Le nouveau vice-président est un député élu en 2010 dans la circonscription de Bujumbura. Il est né le 06 Aout 1953 à Kigina, en commune Mugamba, province Bururi. Détenteur d’un diplôme en Economie (en 1974) à l’Université du Burundi, il a fréquenté plusieurs écoles militaires à l’étranger et obtenu différents certificats et diplômes.
Diplôme de commandement naval à l’Ecole Navale Hellénique (Grèce) en 1979, brevet des officiers de transmissions en 1980. En 1986, il passe une année à l’école des Capitaines et d’Etat-major. Bernard Busokoza se passionne aussi pour la télécommunication et, en 1982, il fait deux ans à l’Ecole Supérieure d’Electronique et Télécommunications (STIAD-Grèce) et devient Ingénieur en Electronique et Télécommunication. Il participe également à un atelier sur les Satellites Géostationnaires de Communications à Bamako (Mali), en 1988.
Infatigable, il effectue un stage sur la gestion des entreprises en France, en 1991, avant de décrocher un certificat de réussite de fin du cycle de 5 ans à l’Institut Supérieur de Gestion des Entreprises (ISGE).
Ce père de six enfants a exercé différentes hautes fonctions au pays, en rapport avec le domaine des télécommunications. Aussi bien dans le domaine militaire, public et privé. Il a même été professeur à l’Institut des cadres Militaires (ISCAM) et à l’Ecole Technique des Sous-officiers des Transmissions.
De 1987 à 1991, il fut Directeur Général à l’Office National des Télécommunications (Onatel) en même temps qu’il fut administrateur et vice président du Conseil d’Administration de la Meridian Biao Bank depuis 1988 jusque en 1991. Trois ans plus tard, il dirigea la Direction à la Régie Nationale des Postes et présida le conseil de Cofratel Burundi.
1996-1999, il fut Président Directeur General d’Afritel Burundi. Depuis 2000, il occupa pendant huit ans, le poste du Président du conseil d’Administration d’Africell, où il continue d’assurer la vicle-présidence du conseil d’administration d’Africell. En outre, il a aussi effectué des missions d’étude et de travail un peu partout au monde, surtout dans le domaine des télécommunications.
Pour certains de ses proches, Bernard Busokoza est un homme posé, très réservé, et pourtant sociable. Homme de famille et catholique pratiquant, il est très généreux et aime être à l’écoute d’autrui. Travailleur acharné, il trouve pourtant du temps pour faire de la marche, son sport favori, et secret de sa forme malgré ses 60 ans. Il aime également la lecture, surtout des ouvrages scientifiques et biographiques. C’est donc un intellectuel doublé d’un homme d’affaires. D’aucuns le décrivent comme un homme équilibré, respectueux de la tradition, mais très ouvert au monde et aux changements grâce à ses voyages.
J’AI PAS DE COMMENTAIRE SUR CETTE INFO, MAIS JE CONSTATE QUE NOUS AVONS ENCORE UN LONG CHEMIN À PARCOURIR: POUR LES JOURNALISTES, POUR NOS HOMMES POLITIQUES, POUR NOS DIRIGEANTS D’HIER D’AUJOURD’HUI ET DE DEMAIN ET ENFIN POUR LE PEUPLE. JE REGRETTE DE MOURIR UN JOUR DANS CE CHANGRIN D’OMBRE SUR L’HISTOIRE SOMBRE QUI NOUS A ENDEUILLES.
A QUAND LA VERITE? AU MOINS POUR SOUPIRER!
A BON ENTENDEUR SALUT!
Iwacu, soyez sérieux encore une fois. N’écrivez pas par cupidité. Vous avez été payé combien pour salir votre espace et votre réputation. Finalement qui croire? Vous ometez tout ce qui saute aux yeux. Je vous mets dans le même camp des fossoyeur de la nation. Honte à vous.
