Lancement officiel d’un projet de promotion du tourisme burundais, le 23 janvier dernier, en commune Kabezi.
10 h. Il fait beau à Gakungwe (commune Kabezi, 12 km du centre-ville de Bujumbura) au mémorial de la rencontre entre deux explorateurs européens Henry Morton Stanley et Dr David Livingston en 1871. S’étaient donné rendez-vous à cet endroit, bien des fonctionnaires du ministère du Commerce, de l’Industrie, des Postes et du Tourisme, notamment ceux de l’Office burundais du Tourisme ainsi que les administratifs locaux. Etaient aussi présents des employés de Trade Mark East Africa (TMEA).
Anthe Vrijlandt, représentante de TMEA, admire le lac Tanganyika, les méandres de la rivière Mugere et la verdure des plantations de palmiers qui dorment au pied de cet amas de granite. Elle se retourne et son regard se perd à travers les hautes montagnes qui surplombent la plaine. Et d’un coup, elle entonne la chanson de Steven Sogo Il est beau mon pays Burundi, il est beau ! La chanson est immédiatement reprise en chœur par le groupe de tambourinaires.
Envoutée, Mme Vrijlandt se saisit des baguettes et, avec frénésie, elle se met à battre le tambour au rythme endiablé des tambourinaires. Marie Rose Nizigiyimana, la ministre du Commerce, de l’Industrie, des Postes et du Tourisme ainsi que bien d’autres officiels présents sur les lieux se joignent à l’expatriée.
Toute la scène est filmée par Philip Kopf, un touriste suisse venu visiter la pierre Livingston. «Oui, il est beau le Burundi », lance-t-il à son tour, charmé.
Après quoi, les officiels et des jeunes filles vêtues des couleurs du drapeau national se mettent à danser à la ronde, les bras bien étendus. Mme Vrijlandt et le touriste ne cesseront de répéter « il est beau le Burundi ! »
C’est cette beauté, qui trouve ses origines dans l’histoire, la géographie et la culture burundaise, que veut promouvoir TMEA à travers le projet « Appui au tourisme burundais ».
A travers ce projet, TMEA s’engage à aménager trois sites : la pierre Livingston, le parc de la Kibira et le sanctuaire du tambour de Gishora (province Gitega).
Bien plus, TMEA appuiera les organes en charge du tourisme à savoir la commission Nationale du tourisme ainsi que le secteur privé, plus précisément la Chambre Sectorielle de l’Hôtellerie et du Tourisme au Burundi (HTB).
Des objectifs ambitieux
TMEA financera le projet de renforcement des capacités d’exportation avec l’espoir d’augmenter de 8% les revenus du tourisme national. Il compte aussi augmenter de 200% le nombre de visiteurs sur les sites développés. Enfin, TMEA mise sur la création de 1000 nouveaux emplois en relation avec les sites et tambours.
Mme Vrijlandt croit dur comme fer dans ce programme : « Avec ce projet, nous espérons que le secteur touristique burundais se mettra sur la voie d’une relance effective et durable, avec à moyen terme, un secteur touristique qui sera aussi compétitif que les secteurs touristiques des autres pays de l’EAC et d’ailleurs. »
La ministre ayant le tourisme dans ses attributions parle des avantages que le Burundi tirera de ce projet en insistant surtout sur les retombées positives sur les communautés locales :« Nous ne doutons pas que ce projet contribuera au développement du pays en général et du tourisme en particulier, en procurant de nouveaux revenus aux communautés locales qui vont certainement tirer profit non seulement des produits issus de l’exportation directe du site, mais aussi par le développement des activités génératrices de revenus autour de ces sites, notamment la vente des objets de souvenir, des denrées alimentaires prisées des touristes et d’autres services… »
Comme stratégie pour promouvoir le tourisme au Burundi, la ministre dit que le pays doit s’inspirer des bonnes pratiques de la sous-région et du monde entier.
