Faut-il se réjouir pour les uns ou pleurer pour les autres ? Les juges de la Cour pénale internationale viennent d’autoriser la Procureure Bensouda à ouvrir une enquête sur des crimes relevant de la compétence de cet organe qui auraient été commis au Burundi.
Cette décision suscite moult réactions. La nouvelle tombe comme un couperet pour Bujumbura. Le retrait effectif de la CPI « devenue l’instrument de déstabilisation des pays pauvres », avait été fêté en grande pompe le 27 octobre.
Dès l’annonce de cette nouvelle, le Conseiller principal en charge de la communication à la présidence de la République a directement twitté : «La #CPI, corrompue, vient de se tirer encore une balle dans le pied. La tricherie saute aux yeux. Sans doute que le #Burundi sortira vainqueur de cette bataille, c’est la dernière carte de l’Occident».
Les opposants au pouvoir de Bujumbura, par contre, jubilent. Pour eux, c’est une victoire pour « les familles des victimes. »
Le porte-parole du Cnared, plateforme de l’opposition en exil, déclare que le sang des milliers d’innocents crie vengeance au Ciel et la CPI autorise l’ouverture d’une enquête.
D’après lui, le glas a sonné pour les autorités burundaises.
Des questions brûlent l’opinion : Bujumbura acceptera-t-il de coopérer ? Quelle sera la suite ? Selon le communiqué de la CPI, la Chambre a conclu qu’il y avait une base raisonnable pour croire que des agents de l’État et des membres des Imbonerakure ont commis, à tout le moins, les crimes contre l’humanité.
Accusations graves que le pouvoir a toujours balayées du revers de la main. Des enquêtes biaisées, politiquement motivées, à la solde des occidentaux. Avec le retrait de cette juridiction internationale, l’opposition a vite conclu à un aveu de culpabilité de la part du régime.
Et si Bujumbura acceptait de coopérer en autorisant finalement la CPI à mener ses enquêtes ? Hypothèse peu probable certes.
Mais il se pourrait que ses envoyés manquent de preuves suffisantes pour que des personnes citées dans les enquêtes préliminaires puissent comparaître. « Si ». En fait, on baigne dans le conditionnel…
Un autre élément qui complique la donne :Le processus d’émission des mandats d’arrêt internationaux pourrait également prendre des années. Et c’est aussi sans oublier les appuis de Bujumbura au Conseil de sécurité. Bref, à notre humble avis, pour les uns et les autres, ce sont d’autres batailles diplomatiques en perspectives. Au-delà des spéculations des uns et des autres, souhaitons que la Vérité triomphe.
La suite vous sera révélée bientôt. Soyez un peu patients.
Quelle sera la suite ?
La meme qui a ete reservee a l’uprona et frodebu des annees 90.
Rappellez-vous d »isegenya », « ninde afise nkaba tugahaya » ?
Tsunami.
Quelle sera la suite?
Cette suite est à lire à travers les dernières prises de position des présidents tanzaniens et ougandais. Pour qui connait le Burundi et son histoire, les prises de position de la CPI sont malvenues qui elles risquent d’ajouter un drame au drame, en créant une justice à deux vitesses: celle de la CPI dictée par les occidentaux et la Belgique en tête ( voir les agissements de M. Louis Michel, M. Magnain et ses associés Niyongere, Pacifique et autres CNAREDIENS , tous au bénéfice de la bienfaisance belge) d’une part et celle à laquelle aspire Monsieur et Madame tout le monde, une justice « juste », non sélective, celle qui revisitera notre histoire depuis la nuit des temps à ce jour, c’est celle de la CVR!
Cette suite est aussi à comprendre à travers le « niet » du gouvernement burundais qui a rejeté ce qu’il appelle le dictat occidental.
Cette suite est ensuite la décrédibilisation de la CPI qui après le Burundi, n’ouvrira certainement plus d’autres enquêtes contre les états africains et surtout qu’elle ne peut pas s’attaquer à ceux là même, les puissants et en même temps criminels potentiels au regard des dégâts qu’ils commettent dans le monde…
Cette suite sera enfin ( but not least) la survenance d’un autre ordre, une nouvelle équilibre dans les relations Nord/Sud avec pour parrain, le Burundi qui aura tant résisté!
Ayubu,
Je ne sais pas si Iwacu va publier le proverbe Baoulé qui illustre bien l’ineptie de la position de M7 et Mcadenas.