Nashimye caaane Zelectron kukajajuro yatwibukwije: ati » Kera ibikoko bikivuga vyagiye kwibarutsa ka gakoko nyabwijute biti « uragakira nyabwijute » nako kati « muribarutsa mukiriko n’uwu mvyaye avukanye inda » Sije nohahera ». Ico nanje nokwongerako n-uko atabitangaro Busokoza Berenarudo agiye kuzokora. Naho yovyipfuza , akagira n-ishaka ridasanzwe ryo kubikora vyomuta igati , ntavyo yoshobora. Wawundi ati » BIRUGAYE « . Kirya kibanza ca 1 er Vice-Président, yitwa ko ajejwe ibibazo vya politique na Sécurité, ni poste » honorifique » yo gusasagara . Nta ubutegetsi buyikomokako. Dusome neza Constitution tuzobona neza ko Politique na Sécurité ari « chasse-gardée » y-umukuru w-igihugu. Iyo 1 er vice-président atabitegereye neza akaja kumabwire y-ibivugirwa mwi-ibarabara , ntaheze ngo agenze buhoro, arasezererwa budakeye kabiri. Mu vyukuri uwuhagiye wese arasaba agize amahirwe agasabishwa , incuti ziwe n-abagenzi bakahatorera akajisho. Nta butegetsi nta programme politique ashobora gukora. Busokoza rero ntitumudendereze . Ibibazo vya Politique bizobazwa uwubifitiye ububasha constitutionnel. Nawe ntawundi ni Petero Nkurunziza. Niyashaka azoha umugongo Arusha, ahindure Constitution uko avyipfuza. Abashingamateka canke Abakenguzamateka bazovyitabira , babisasire. Tureke gusamazwa rero n-ubusa, igihugu uno musi uwukiramutswa arazwi.
au delà de toute spéculation, ce cher Monsieur ne devait pas être retenu avant tout blanchiment de la tentative de Juillet 1993 de renverser les institutions élues. A ce que je sache les putschistes sanguinaires de 21 Octobre 1993 l’ont fait sortir de Mpimba et n’a jamais été blanchi. A quand notre chère Patrie sera dirigé par les Hommes intègres et sans les mains sales
Votre assertion Diplomé (en 1974) d’Economie â l’ Université du Burundi est fausse. A cette époque bahereze a Kinshassa, les plus brillants en Suisse
Vérifiez les autres mensonges dans la Bibliographie postée.
Un Ingéniorat qui se fait en 2 ans mwayibonye hehe?
Kaburahe, un peu de respect pour les lecteurs.
Wait a minute: Licencie a 21 ans (74-53), cet homme a commence le primaire a 4 ans, donc en 1957! C’est possible, mais rare au Bdi, surtout a l’interieur du pays!
Nkurunziza l’a prefere pourquoi au fait? Honorable Busokoza, homme d’affaire prospere de Bururi (que les dd preferent appeler RIRUBU…), deviendra-t-il la prochaine victime des DD, pour se retrouver tout pres de Radjabu a Mipmba???
Reka guta ubwoko mubaza ico vice-président yakora mu myaka yahera. Njanye nawe, nta kambi yigeze atwara, ntiyigeze aja k´urugamba.
Mbe mwoba mwarabajije aho Peter n´abarya barikumwe ico bakoze. Mwibaza ko harya bahari kuko batabaye abagowe, bavuje abakomeretse? Mbe ubona mwoshobora kubaza muti : ko mbe babagomwe bakabaha ibiti bikomakomeye, harya babashimye iki? mwishe abantu bangahe? Mwishe abari k´ubutegetsi, bangana iki, mwishe abanyagihugu ata politike barimwo bangahe?
Reka kuba mufyorogoteza rukere mu mwobo.
Gommez, gommez encore les vérités qui vous gênent. De toute façon, dites-le ou pas, vous ne parviendrez pas à effacer dans l’histoire du Burundi qu’un certain Busokoza Bernard fut emprisonné pour avoir participé à une tentative de coup d’Etat contre un président démocratiquement élu, et qu’à ce jour il na pas été blanchi. Avant d’encenser Busokoza, encensez le parrain de sa candidature…
Vous serez déçus de ses prestations. Moi, je suis déçu de sa nomination, donc je suis immunisé contre tout sentiment de déception ultérieur. Seul celui qui l’a proposé sait ce qu’il attend de lui.