Sur ce, le Burundi peut compter sur le soutien de TMEA. En effet, comme le soulignera Mme Vrijlandt, TMEA est déterminé à faciliter la collaboration avec d’autres programmes de développement du tourisme appuyés par Trade mark dans les autres pays de l’EAC. Le grand souhait de TMEA est que le Burundi tire profit des avancées déjà réalisées par ces derniers, notamment en matière de facilitation du tourisme.
Quelques desiderata
Mme Vrijlandt a profité de la cérémonie pour adresser « une demande ardente » à la ministre Marie Rose Nizigiyimana de rendre plus facile l’obtention du visa pour le Burundi tout en respectant les mesures de sécurité. Et pour cela elle a montré le touriste suisse qui affirme qu’il a dû se déplacer jusqu’à l’ambassade du Burundi à Genève pour compléter le formulaire d’usage pour l’obtention du visa alors que dans d’autres pays cela se fait sur internet.
Mme Vrijlandt souhaite aussi que le Burundi se joigne au visa unique de l’EAC. Cette idée est appuyée par les opérateurs économiques, notamment ceux qui importent les marchandises des pays de l’EAC.
Bien plus, selon le touriste suisse, le visa pour le Burundi est de 100 USD alors que le visa unique pour les pays de l’EAC est de 90 USD.
Le souhait « le plus ardent » du représentant de la Chambre sectorielle de l’Hôtellerie et du Tourisme au Burundi est que « notre gouvernement traduise en actions les instruments proposés dans la Stratégie Nationale du Développement Durable du Tourisme.» Pour lui, c’est de cette manière que l’activité touristique pourra s’épanouir et par conséquent se développer dans notre pays.
» … tout en respectant les mesures de securité. » ça c’est bon. Certains touristes sont mal intentionnés et sont de mèche avec l »ennemi.C’est pour cela que certains d’entre eux, voir tous sont filés à la par la population locale et les services de renseignement. Que leurs dollars ne vous distraient pas. Inspirez- vous de votre géant voisin de l’Est en la matière où l’amour de la patrie fait partie du système immunitaire de tout citoyen même chez les tout petits.
Chez nous on signe les yeux fermes, pourvu que les premiers versements ont eu lieu. Le reste/la suite, on s’en fout. Apres moi le deluge.
Ca commence a depasser les limites de l’entendement.
Je pense plutot qu’il faut penser a develloper le tourisme interieur,abanrundi nta culture ya tourisme dufise.
Nihereyeko nagiye kuri Source du nil mu Rutovu kubera twahaca tugiye kuramukanya ruguru,nagiye kuri chute de Karera (ou de Mwishanga selon klks uns) kubera ndahafise umuryango hafi ngiye kuramutsa,kuri faille de Nyakazu nahaciye ngiye murubanza aho bita i Kayove,nta idee nimwe ya tourisme nari mfise derriere la tete. Pour dire ko abadafise imiryango hafi canke abatari abaja gukorerayo imanza ari bake biyumvira kugenda avec cette objectif yukuratira ijosho ivyo bibanza. Nukubanza tugakunda ivyo bibanza Imana yaduhezagije imbere yukubikundisha abandi.
Bonne weekend a tous
Promouvoir le secteur touristique est une très bonne chose. Mais il ne faut pas le faire n’importe comment.
Lorsqu’on observe comment on publicite les lieux touristiques dans les pays plus développés, on se rend compte que, en plus du fait de faire connaître au grand publics les lieux naturellement jolis, le tourisme a une visée culturelle. Il fait ressortir aux yeux des visiteurs l’Histoire et les grands évènements culturels du pays.
Au Burundi, on devrait faire pareil. Inclure la pierre de Stanley et Linvingston est selon moi déplacé, car pour l’Histoire burundaise, elle ne représente rien de positif, mais fait plutôt une apologie du colonialisme parce que Stanley et Livingston n’ont été d’aucun bénéfice pour le peuple burundais et n’étaient que des esclavagistes envoyés par les puissances occidentales de l’époque pour tirer profit au maximum de notre cher continent africain et des gens qui l’habitent.