« Lorsqu’un vieux singe monte au sommet de l’arbre, il montre… »
La CPI ne peut pas demander la permission d’un président fut il africain (à vie) pour conduire ses enquêtes.
Est ce que M7 sait ce que signifie l’indépendance de la justice?
Ridiculum Sum???
Urantwengeje Bwana. Abarundi bati: intimenya niyo ntinegura. AbaDD mwatabaguye igihugu, none ngo abanyafrika bose babaje inyuma. Usanga wibaza ko Magufuli na Museveni bazobuza cpi gukora nibaza ko atavyo bazoshobora. Ahubwo nabo bafise ubwoba ko bashobora gukwirikira.
Tout simplement je me demande si ces juges dorment bien. Ou si de temps en temps ils ne se réveillent pas de plein sommeil pour une enième déclaration contre le gouvernement burundais.
Pourquoi si ils sont droits n’ont ils pas agit de façon à esquiver les. Toriques que la majorité voit comme crachât contre la cpi.
Ils n’ont pas leur place et devraient être remplacés.
Oui je dis remplacés soit pour lenteur, soit pour incompétence ou selon d’autres avis pour manque d’honnêteté.
Je crois que je ne serai pas sensuré car je n’ai pas critiqué M….?
Pour esquiver les critiques …?
Hahaha, waratohoje ivy’amategeko.wirambire!
Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut voir, ni pire sourd que celui qui ne veut entendre. Les suppôts virulents et éloquents du régime chrétien d’origine divine, Gacece, Papy, Ayubu et cie, occultent allégrement la vérité humaine quoique imperméable au peuple de coupeurs de têtes que nous sommes : « Il n’existe pas de souffrance ethnique mais humaine. Chaque vie humaine est sacrée et inviolable ». Même si la jeunesse de la mauvaise ethnie, massacrée, torturée, mutilée, violée, embastillée et exilée n’aurait pas droit à la justice et serait passée par pertes et profits, pensons aux militants FNL qui eux sont de vrais hutus qui ont, eux, droit à la justice. Pensons aussi aux petites vieilles sœurs italiennes qui elles aussi méritent justice car ressortissantes de l’UE où la vie humaine est sacrée.
Chers internautes
Que nous avons rencontré sur ce site grâce à Mr Kaburahe (Que j’estime énormément, Warm greetings from a cold Asylm).
J’écris pour répondre à Gacce, Papy et Ayubu.
Le Burundi traverse une période noire et triste.
Le fait que ce ne soit pas la première n’enlève en rien la cruauté des crimes actuels.
Les gens comme Gacece et Ayubu (qui sont très futés quand on voit le sophisme de leurs arguments) qui défendent le régime le font par pure pusillanimité. Ils invoquent l’injustice passée comme des alibis
La seule question est la suivante peuvent ils regarder leurs enfants dans leurs yeux?
Pour juger les ignominies commises sur le sol burundais Mr Ayubu ou Gacece, il faut une justice indépendante et non une caisse de résonnance du mutama ijk
J’avais prédit et dit que l’objectif des Burundais et de leurs collabos (ceux qui ont fait recours à la CPI) avaient pour objectif de garder vive la division entre les Burundais. Et cette décision de la CPI vient confirmer mes prédictions.
Il y a des gens qui ont intérêt à ce que les Burundais restent divisés, et ils font tout en leur pouvoir, y compris la corruption, pour perpétuer la division. Ils peuvent prétendre que c’est de la justice qu’ils veulent, mais leur objectif est connu à l’avance. Certes, il y a des Burundais, autant à l’intérieur du Burundi qu’à l’extérieur, qui les soutiennent, mais le fait est qu’ils piègent tout le monde dans leur sensationnalisme et leur discours surfaits.
Les autorités burundaises devraient s’atteler à identifier tous les recours et procédures légaux possibles à l’intérieur même de la CPI pour les exploiter au maximum afin de ne pas être pris au dépourvu quand sera le moment de défendre toute personne qui sera citée à comparaître en tant que témoin ou accusé.
Par exemple, ils ont 30 jours pour contester cette autorisation d’enquête en s’appropriant le processus légal de cette initiative. Ils doivent identifier des avocats et juristes, Burundais de préférence, qui vont plaider pour le Burundi et toute personne citée dans l’enquête.
Ne dormez pas sur vos lauriers. Parce qu’ils comptent sur ça pour vous piéger! Il peut y avoir des manifestations, mais ne négligez pas les autres voies pour contrer ces enquêtes sous prétexte que vous pouvez invoquer la souveraineté.