Loin de moi l’idée d’encenser qui que ce soit et surtout pas Sinunguruza mais….
Kera ibikoko bikivuga vyagiye kwibarutsa ka gakoko nyabwijute biti « uragakira nyabwijute » nako kati « muribarutsa mukiriko n’uwu mvyaye avukanye inda » Sije nohahera
et entre 1991-1995 qu’est-ce qu’il faisait? Bonne observation en tout cas. En 1993-1995 où était-il? Hariho abahazi kandi vyose bizoja ahabona. Abo ba DD nabo bavuga ngo bagwanira ivyiyumviro vya Ndadaye, vya Democratie ko batarondera gushengeza abishe Ndadaye. Qui le fera? C’est une honte pour chers DDs.
Eka biraboneka ko aba journaliste bamwe bamwe bagifise ingwara y’amoko. Liberez vous de l’ethnicité et vous aurez la paix.
Au Burundi on a tendance à juger quelqu’un selon son groupe d’appartenance au lieu de juger le contenu du comportement ou du caractère de quelqu’un. Umumenyeshamakuru yanditse uca ubona aho ari utiriwe uraja kure.
Biracagoranye.
Je ne peux que lui presenter mes sincere fellicitations.Il fait la fierte de la dixieme promotion des officers.
et entre 1991-1995 qu’est-ce qu’il faisait? Monsieur le journaliste, use parler avec franchise et ne jamais manipulé l’histoire en cherchant à omettre une de ses composantes! De toutes les façons, un jour, « abezwa bazokwambikwa ivy’irabura, abirabuzwa bambikwe ivyera. Henda abandi »!
Justement, notre brave peintre-journaliste blanchit le Noir. Là où l’Histoire a jugé, ce n’est nécessaire d’inventer de nouvelles peintures. Noir c’est noir. Aucun espoir d’en guérir. Le célèbre Journaliste écrivain Français a écrit, suite aux attaques farouches par la gang coloniale française contre son Œuvre-reportage intitulé Terre d’ébène :
« Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie ».
Notre métier, c’est le métier de journaliste, i.e. Le métier de journaliste n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie, écrivant avec le sang pourri. DB
Tu as la réponse :
1. En 1991 : il préparait le coup d’Etat contre Buyoya sans succès (il était encore très extrêmiste il ne voulait voir les hutu Ndadaye prendre le pouvoir par les urnes), Buyoya sûr de gagner l’enverra à Mpimba Rumonge,
2. En 93+ il préparait le coup d’Etat de 93 contre Ndadaye et engrangeait des commissions et rétrocommissions en pillant l’Onatel pour créer Affricell.
Twomusaba ko yoba umu sage koko,ntabe nka Sinunguruza yari niryo,ntaterwe ubwoba kuko nivyo aba DD bitwaza,asubize ku murongo Edouard Nduwimana,ahagurukire ikibazo c’Imbonerakure cabaye ndanse.Komera bwana Busokoza
Un économiste face à un sportif, et cela fait un plus. Nous verrons bien s’il pourra changer les choses où il va continuer à tout accepter : la corruption, les tueries, la spoliation des biens publics. Nous comprendrons vraiment pendant 100 jours comment il s’en sortira. Je penses qu’il ne sera pas intimidé car il a l’argent, le bagage intellectuel et c’est un militaire. Qu’il protège les burundais de toutes ethnies et partis politiques contre cette machine à tuer, IMBONERAKURE.
En un seul mot c’est un Grand!! Congrats honorable et bonne chance pour votre mission si noble
A lire cet article, pour une fois les burundais auront un dirigeant ayant un jugement sein et un discernement eclaire et les interlocuteurs etrangers du Burundi auront devant eux une personne hautement competente a qui parler. On ne peut que s’en rejouir. Les faits diront si les espoirs mis en lui etaient fondes.