Que cette pierre soit exhibée par la Belgique ne serait pas un problème parce qu’elle est un élément important de son Histoire coloniale. Mais qu’elle soit exhibée par le Burundi et que des Burundais dansent devant elle est une honte parce que cela montre qu’on fait fi des souffrances que le peuple Burundais et les peuples Congolais et Tanzaniens ont subit durant la colonisation.
A la place de cette pierre, beaucoup d’autres sites pourraient être developpés, tels que la source du Nil de Rutovu, le lac aux Oiseaux, le parc de la Rusizi, les enclos royaux, le musée de Gitega, … tous ces sites pourraient être ameliorés pour attirer le plus grand nombre de visiteurs.
« Comme stratégie pour promouvoir le tourisme au Burundi, la ministre dit que le pays doit s’inspirer des bonnes pratiques de la sous-région et du monde entier. » (l’article)
C’est quelle strategie ca? Est ce que cette ministre comprend au moins la definition d’une strategie? C’est triste et regrettable!!
Question Visa: Je propose a la Diaspora Burundaise d’intervenir et de soutenir nos agents d’ambassade pour trouver des solutions on-line. Croyez-moi, la plupart de nos ambassades n’ont pas de personel qualifie et capables de creer de telles solutions!!!
Revenant sur la strategie pour ameliorer le tourisme au Burundi, on peut commencer par certaines choses qui ne demandent pas de moyens exhorbitants:
1. La diminution des frais de visa
2.L’acceleration du processus d’entree dans le systeme du Visa unique de l’EAC
2.La formation des guides
3.L’appui a l’office de tourisme
4.La creation des conditions favorables aux tours que font les touristes: cela pourrait inclure a) un parking au site touristique b) un restaurant propre avec un standard acceptable c) un guichet avec une salle de reception attrayant
Ensuite il faudra penser aux grands moyens:
– Infrastructures routieres
-Moyens de transport dedies au tourisme (terre , air et sur le Tanganyika)
-Mise en place du personel paye pour garder et prendre soin des sites etc…
Il est beau notre cher Burundi…
Intéressantes propositions de consultants de « canapés », comme on en trouve trop souvent malheureusement. Puisque ce n’est pas cher ce que vous proposez, êtes vous prêt(e) à le financer vous même?
Originaire de l’outre Akanyaru, je peux vous garantir que vos recettes « miracles » sont archi connues et qu’elles auraient déjà été implémentées depuis fort longtemps si cela avait été aussi simple.
La solution vient avant tout des burundais eux mêmes et de leur inspiration à offrir un produit complémentaire (au visa de l’EAC) ou de se démarquer en excellant dans leur propre marque de fabrique qui pourrait être les tambourinaires (patrimoine de l’Unesco) ou simplement la raison pour laquelle les gens vont au Burundi au lieu de la Thaïlande, Grèce, Iles Cayman: Un recueil paisible loin de stress quotidien au coeur de la sous région la plus chaleureuse du continent le plus relaxant hahaha!
Le problème est que ces ambassadeurs croient savoir plus que tous les burundais de la diaspora. Au lieu d´apprendre. Mais aussi, ils n´ont pas assez de budget pour explorer un peu les différents coins dans les pays où ils sont accrédités.
La stratégie existe et sa mise en oeuvre a été lancé je crois en 2011. Mais bien sur il faudra des investissements(aménagement du littoral Tanganyika,les logements dans les parcs comme Kibira et Ruvubu, réaménagement du musée vivant,décuplement des capacités d’accueil des hôtels de toutes les villes du pays,les logistiques de transport terrestre,lacustre,aérien et ferroviaire,mise à niveau des sites ..) et surtout la promotion si je puis me permettre de dire que la pub qu’on diffuse dans les journaux radio ne donnent pas envie de venir au Burundi (tensions et crimes ici et là: moi même j’ai peur du Burundi).