Il y a des Burundais qui comprennent l’enjeu de ces procédures, faites appel à eux! N’ignorez surtout pas les recours possibles qu’offrent cette CPI! Des experts de la justice internationale existent, Burundais ou pas! Il faut les identifier et les mandater!
Qui ne dit mot (légalement) consent!… même en faisant du bruit… sans recours légal!
Ils comptent sur vous pour ne rien faire!
Si tu veux toujours avoir raison, meme quand tu ne le merites pas, tu as raison. Cette-fois ci.
Mais, pourquoi ton groupe a choisi la voie du mal alors qu’il pouvait bien faire et eviter de devoir se debattre tous les jours ?
Il est urgent que ton groupe se resaisisse et arrete de se comporter comme je ne peux decrire.
A voir le torrent de crachats versés sur une cour internationale, on se fait vite l’idée de l’indépendance de la justice au Burundi tant chantée.
Essayons d’imaginer une seule seconde le sort d’un pauvre magistrat dans ce pays qui s’avanturerait à ouvrir une enquête sur le général x ou y, sur mutama a, b, c ou d.
Insulter honteusement et copieusement la CPI ne nous honore pas. « Ce n’est pas en cassant le thermomètre qu’on fait tomber la fièvre invariable ».
Merci de la préciser, en effet pourquoi tant de violence envers la CPI, c’est donc qu’elle inspire une certaine peur tout de même. Si elle existe, il faut s’en servir, on peut donc essayer aussi pour le Burundi et si ces gens qui disent qu’ils ne craignent rien, sont innocents, alors ils ne doivent pas craindre un jugement.
Gacece, oya nawe ntu ntuvuge comme ca ukuze ! Pour les DD Peter peut-etre ! Et meme avec eux, tu pourrais etre surpris de voir des revirements. Qui vivra verra !
@Gacece
depuis le 9/11 d’autres disent « Bonjour Cpi »
@jujugaga
« Adieu CPI! »
A tous ceux qui sont intervenus içi
J ose espèrer que vous tous aiment notre « mother land » le Burundi avec ses
Barundi barwaye amavunja n’abambaye ibirato
C est notre pays , nta kindi Gihugu dufise.
Paver l’injustice c’est léguer à nos enfants des pleurs.
D’autres pays qui ont même souffert plus que nous se sont relevés.
C est de l’imbécilité et de la cruauté de soutenir un criminel parce qu’il est de votre éthnie.
C’est même une preuve vous n’aimez pas votre pays
Cher Monsieur Rurihose, recevez mon bonjour que je vous adresse avec tout le respect dont je suis capable. J’ai longtemps hésité à vous répondre, ne sachant par où commencer ni comment résumer ce que j’ai à partager avec vous ainsi qu’à tous les internautes qui liront ce message. Je voudrais bien vous croire et adhérer à votre idéal patriotique qui nous appelle à aimer notre chère patrie, c’est mon plus grand souhait, mais, hélas, c’est devenu très difficile aujourd’hui. Le pouvoir en place à Bujumbura ne laisse à personne la possibilité d’aimer et servir notre si beau pays. Ces gens du CNDD-FDD ont lamentablement raté l’occasion d’entrer dans l’histoire. Par l’accord d’Arusha, ils avaient obtenu tous les instruments et prérogatives de se démarquer des régimes passés et faire la grande différence mais n’ont absolument rien fait qui puisse compter positivement comme avoir agi en faveur du développement, de la justice, de la paix et de la réconciliation. Depuis leur installation au pouvoir, ils n’ont fait que commettre bavures sur bavures, exactions sur exactions, …, et, maintenant, la peur qu’ils ont implantée dans les cœurs des burundais fait que même leurs adeptes vivent la mort dans l’âme sans savoir à quel saint se vouer. Nous suivons tous en silence et aveuglément, juste pour notre survie dans cette peur. Bon nombre de personnes, moi y compris, ont essayé à donner des conseils pour mieux faire, mais cela nous a valu d’être l’objet de suspicions et même de poursuites et éliminations car considérées comme dangereux. Ces gens sont insensibles aux conseils ou critiques. Voilà pourquoi tous ceux qui le peuvent ont fui et continuent de fuir le pays en quête de meilleure survie, et comble de malheur, ce sont les meilleurs cadres et les meilleurs cerveaux qui partent. Je pense qu’autant que faire le peut, je serai obligé de faire de même, non que je le veuille, mais parce que j’y suis forcé. Un pays sans justice est invivable. Le Burundi en souffre trop. Les gens se plaignent d’avoir perdu les leurs sans justice et ils ont raison. Le comble est que même ceux qui sont au pouvoir pleurent de n’avoir pas trouvé justice, et, au lieu d’user des pouvoirs en leurs mains pour organiser la justice et rendre justice, ils s’adonnent jour et nuit à des injustices encore plus cruelles et inhumaines que celles pour lesquelles ils se plaignent. Le poids de leurs crimes pesant trop sur leurs consciences, ils vivent eux-mêmes dans la peur d’être un jour jugés, et voilà pourquoi ils bâtissent la haine et font appel à beaucoup de faire de même. Voilà pourquoi ils ne voudront jamais quitter ni partager le pouvoir. Dans de telles circonstances, comment espérer de jours meilleurs, comment encore aimer son pays, ce pays qui, ayant perdu toute valeur de nation, devient jungle de jour en jour sans perspective visible de se redresser. C’est vrai, nta wanka kwonka nyina ngo arwaye amahere, mais le moment de la confiance est encore loin, très loin. C’est très dommage!!!
