaliser leurs plaintes, etc.
Le sexe et l’alcool!!!faites sortir toute votre artillerie, la bataille est perdue d’avance.Meme dans les pays arabes on ne tire plus qu’en l’air …Du reste ,ceux qu’on deploit a la premiere ligne sur le champ de cette bataille ne sont pas necessairement des anges en matiere de sexe et d’alcool…Mais, permettez-moi de retourner ma veste:tout est bon pour proteger nos jolies burundaises qui commencent a devenir la proie facile des hommes et jeunes sans foi ni loi.
« qui commencent a devenir la proie facile des hommes et jeunes sans foi ni loi. »
Ah oui, et surtout et en premier leiu des bwana mkubwa! Sinon, qui a de l’argent pour payer ces filles? La poission commence…
SVP ! Le Burundi est-il un pays qui est sur la même planète que les autres pays ou c’est un pays isolé ? Au Burundi dans quelle année on est aujourd’hui ? 1850 ou 2014 ?
C’est vraiment ridicule d’arrêter des gens en disant qu’ils portent des jupes courtes . Les policiers qui mesurent la taille des jupes, les mesurent pourquoi ? Quelle est la définition d’une jupes courte ?
Le Burundi est gouverné par des bandes des incompetents car je ne vois pas comment le ministre qui a la sécurité publique dans ses mains peut autoriser la police de faire un travail rabaissant toute une institution comme ça.
J’attends souvent dire que la police burundaise est encadrée par les hollandais et des fois les belges. Ces deux pays sont des pays qui honorent les droits de l’homme et je ne crois pas vraiment qu’ils enseignent cela à la police burundaise. Ce qui signifie que ceux qui sont choisis pour suivre ces formations n’ont pas la capacité de bien absorber la matière enseignée. D’où nous avons des policiers incompétents . Il faut que la prochaine fois que ces formations sont dispensées qu’un examen de fin de formation soit donné et celui qui ne réussi pas soit dégradé pour ne pas salir une institution telle que la police Burundaise.
Pour finir , je voulais faire un crin d’oeil à ces policiers, que vaut mieux infiltrer ces gens qui donnent des stupéfiants au mineurs ou qui commettent de l’adultère avec eux et les surprendre en acte. Là tout le monde saluera votre travail. Sinon, muzoguma mwisuzuguza kandi atariko vyategerezwa kugenda.
Bravo! Tout est dit!
Vaut mieux tard que jamais, chapeau à la police Cndd-Fdd!…
On doit être aveugle ou ignorant ou… pour dire une chose pareille, sorry!
O lieu yokuz bararab i blem zihangayits igihugu, birigw barapim am jup uka meng niy yam yish abntu birigw barapf hiry no hin! ou biéy fo trouver d’ otr solutiö pr règler tous ça, apan nkuk babikoz vrmt. Le pays va mal kabis!
Quelle horreur, Quelle horreur,
Quel masochisme. Des jeunes filles victimes, revictimisées. Pourquoi on ne traite pas les autres abus comme on traite les abus envers les femmes: Si quelqu’un vous tire dessus par exemple, ces policiers devraient dans la même logique punir la victime tirée dessus, niwe yiteze urusoro. Si quelqu’un vous bat en public, vous devriez ne pas vous plaindre, niwe witeze amakofi.
Mais pour les femmes dont des filles mineures, barihiwe n’aba adultes, ama boites de nuit appartenant à des adultes, on punit les filles bayagiyemwo, et surtout celles en mini-jupe. Babahashe maze. Nibo bavyiteze.
Si vraiment vous voulez tuer un serpent, il faut surtout viser la tête. Travaillez avec elles, elles vont vous dire comment.
– Police ntimuri abambere. Avant ma génération, il y avait Kanyoni!!!, yaragerageje iyo procédure iranka. Comme preuve, ntiyabujije la génération suivante, twebwe NOUS, kwambara mini-jupes, culottes courtes, n’ubu sinkigeza ha handi hakera gusa kubera ibituma bigaragara mbaye ka Naka, ariko, murabaza naba uwambere mw’ishule minsi yose!!!!!