Autre chose,pardon Burundais réglez vos problèmes Burundais entre Burundais. Chaque fois qu’il y a un malentendu,tous le monde se rue pour réclamer la position de l’UE,des USA,de l’ AWEPA etc… et puis quand il faut attirer l’attention il faut massacrer les Italiens,les Suisses,etc… Pour sévir contre la délinquance il faut aller dans les boites de nuits ou les coopérants trompent leur ennui en dansant….C’est quoi le problème avec le Burundais
Ensuite pourquoi les burundais nous sommes tellement fainéant dans la publication,moi je ne vois que deux magazines qui parlent du Burundi aux touristes( Eye et Service Mag ) mais je vous laisse deviner ou ils sont produits car c’est pas à Buja. Ecrivez la beauté de chez vous,publier ça au monde.Je sais qu’il n’y a pas internet et l’électricité mais moi je connais des quartier à Buja ou il y en a.
Si vraiment on veut y arriver il faudra que tout le monde y mette du sien ,des efforts pour la propreté,des investissements de petite échelle comme bien tenir les bars,les ruelles ainsi que la réflexion des objectifs d’investissement(tenez on peut aller à Gitega toutes les heures grâce à 4 ou 5 aux bus des rwandais qui valent à mon avis 600 millions de Fbu,alors que de vrai bonhomme originaire de Gitega vivent bien à Buja dans des villas de plus d’1 milliard, on peut louer en dry leasing un Boeing 737 pour 1 million de dollar par an et faire décoller Air Burundi si on trouve cette fois le fonds de roulement,mais l’exécutive choisit d’acheter un Gulfstream de quelques places pour la présidence pour………8.5 millions soit 8 Boeing 737 en leasing sur une année,pendant qu’il n’y a aucune gare routière pour faciliter le transport des touristes aux différentes attractions,on met des milliards dans des stades (Ngozi dispose de deux stades chics distantes de 4 km qui valent sans exagérer …. je sais même pas,c’est peut être la fierté leur prix pour cette province qui n’a même pas de site à visiter sauf le grand bûcher Agasaka), à Bujumbura les gens regardent la CAN sur …. RTNC car le projet de développer la RTNB pour fournir des infos sur le Burundi attend la fin des élections pour utiliser les fameux décodeurs DVB avec protocole …..inconnu )
Bref,avec un sens des affaires digne de l’homo habilis, je crois que le Burundi attendra encore ses visiteurs.
Tout compte fait,saluons quand même les églises car je crois que la plupart des touristes qui débarquent ici viennent pour les églises mais aussi les paysans caféicoles et théicoles qui promeuvent l’agro tourisme et amènent des clients à la recherche des bons café( les coffee hunters et les juges des cup of excellence)
Wow! Excellent diagnostic. Ce que vous dites est vrai…… Tristement vrai
Il n’y a rien de nouveaux quand on parle de beauté de notre pays, c’est du NATUREL, rien d’artificiels ! Mais il faut toujours en parler, en parler et en parler pour rassurer les potentiels touristes, sans oublier de se demander pourquoi le peu de touristes qui viennent, reviennent à peine, et cela timidement, sans avoir le courage de recommander ce beau pays à leurs amis ! Eh bien, la raison est simple, on manque l’essentiel : MANQUE DE BONNE GOUVERNANCE DANS TOUTES SES DIMENSIONS, ce qui conduit à l’instabilité causée par la sympathie souffrante de la grande masse affamée qui assiste impuissamment à l’opulence d’une poignée de gens qui profite seule, le bien commun sans être inquiété ! Dans ce cas de figure, les gens essayent de trouver des moyens possibles pour survivre, y compris ceux louches ! Et cela n’arrange pas le côté psychique du touriste ! Et malheureusement, une souillure au niveau du visage ne se voit pas de la même façon que celle se trouvant sur le tronc, encore moins sur les pieds. Il faut assainir donc notre apparence par le haut, pour enfin terminer sur la base. Ce n’est pas aussi bête qu’on le croit, qu’une personne se lave le visage seulement quand il a moins de temps pour se laver tout le corps ! Aho ntumbereza urutoke nibaza ko haboneka, abajejwe kuhakorerako barahakorerako !