Iyo aba RADICAUX BABONYE UMU NAIF CANKE UWUSHATSE GUKORESHA AMAYERI NKA RURIHOSE BABA BATOMBOYE
Je crois que Ayuhu est, soit paye pour ecrire ce qu’il ecrit, ou yarahahamutse a cause des evenements qu’il aurait vecus; et dans ce cas il faut lui pardonner, ou il ne sait pas ce qu’il dit; soit par ignorance, soit maladie.
Dans tous les cas, il a besoin d’aide mais pas de condamnations.
Desole ma phrase est « intellectuellement » compliquee.
Bien dit! Qu’il soit payé ou pas peu importe.Il est psychologiquement instable. Tu lui diras des problèmes dans le système de santé, éducation,….il viendra avec des histoires de 72 ou H et T.
Merci a vous tous pour vous etre dechargés. Nasomye comments zanyu nsanga Ubwanyaburunga butarakira vuba. Gusa binyibukije umuntu un #sage# ntavugiye hano yigz kuvuga muri 2015 ko « …….les vieux demons » des Bdais zari zararavye kubera Arusha zugururiwe imiryango zisubira kwidegemvya mu mitima y’abarundi.
Une ouverture d’une enquête fut-elle préliminaire sur des crimes revêt une importance symbolique non négligeable… Cracher sur la cour qui l’a ouvert relève du sentimental et lui donne du grain à moudre.
Ayubu,
Ayez une pensée à Hafsa Mossi, le journaliste Bigirimana, les militants Fnl jetés dans la Ruvubu.
Les dictateurs et leurs crimes n’ont pas d’ethnie.
Il y a une clique qui veut se maintenir au pouvoir . Tes alibis de Hutu et Tutsis est juste une propagande pour tromper des naifs et des extrémistes.
Je suis Hutu mais je ne suis pas solidaire des crimes abominables commis
Pourquoi cet amalgame
Dans un Etat de Droit, ikosa rihanirwa uwarikoze
Cher Hutu Rurihose,
La justice passe d’abord par la guérison de nos cœurs; si vous avez compris le sens de mon commentaire.
Sinon, la liste est longue depuis l’indépendance jusqu’à ce jour avec le pic de 1972 dans les drames avec 300 milles morts! Peut être que la CPI se réveille trop tard mais…. il n’est jamais tard pour faire du bien!
Ooh vision ethniste de certains de mes compatriotes ! Au lieu de chercher la justice pour les victimes innocentes des bavures d’un pouvoir, certains s’interessent a l’appartenance ethnique de ceux et celles qui la reclamment.
Mais tout de même, le noeud du problème est celui ci;
Des crimes graves ont été commis et se commettent au Burundi.
Ceux qui ont le pouvoir et la justice en main au pays de Mwezi devraient juger les coupables et le montrent en face du monde.
Dans les tweets les plus véhéments de Nyamitwe, je ne vois nulle part où il récuse ces crimes.
« Enquêtes biaisées, politiquement motivées, à la solde de l’Occident, et… » est la seule réponse à la famille de Ntasano, Hafsa Mossi, La famille Nkezabahizi décimée, les fosses communes, etc…
Le burundi entre dans une phase de pais que vous n’avez jamais vue.
