Le Prix littéraire Michel Kayoya 2014 connaît ses lauréats depuis hier soir.
Le premier prix est allé à Mise Jessica Musanindanga, actrice dans la troupe Lampyre et comédienne, pour sa nouvelle « Journal d’une schizophrène ». Le deuxième prix est allé à « Une dernière nuit », de Joëlla Sayubu, une élève de Gitega alors que le troisième prix est revenu à Guy Fleury Giramahoro, pour sa nouvelle « Evelyne ou les Chemins Croisés ».
Le jury, présidé par l’ambassadeur et dramaturge Marie-Louise Sibazuri a tenu aussi à saluer deux textes, « Au nom du père et du fils », de Dacia Munezero, ainsi que « Abstraite existence », de Monia Bella Inakanyambo.
C’est la première fois qu’il y a autant d’auteures primées depuis le lancement du concours littéraire en 2009, un constat qui réjouit Antoine Kaburahe, le Directeur du groupe de presse Iwacu qui co-organise le prix en partenariat avec l’ambassade de France au Burundi. « Nous sommes parvenus à créer un espace d’expression écrite qui libère la parole chez les jeunes, et chez les Burundaises surtout », a-t-il souligné à la fin de la soirée des lauréats tenue à l’Institut Français ce jeudi 13 novembre.
Outre le premier prix remis par l’ambassadeur de France au Burundi, l’écrivain franco-camerounais Eugène Ebodé a remis le deuxième prix au nom de l’initiative Sembura, qui organise du 12 au 14 novembre 2014 les secondes journées littéraires des Grands Lacs rassemblant plus de 30 auteurs et professeurs d’université du Rwanda, de la RDC et du Burundi.
Les trois premières nouvelles seront rassemblées dans un recueil disponible lors de la semaine dédiée à la Francophonie, en mars 2015.
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Ce « Uwakera » est un ignorant aui s’ignore. Aho abandi bandika les nouvelles bagahabwa des prix, lui il aiguise la machette et il se croit plus malin! Rindira gato gusa, comme le disait l’autre, inkoko ntizobika gatatu… muhungu sha!
Cela fait plaisir de voir qu’il y a des jeunes qui réfléchissent, qui travaillent à élever l’humanité contrairement à ces imbonerakure et autres du genre qui ne font que semer la mort, la peur, qui tuent, violent et volent. ressaisissez-vous les semeurs de la mort, c’est une voie sans issue.
Courage,
Tu parles d’un monde d’Imbonerakure que tu ne connais point. Je te pardonne donc de ton « hérésie ». Et d’ailleurs, je ne vois pas le lien avec l’article.
Cela donne aussi de la peine que de vivre ensemble dans un même pays avec des gens d’un quotient intellectuel aussi bas que celui de Courage.
Uwakera, niwewe wihenda. Imbonera ntaworeka kuzimenya kandi zirakora uko bishobotse kugira zimenyekane. Ariko umenye ko hazogera igihe, uzoshavurira uwukwise iryo zina. Inkoko ntizobika gatatu utararyihakana. Reka nguhe akarorero ka kure y i wacu kuko noguha aka hafi (Rwanda) wohava uvuga ngo ndagututse. Mu gihugu citwa Haïti catwarwa n’abitwa Duvalier (père puis fils), bari bifitiye abo bita « tonton makoute », akazi bakora, wokwibaza ko aribo bigishije imbonera zacu. Ariko vyaratevye naho bitatebutse, abanyagihugu baseseka mw’ibarabara, barakura Duvalier. Aba tonton makoute barabura iyo bihisha, ababishoboye bapfuye bangara nka Kahni. Alors, si j’étais à ta place (ntibikabe), je mettrais de côté ma fierté d’imbonera, pour garder les pieds sur terre naho amazi yatanguye kubarengana inkombe.
Comment et où se procurer les écrits de nos chers jeunes? Merci