Mercredi 25 décembre 2024

Iwacu Web TV

Que deviendra Ruyigi sans la Maison Shalom?

20/11/2015 Edition : 3

Suite au gel des comptes de la Maison Shalom par la procureur général de la République du Burundi, tous les projets soutenus par cette ONG locale vont être suspendus.

Forum des lecteurs d'Iwacu

3 réactions
  1. Bamika Melchiade

    Le Burundi vit un règne des frustrations et betises. Sorry Burundi people

  2. Nkurumbi

    Plusieurs projets sont fermés parce qu’il y’a un homme qui n’est pas content:
    -Orphélinat Maison Shalom
    -Rema Hopital
    -Iteka Microfinances
    -UCP-Girubuntu: Agriculture et élevage
    -Ecole paramédical Saint-Michel
    -Ecole international de Ruyigi
    -Musée Shalom
    -Hotel et restaurant Maison Shalom
    Tels sont les projets que la course vers le mandat de trop vient de fermer.

    Plus de 30 000 bénéficaires directes, plus de 10 000 emplois directs et 40 000 emplois indirects sont touchés par la décision Valentin Bagorikunda.

  3. Mayisha Gashindi

    Ruyigi sans Maison Shalom deviendra ce qu’est devenu Bururi sans l’armée et ce que deviendra Ngozi sans le système…héhéhéhé

    Maggy aho yanka ku diversifia ses activités muri Sud, ngo ni i Bururi, jew nguma nitwengera.
    Ariko bien sur en vrais patriotes disons: Non au 3è mandat de Nkurunziza Pierre! Sindumuja et fier

    Signé- SilentMajorityAndVictims

A nos chers lecteurs

Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web. Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.

Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.

Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.