Et puis, Il n’y a pas de touriste qui viendra passer plus d’une nuit dans un hotel du coin lambda, sans eau chaude (à cause du délestage), sachant le risque d’intoxication alimentaire suite au délestage, n’ibindi n’ibindi ! Concernant la demande de visa en ligne, je pense qu’il n’y aucun inconvenient, à moins que l’on soit des « NASRIDINE », elle qui a refusé de donner la main à celui qui voulait la sauver en la retirant du trou, mais qui a fini quand même par prendre la main qui lui a été tendu par après : If you say give, she does nothing , but if you say take, she takes! C’est du rigolo non! A tout cela, s’ajoute le manque de créativité dans ce domaine ! Pas d’envie d’investir quand les conditions requises « bon climat d’affaires » ne sont pas requises ! Il faut changer la façon de voir les choses au haut niveau, ce qui s’accompagne du changement de mentalités et ou des dirigeants ! La dernière option serait porteur de bons fruits à mon humble avis ! Za cimpanzés zacu mbega ziri hehe ? Ya espace de 150mètres à partir du lac yarubahirijwe ? Rya sahuranwa ry’ibibira bikingiwe ryarahagaze ?
REK A KUROTA NIMWEMERE YUKO ATACO DUSHOBOYE ABARUNDI ICOMUZI NURWANKO IVYTERAMBERE VYOMWIBAGIRE KUKO MURI KUBUTEGETSI KUGIRA MWIBE MUTUNGE NAYO IVYIGIHUGU NTIBIBARARA NAHO MWOGICA UMUYONGA NTANGORA ABANA BANYU BAZOJA IBURAYA
Excellente nouvelle, mais c’est sur qu’il n’y a pas beaucoup d’autres pays dans ce monde qui proposent un visa à ce tarif stratosphérique, et même, en admettant que les visas touristiques des pays Européens coûtent à peu près pareils pour les Africains et autres nationalités, il faut surtout admettre qu’on en a pour son argent car on ne fait pas le tour du pays en une semaine maximum…
Je crois que le visa unique de l’EAC coûte 100 usd, et non 90 usd
Des exemples de lieux à développer sont les chutes de la Kabira, la pyramide de Rutovu, et surtout mon lieux préféré les sources d’eaux chaudes de Muhweza. Komera komera
C’est vraiment dommage que ce soit les autres qui se rendent compte du paradis que le Bon Dieu nous a donne.
Le lac Tanganyika devrait etre protege comme un parent protege sa famille. Les autorites, que font-ils pour promouvoir le tourisme? Rien. Le lac pollué. C’est l’un des rares lac au monde qui a de l’eau qui reste buvable.
Les Burundais de l’etranger sont les vrais ambassadeur pour leur pays, a la facon dont ils se comportent et beaucoup d’occidentaux ont besoins de venir voir exactement d’où ils viennent.
Mais le seul probleme est qu’on ne peut pas amener les gens dans un pays en plein chaos, l’insecurite, les vols, la capitale sale et pollue par une circulation de voiture en desordre, les rue detruites , les rivieres non protegees, les montagnes nues etc.
Le tourisme c’est d’abord la proprete et bon accueil , cela veut dire un pays où on rend service sans rien attendre de retour. (corruption ou Ruswa). Il suffit de regarder dans les carraibes ce qui atture les touristes, c’est d’abord la securite et la proprete, des infrastructures bien amenages.
Les autorites Burundais devraient se reveilles Please, please, please wake up.
C’est une bonne nouvelle pour le tourisme burundais. Tant mieux si les touristes continuent a venir nombreux pour voir ce « bijou » au coeur de l’Afrique. Mais l’auteur aurait du quand meme nous donner son analyse, ou aumoins mentionner l’impact du recent depart de Carmen Nibigira, ancienne patronne de l’ONT. Quelles sont les raisons qui l’on poussee a remettre son tablier malgre toute son experience? « Best African Exhibitor », ca vous dit quelque chose?
Ou bien ce sont les lecteurs qui vous informent de son depart Mr Ngendakumana?
D’accord avec vous regardez ce magnifique document:
http://issuu.com/safari-communications/docs/carmen_nibigira_2015