– Il y a peu, Murabaza Madame Générosa akiri ngaho muri. Elle a essayé la force aussi pour eradiquer je ne sais qoui.
– Pour votre information, du moins jewe ngikura, les mauvaises filles étaient toujours aux aguets, ne voulaient jamais le faire paraitre, nibo bambara neza, bi maquilla. Baguma muhira parce des fois elles étaient la propriété privée d,un homme marié ou plus agé yabahaye amategeko. Bakora bibi pendant la journée. Izuba ryaka, abavyeyi bazi ko bari kw’ishule. Twabona batwaye inda, abantu bakibaza iyo bahuriye nayo, ko bayinyoye mu mazi. Uwo mungana ukumva ngo yavuye mw ishule yagize mariage, turi muri 8-9ème.
Abandi bambara ama coulottes courtes ou allant jusqu’aux genoux, ama mini-jupes, sortaient s’amuser en groupes de garçons et filles, ibirori biheze, bakabatahana comme des soeurs (des kontcwelo, boom, etc..) , benshi bari vierges!!!! Wumva ivyo ba bakobwa bambara ndende bakora ukumirwa……Imana ibafashe.
Akandi kamwe:
– Est-ce-que ce jour-là, abana b’abantu bamwe bamwe ntiboba barasivye kuja mu bandi aho nyene, muri izo boites nyene? Canke ntiboba baje bambaye ndende kurusha. Murambariza. Amen,
– Kandi umunsi umwe bazobatwenga kuko abana banyu bazosohoka bambaye ndende bava muhira, bafise ngufi muri sac d’école. N’UWO WAVYAYE URA MU NEGOCIA, MUKAGANIRA, UGAKOVYA KUGIRA NGO ATORE UMURONGO, ARONKE INDERO ENTRE IYO USHAKA WEWE, AGAKURA MWO IBITAKIGIRA GARANTIE WE NYENE, MUGAHURIZA HAGATI. NTUMUSHIRA MU MUNYORORO NGO NIHO ASANGA INGESO NZIZA,!!!! ABANA B’ABANDI BO KUKI?
– Dossier criminel à 13 ans? Mineure nagira ngo ni légalement aussi. Na crimes de sang, baramugabaniriza.
-En attendant, je vais me mettre en pagne longue saturisi, n’igitambara multicolore ku mutwe, kimanuka sur mes joues comme les femmes d’antan, pour toute la semaine, et du coup, je serai plus sainte que cette fille mineure en mini-jupe. Twizere ko umuti watowe rero, ibibazo vy’aba mineurs, viols, drogues vyaraye biheze. Akabi gatwengwa nk’akeza. Numiwe jewe. Ngiye mu misa. Nambaye ndende. Sinkija gutamba (ndabeshe). Donc je suis sage.
– Mwihorere bana mupfunzwe, mwumvirize abavyeyi banyu, mubandanye amashule, mumenye différence entre icatsi n’ururo hakiri kare, mukurikire urunganwe musangiye ivy ivyiyumviro, ababahuma amaso, muti teshwa mute. QUI VA VOUS PROTEGER CONTRE TOUS CES MAUX DE 7 à 77 ANS?: VOUS-SEULES MESDEMOISELLES. PAS VOS PARENTS, ENCORE MOINS LA POLICE. PROTEGEZ-VOUS VOUS-MêMES. UZORINDA USAZA, EN TANT QUE FEMME UGIKENERA KW I PROTEGEA. WEWE NYENE, ABAVYEYI BATAKIRIMWO. CONTRE VENTS ET MAREES HAUTES. TURI KUMWE…
– Enfin, Police, nta mahera ndabatse, ndasavye, ndabaronderere aba expertes aho nyene i Bujumbura n’ahandi, tubandikire – amicus curiae – ku buntu – , une stratégie gagnante, synthèse des stratégies gagnantes dans le monde. Iyo yanyu ntirimwo mukora ubusa.