Il faut accepter que certains pays ont besoin d’un president fort pour avoir la paix et la stability d’abord et puis investment massive .qui produira des infrastructures sociales ,institutionales et surtout economic necessary pour la « democratie pure » .I mean a’occident aussi vue.
Mais bien sûr, Eric, ca c’est passé comme ça pour la Corée du nord dont vous ne contesterez pas qu’ils ont un président « fort » et aujourd’hui ils vous direz qu’ils ont une « démocratie pure » ……. mais selon certains témoignages individuels, des milliers de Nord-Coréens sont contraints de manger de l’herbe et des écorces d’arbre pour survivre. Début 2011, la Corée du Nord a bien lancé un nouvel appel à l’aide alimentaire internationale, mais en 2012 des transfuges ont encore rapporté des cas d’anthropophagie… Pourquoi faut-il donc que l’histoire se répère sans arrêt, pourquoi cette universelle fascination des hommes pour le « pouvoir fort », pour le fascisme car à chaque fois le fascisme ou le totalitarisme produit les mêmes effets, voir l’Allemeagne de Hitler, voir la Russie de Staline, l’Ouganda de Idi Amin etc, etc…. et le Burundi de Peter… je ne vous juge pas Eric mais je vous plains, si vous évoluez au Burundi et que vous choisissez cette voie vous mangerez tôt ou tard votre pain noir.
@Karabona
Il semble que vous-même lorsque vous dénoncez le totalitarisme, vous opérez une sélection inconsciente ou volontaire. De Hitler à Idi Amin Dada en passant par Staline, vous tombez directement sur Peter. C’est tout ce que vous trouvez, que ce soit dans le temps et dans l’espace (votre région)?
@Karabona
Avez-vous fait exprès d’oublier Micombero et les autres?
Cher Sikuyavuga,
Je ne suis pas un oiseau de mauvaise augure mais la CPI vient de commettre un acte dangereux et actionner un frein au processus péniblement engagé dans la réconciliation du peuple burundais. Dans un Burundi où parfois la vérité blesse, où le non-dit s’est érigé en mode de communication, des décisions sont parfois prise sur des mensonges!
Une association des opposants, mono ethnique, à bras long et aux soutiens partout viennent de commettre l’irréparable. Tout le monde le sait, c’est la poursuite du combat Hutu/Tutsi par CPI interposée et en appui, malgré elle, à cette dernière composante. Qui compose ce fameux collectif des avocat? A chacun d’apprécier. Qui sont les soutiens? A chacun de se donner la réponse. Qui est cette société civile et sa composition?
Qui sont implicitement visés par cette cour? Je laisse à chacun apprécier les sous-entendus de cette société civile s’agissant des victimes de ce génocide qui n’est jamais venu!
Quand une instance des NU affirme que le GD de la police (Tutsi) a moins de poids que son adjoint (Hutu), tout est dit.
Bon week-end à vous tous mais à ceux qui jubilent, jubilez modestement!
Mr Ayahu, vous confirmez ce que tout le monde savait déjà: l’objectif primordial du système DD depuis sa création, le maquis et la prise du pouvoir n’est et ne sera jamais le développement du Burundi, il n’est qu’un fol acharnement, ancré jusqu’à la moelle des os de tout DD, d’exterminer la population tutsie partout où elle sera.
C’est pourquoi, non satisfaits de vos exploits macabres de Bugendana, Teza, Rukina, Buta,etc,…, vous n’avez jamais voulu:
– mettre en place la CVR en temps voulus pour inventorier les crimes commis pour adéquatement réparer, c’est la faute aux « maudits » tutsi aux bras longs. La pseudo CVR mise en place, même avec plus de 10 ans de retard peine à fonctionner faute de budget, c’est la faute aux tutsis aux bras longs.
– juger les assassins de l’unique président burundais démocratiquement élu, SE Melchior Ndadaye, cela vous priverait du droit de vengeance sur le peuple que vous haïssez avec tant de rrrrage, et c’est la faute aux tutsis aux bras longs.
Afin de noyer vos crimes de génocide et régler vos comptes à tous ceux qui ne vous soutiennent pas dans ce désordre, vous ratissez toute voix hutue discordante à la votre, depuis votre prise de pouvoir: les FNL jetés dans la Ruvubu, torturés, portés disparus, emprisonnés et jetés dans les fosses communes, Ntasano, Fafsa Mossi, etc, etc,
Vous tuez chaque jour sans scrupules: vous vous donnez raison et justification dans « d’autres régimes passés … tutsis… ont tués »… c’est dégueulasse !