La violence appelle la résistance chez les jeunes comme chez les adultes.
Régine
La législation Burundaise fait elle état d’une loi interdisant aux mineurs la consommation d’alcool, l’accès à des lieux vendant de l’alcool après une certaine heure, ou encore de taille de jupe?
Si une loi venait soutenir les craintes de çes policiers, alors un control pourrait être fait dans la boîte de nuit après avoir demandé la coupure du son.
La police ne peut arrêter qui bon lui semble sans vérifier au préalable qu’une loi a été violé.
De plus, il serait judicieux dans le cas de l’existence d’une loi, de contraindre les établissement à la respecter au risque de sanctions.
Ce pays est gouverné comme un village. Chaque institution est gouverné selon le bon sens de celui qui la dirige sans la moindre considération du cadre légal.
Rien n’est fait comme ailleurs, et quand ça l’est il s’agit de républiques bannières.
#BananaRepublic
PNB, reke ndabahanure:
Mukaba mushaka guhasha izo ngorane z´aba mineurs n´abatubahiriza les moeurs mugire ibi bikurikira:
-Mubanze mutohoze mwambaye en civil kugira mumenye ibibera muri ayo mazu, mu mahoteri amwe amwe , etc.
-Mutumeko bene ayo mazu bose mubihanize, mubasabe ko ata ba mineurs bosubira kuhemererwa. Habe za contrôles à l´entrée, nimwashaka abe ari mwebwe muzozigira.
-Bitubahirijjwe mufatire ibihano abo ba nyene ayo mazu
-Mwirinde gusubira kwiha amenyo y´abatwenzi mugukora ibintu bipanze nabi nk´ivyo mwaraye mukoze: pas de professionalisme, nta n´ubwenge burimwo.
-Ivyo mwakoze bigirira nabi igihugu cacu cari gikeneye ingenzi nyinshi.
-Abanyamahanga baca babatwenga
-Abo bose mwafashe avec votre brutalité habituelle muce mubarekura mudatevye bishobotse mubasabe n´ikigongwe kuko birateye isoni.
Et Dieu inspira Paul de prophétiser ce qui est dans la 2è lettre à Timothée au chapitre 3 comme suit: »1 Mais sache ceci : que dans les derniers jours des temps critiques, difficiles à supporter, seront là. 2 Car les hommes seront amis d’eux-mêmes, amis de l’argent, arrogants, orgueilleux, blasphémateurs, désobéissants à l’égard de [leurs] parents, ingrats, sans fidélité, 3 sans affection naturelle, sans esprit d’entente, calomniateurs, sans maîtrise de soi, cruels, sans amour du bien, 4 traîtres, entêtés, gonflés [d’orgueil], amis des plaisirs plutôt qu’amis de Dieu, 5 ayant une forme d’attachement à Dieu, mais trahissant sa puissance… »
Qui d’entre vous ou des autres est capable de renverser la tendance à coups de critiques ou d’arrestations de quelques fêtards? Bonne chance bien que le défi est dur, dur…
Dans le lieu dit: » iwabo wabantu » vous avez offert des boisons aux dépiquent
Dans les night club qui payent des impôts, u les cents s amuser vous arrivent avec des idée des jupes courte mais du n’importe quoi
J’ai peur qu’au Burundi on ne sache pas ce que c’est les droits de l’hommes. Depuis que le Burundi est Burundi, il n’a connu que des régimes dictateurs, tous les Burundais ont grandi dans cet atmosphère, il faut commencer à zéro pour leur apprendre ce que c’est le droit. Croyez-moi, je n’ai aucun penchant politique, les régimes tutsi ou hutu ne savent pas ce que c’est les droits de l’homme.
Si les Nations-Unies veulent rendre un service au peuple burundais, il faut plutôt dépêcher des spécialistes en droits de l’homme et ceux-ci doivent être enseignés à toutes les couches de la population.
Nosaba leta ko yotanga itegeko ry’ ijipo irekuwe kugira abantu bareke kujuragirika. Jewe notanga nk’akarorero, ijipo itegerezwa kugera hepho y’amavi,ukitse ikiganza, +/-10cm hepho y’amavi, iryo tegeko ryoca munama nshingamateka; nibabaze ababikira ingene bapima amakanzu yabo.
Ariko ndaguye ndagarutse, bari bakwiye gufata ubwambere abakozi bo mu nzu bava kwituma bagaca baza kubandanya akazi, badakaravye.
@Rheka Shah
« …ijipo itegerezwa kugera hepho y’amavi,ukitse ikiganza, +/-10cm hepho y’amavi… » ahubwo wewe wosaba hijab na burka?
uku ni gusamaza abatagira ubwenge,kuko harya ntihashurashura impuzu ariko umutima,mbega bokwambara imvutano nta caha coba kirimwo?tureke kwihenda igipolisi nigifashe bene amaboites kugenzura abadakurikiza amategeko y,ubunywero n,ubutambiro.erega ayo mazu arafasha abakeneye kuruhuka mu mutwe kandi ni uburenganzira bwabo,ni uko n,ahandi mu bindi bihugu bimeze.Uburundi mbona atari na paradis birenzeko.
oya bashaka amahera yoguha imbonerakure zizodefila le 1er/7 bahenda nde ngo bariko bakingira umuco?
Le pouvoir CNDD-FDD ne pense qu’à divertir les gens. il y a d’autres grands problèmes que celui-là. Nous demandons à la police d’aller arrêter les Imbonerakure qui s’entrent au Congo!!! Ils ont une menace pour la paix.
Je soutiens cette opération et les suivantes!!!! Faut juste bien cibler les mineurs et sans en faire une opération de communication politique.
Notre culture est une barque qui prend de l’eau!! On relative tout, on singe tout….même les mœurs au nom du paraître moderne permissisme.
Si l’on se met à l’encontre de ce permissisme, ses défenseurs te targuent de ringard, dépassé et conservateur ….mais si certains individus sont libres de cela, nos institutions doivent rester cohérentes avec notre « akarangamutima k’abarundi!
Kandi turahiriwe i Burundi amazi ntarenga inkombe( cf HongKong, tourisme sexuel, ect ect..)
oui il y a une responsabilité des parents des mineurs et ces derniers, mais,
quel serait la responsabilité des nights club (et leur propriétaire) qui laisserait entrer les mineurs dans leur espace?
y aurait il des sanctions contre ces night clubs dans lesquels les mineurs sont attrapes afin de les encourager a etre beaucoup plus vigilants sur qui laisser entrer ou pas dans leurs espaces?
le travail de la police devrait continuer beaucoup plus, et nous devrions tous l’encourager dans ce sens.
Est ce que lors de l’attestation de des gens les policiers avaient un mandat d’arret? Je n’ai pas fait le droit mais je pense que pour arreter une personne Tu dois lui donné une raison
@Nanou: (« ..les policiers avaient un mandate d’arret? »
1. Les avocats de la defense pourraient poser la meme question si jamais les personnes arretees doivent comparaitre devant un juge.
Mais, je ne crois pas que la police aurait des difficultes de se procurer quelque document legal autorisant la rafle de plusieurs boites de nuit ou des mineurs se rassemblent a 3 h du matin!
2. Le 12 decembre 2006, aux Etats Unis, U.S. Immigration and Customs Enforcement (ICE) avait un avis de recherché/search warrant quand plus de 1.000 agents de l’ordre ont fait une rafle simultanee dans six « meat packing plants » (= abattoirs/usines de conditionnement de viande) de Swift & Company a Hyrum (Etat d’Utah), Greeley (Colorado), Marshalltown (Iowa), Grand Island (Nebraska), Cactus (Texas) et Worthington (Minnesota).
L’operation a touché entre 12.000 et 20.000 employes, dont 1.297 sans-papiers/illegal immigrants ont ete arretes , puis envoyes dans des centres federaux de detention, et puis expulses du pays.
(Voir « Swift raids », http://www.wikipedia.org).
Merci.