Vous pillez, violez, torturez, faites disparaître et emprisonnez sans jugement, c’est toujours la faute aux tutsis, …, ces tutsis qui vous hantent jour et nuit et dont vous planifiez toujours de vous débarrasser!!!
Bref, tous vos crimes et autres manquements se justifient par « c’est la faute aux tutsis aux bras longs », …, c’est devenu le seul slogan de vos rassemblements de chaque weekend, histoire de dresser et monter plus de hutus à adhérer facilement à votre idéologie.
Oui, cher monsieur Ayahu, vous avez tout dit, et vous avez averti: malheur à celui qui ne sera capable de comprendre et fuir ! Maintenant que certains commencent à comprendre, cela devient votre problème parce vous n’aviez pas souhaité que, même en souffrance si atroce que vous leur infligez, les gens crient au secours pendant que vous faites le nettoyage.
QUEL GACHIS!!!
Mbega imitima ikomantaye ya bene wacu Barundi!!!!!!!
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Nasomye comments zanyu nsanga Ubwanyaburunga butarakira vuba. Gusa binyibukije umuntu un #sage# ntavugiye hano yigz kuvuga muri 2015 ko « …….les vieux demons » des Bdais zari zararavye kubera Arusha zugururiwe imiryango zisubira kwidegemvya mu mitima y’abarundi.
@Ayahu Jean Pierre
selon vous, les tutsis manipuleraient la CPI ,malgré elle.
vous vous rendez compte que c’est vraiment énorme comme affirmation?
Bon week end .
@jonas45
Il n’est pas loin de la vérité! Et cela peut se démontrer!
Allez-y démontrer.
Theoreme Gacece #1:
DD gaffe et empeche la justice burundaise de faire son travail
EU prend des sanctions contre le pourvoir et le fautif est vite trouve: le Rwanda en premier
Parce que le Burundi est souverain, Peter et son equipe decident de continuer a gaffer. Pour eux ils n’y a pas de violation des droits de l’homme, ca s’appelle KUMESA gusa.
Un tribunal international decide de s’en meler parce que les crimes depasse les limites et touchent l’humanite entiere, les tutsis sont pointes du doigt comme etant les manipulateurs de la CPI. Ils sont forts ces gens-la !
Completez- moi Gace.
Je ne voudrais pas te quitter avant de te dire que kwemera amakosa ari intango ikomeye yo kuvavanura nayo. Ikindi naco, ni waba ufise abana, ndagusavye ntubashiremwo ivyo vyiyumviro. Impanuro mpaye na Ayahu nabandi bose bamaze kwinjiranwa nivyiyumviro bibi gushika kurugero nkurwo mugezeko. Murateye ikigongwe kandi muragowe ndabarahiye.
@juju
« Je ne voudrais pas te quitter avant de te dire que kwemera amakosa ari intango ikomeye yo kuvavanura nayo. »
J’espère que ce principe reste applicable à vous-même (à moi aussi si vous voulez).
Alors, au travail: appliquez le principe!
Tu as bien compris.
J’ai tendance à croire tout ce que l’homme fort du régime DD et intelligence supérieure du pays, Willy Nyamitwe, dit. La décision de la CPI sera « sans effet » exactement comme il avait qualifié le rapport des enquêteurs de la CNUDH. 1) En effet, le régime chrétien et d’origine divine ne répond pas à la justice des hommes puisqu’il a licence du Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob de massacrer, mutiler, torturer, castrer, violer, embastiller et exiler la jeunesse de la mauvaise ethnie. « Ils seront exterminés jusqu’au dernier », avait ordonné l’homme choisi par Dieu en 2015. Bazoshira nk’ifu y’imijira. Aussitôt dit, aussitôt fait. 2) En Afrique de l’Ouest, c’est la CEDEAO qui arrête les criminels contre l’humanité. En Afrique de l’Est, l’EAC est une lâche institution qui ne voit pas et n’entend pas les cris des suppliciés. Un pays membre est même suppôt du régime depuis la rébellion. 3) Le régime DD a juré la lutte à mort quitte à exterminer une partie de la population et à pratiquer la politique de la terre brûlée. 4) Les victimes des crimes contre l’humanité DD ne peuvent pas même s’en remettre à Dieu puisque Dieu a été nationalisé par le régime DD et le laisse commettre des crimes contre l’humanité. Je ne suis optimiste.