Vouloir changer les choses est une chose et la manière de le faire est une autre. La police ne peut pas venir arrêter des gens comme ça…sans motif concret et dans le désordre. Ceci pour dire que la police burundaise ne sait pas ce qu’ elle fait et le rôle qu’il est censé joué. Police burundaise agissait comme une personne civilisée. Imaginez vous être arrêté,passé la nuit aux cachots et avoir un dossier; autrement dit être traité comme un voleur ou un criminel. Désolé pour toute personne arrêtée ! ! Le pays va mal.
Oui. La police attend que les media parlent d’ un problème et commence a faire semblant de s’ en occuper. Cette improvisation de la police cache mal une volonté d’ humilier une certaine catégorie de gens plutôt qu’ une volonté de protéger les mœurs. Le problème est plus compliqué que la police ne le pense et ce n’ est par des démonstrations violant les droits élémentaires des gens que ce problème sera résolu. Il faudra aussi éviter la politique des deux poids deux mesures: des enseignants des écoles primaires et secondaires ont violé des élèves parfois mineurs, sous leur responsabilité mais n’ ont jamais été inquiétés parce qu’ ils sont membres de CNDD FDD. Que la police aille aussi voir ce qui se passe dans les bars tenus par certaines hautes autorités du régime: Sodome et Gomorrhe.
Mbe komuvuga abakobwa baba mineures, niyaba bagendana nahungu baba mineurs ntangorane. Ntakuntu bofata abagabo barikumwe nabo bamineurs canke babashurashuza. Ikosa rikomeye ni uyo mugabo akuze ashurashuza umwana, canke amwereka ibintu adafise kugira amushurashuze.
Kaburundi
Uwukunda ikirori si umumalaya kuko umumalaya umuha amahera niyo mufpana. Umuntu wese aborewe agira ivyo atokora ari lucide.
Abantu baboreza aba mineures nibo bakwiye gufungwa pas les mineures
Dans certains si pas dans beaucoup de pays « occidentaux », les mineurs de moins de 18 ans, ne sont même pas autorisés à acheter des cigarettes dans les supermarchés et les boutiques. C’est formellement interdit par la loi et les vendeurs respectent scrupuleusement la règle, sauf si le mineur est assez malin pour confier son argent à une personne majeure complice qui pourra lui acheter ces cigarettes et ainsi contourner la loi. Mais c’est quand même déjà important qu’il y ait de tels garde-fous. A plus forte raison pour les boissons alcoolisées.
Je pense que le Burundi devrait emboîter le pas à ces pays pour mettre en place des lois et règlements qui interdisent aux mineurs certaines pratiques publiques réservées aux personnes majeures.
Ahubwo nimwugare ama boites yoe kuko zisesema Yesu yadupfiriye
…. »Les policiers procèdent à la mesure de la longueur des jupes que portent les femmes et filles arrêtées…… Jewe nibaza ko bobareka kuko uvyihweje neza usanga izo mpuzu bambara babibonera kubandi. Aho nshatse kuvuga mubindi bihugu! Oui, d’accord bonnes mœurs, mais c’est à la mode!!! jewe aho mperereye ubu ivyo mbona nakamaramaza! Twebwe niko bazambara mw’ijoro, hano hoho no kumurango bahakwa kugenda uko yabaremye kandi mengo ni ibisanzwe!! Ubona ko n’akazuba katse (été) uvyitegereje urabona ko turi mubihe vyiherezo kubemera!!
erega ivyo vyukwambara gutyo vyatanguye kera, nuko twari duhumirije. None ibintu vyinshi birabirwa ku bazungu, siyo nyambaro yonyene barabirayo. hamwe nibindi vyiterambere tubirabirayo.
Mu kirundi bavuga ngo Imburakimazi ibagara umushatsi… !!!!. Je crois que de jeunes filles et jeunes hommes en boîte de nuit, en courte ou longue jupe (c’est de leur droit le plus élémentaire et ceci rentre dans ce qu’on appelle les libertés individuelles qu’il faut respecter : on n’est pas en Afghanistan ou en Iran et autre Pakistan on est au Burundi…) ne constituent pas vraiment un danger public.
Le danger public, à mon humble avis, c’est la corruption érigée en mode de gouvernance par le pouvoir en place, ce sont les arrestations arbitraires de ceux qui ne pensent pas comme ceux qui nous dirigent en ce moment, les exécutions extrajudiciaires, le harcèlement et les menaces proférés à l’encontre des opposants et de la société civile y compris les médias…..et j’en passe!
Ce qui s’est passé hier soir est une honte nationale et le DG de la Police devrait démissionner. C’est une maladresse de plus de ce pouvoir qui s’illustre ces derniers jours par la succession des émissaires du monde entier à son chevet pour lui dire de cesser de violer les droit de l’homme, de cesser de harceler les médias et la société civile et d’armer les milices Imbonerakure dont les agissements et les comportements rappellent les Interhamwe de sinistres mémoires….. Le ridicule ne tue pas… !
J’ajouterai que c’est une façon de détourner les burundais des vrais maux qui hantent notre pays!!
Le Burundi souffre de problèmes plus urgents que la taille des jupes des filles dans les boites de nuit, et puis même si on parle de l’atteinte au moeurs est ce que c’est aujourd’hui que les filles s’habillent de cette manière. Il faudrait serieusemnt reconsidérer certains actes avant de les poser
Ca risque d’être compliqué… Si l’on en reste à l’arrestation des mineurs qui sont dans les boîtes de nuit, d’accord! Si l’on arrête des femmes en plein racolage sur la voie publique, d’accord! Si l’on arrête des personnes conduisant dans un état d’ébriété avancée, d’accord! Mais arrêter des filles majeures à cause de leurs tenues trop courtes…. Je ne sais pas si au Burundi, il y a une loi qui stipule la longueur en dessous de laquelle une robe/jupe est indécente . De plus, les filles peuvent aguicher en portant des robes longues.
Là, on n’attaque pas le problème par le bon bout. Il faut un large dialogue pour trouver une solution efficace et durable à la decadence des moeurs au Burundi.
Il est certes vrai que le pays a d’autres problèmes plus important, mais laisser des jeunes filles sortir dans des lieux pour adultes alors qu’il n’y pas deux mois qu’une jeune fille a été retrouver morte, je trouve ça irresponsable et cruelle, car vous exposer tous ces enfants à la débauche et je vous assurent que demain ou après demain si vous apprenez la mort de votre enfant dans ces lieux, vous accuserez la police de n’avoir rien fait!!!!!!! Alors laisser les faire leur travail
…..laisser des jeunes filles sortir dans des lieux pour adultes alors qu’il n’y pas deux mois qu’une jeune fille a été retrouver morte, je trouve ça irresponsable et cruelle, car vous exposer tous ces enfants à la débauche… ». Bien que ce que tu dis est sensible, tu dois certainement reconnaître que la façon de faire de la police est maladroite. Pour ce genre de problème, le proprio de la boite de nuit devrait faire des vérifications à l’entrée pour que les mineurs n’y entrent pas. Mesurer la longueur des jupes dans un pays laïc comme le notre est un autre pas vers la tyrannie. Il faut respecter les choix individuelles( habillement, choix de nourriture, etc…). L’Etat ne saurait s’ingérer dans ce domaine ( choix et libertés individuelles) sans piétiner les droits des citoyens… Mais in sait tres bien que : « There does not appear to be a time when the state(in Burundi) has ever thought or cared about individual liberties of its citizenry.
Tu as totalement raison. Le problème existe et il est extrêmement urgent de sauver ce qui reste encore a sauver de nos bonnes mœurs d’ autrefois. Sauf que la police voit ce qui se passe depuis des années mais laisse faire. C’ est suite a l’ article y relatif publié par IWACU que la police s’est senti interpelée et a décidé de faire ces arrestations médiatisées pour faire semblant de s’ occuper du problème en prenant a témoin tout le monde. Je suis certain que la dépravation des mœurs est le moindre des soucis des autorités actuelles.
Là, je pense que tu as mal interprété mes propos. Je n’ai pas dit que la police n’a pas à s’occuper de cette degringolade des moeurs , j’ai dit qu’elle n’y arrivera pas comme ça et en plus toute seule^^ je rejoins les suggestions d’un autre commentateur qui préconise un contrôle strict à l’entrée et une infiltration des milieux où se font détournement des mineurs et/ou consommation de stupéfiants. Je suis également pour une concertation large sur la question pour bien cibler l’action répressive et conscientiser ces jeunes.
Odilon, tu as dû mal me comprendre. Je suis pour une intervention de la police mais je pense que la police n’y arrivera pas comme ça et en plus, toute seule. Cela nécessite un large consensus.
Vraiment???
Est ce la solution trouvé au problème de la drogue?
Rafle d’une centaines de filles dans le but de procéder à la mesure de la longueur des jupes?
Apparemment, chacun voit les solutions selon son niveau d’éducation.
Les marques sur un pays dirigé par un groupe ayant vécu de longues années dans la forêt son visibles.
Qu’avons nous fait pour mériter ça? Ce pays aurait il été abandonné par Dieu?
« Apparemment, chacun voit les solutions selon son niveau d’éducation. »
Haha… so true, so damn true!
Sha Iwacu, muraduha mumasaha aza amakuru neza, twunve ico babahoye abo bigemes.
Ico novugaco nuko ubu malaya bgakomeye gose i bujumbura. Sishaka kuvuganabi, Buja, abigeme bamwe bamwe, nababava mumiryango yifise barataye ubgoko, umuhaye ikirori, ukamuboreza, murara mutahanye. aho rero nvuga abana babakobga bafise moins de 21 ans.
Iwacu muradutohoreza neza les lois zerekeye ububare na ma boites kuri ages d’entrée. Kuko za toxic, sparks, gymans, huzuye abana baba mineurs. twizere kuigi polisi kigiye kugabanura ico kibazo. Kuko ivyo mbona vyo abavyeyi twananiwe
Uvuze moins de 21 ans; n’aba 16 ans barimwo kandi ntibatinya gutahana n’abatama
apparement umengo urabiziko vyinshi…
@KABURUNDI
« Sishaka kuvuganabi, Buja, abigeme bamwe bamwe, nababava mumiryango yifise barataye ubgoko, umuhaye ikirori, ukamuboreza, murara mutahanye »…..NONE NA WEWE URI MUBABATAHANA? Ko abavyeyi vyabananiye ushaka polisi abe ariyo ikurerera? Birakuburiye nimba ushaka kurererwa na police y’Uburundi, une des plus corrompues et des moins professionnelles d’Afrique….! Il faut réguler les moeurs certes et appliquer sévèrement la loi dans sa totalité en ce qui concerne les mineurs notamment mais rappelez vous que ceci a été tanté notamment en 2005 quand les DD sont arrivés au pouvoir mwarabonye ico vyatanze…! Des bavures énormes aho abana b’abakobwa bapfunganwa na ba se ngo bari kumwe bababonye gusa mu muduga ku mugoroba etc…..Une honte nationale….! Ubu naho abo bashinzwe gutwara nibo nyene ba mbere birirwa barashurashuza abo bana uriko uravuga…Ne soyons pas naïfs et franchement, qui trompe qui…? TURABIZI VYOSE VOUS INQUIETEZ PAS……!
Jewe nibaza yuko bari bakwiye guhera kuri les propriétaires bizo boites kuko aribo badandaza izo cocaine zihaye inkumbi ariko comme benshi ari abazungu sinzi yuko babubahuka.
Ibibera mugihugu cacu biteye isoni,kuko mubafashwe harimwo abera abagabo eka numwana tuvukana kandi yari yambaye ipantalon nayo yoba yitwa mini jupe sinabimenya?ikindi kibabaje nuko igihugu cacu gifise izindi ngorane nyishi zokwitaho zisumba uburebure bwama jipo.Ntakundi birababaje birateye agahinda