«Les longues files d’attente observées lundi et mardi ne sont dues qu’aux problèmes techniques de déchargement des camions arrivés durant le week-end», lit-on dans le communiqué sorti, ce mardi 30 mai, par Daniel Mpitabakana, directeur de la gestion du carburant au ministère de l’Energie et Mines. Mais il se veut rassurant : « Cette situation sera maîtrisée sans délai.»
Pour rappel, Côme Manirakiza, ministre de l’Energie et Mines, dans une conférence de presse du 19 mai dernier, a justifié la pénurie du carburant par « des problèmes techniques. » Cette autorité avait alors fait savoir que l’approvisionnement était en cours.
@IWACU:Voici les raisons expliquant l’amaturisme des dirigeants DDdu point de vue de la crise de carburant que connait le Burundi.
Les officiels Burundais agissent en ordre dispersés et chacun tente de donner les explications de cette penurie en carburant tout en faisant croire que la solution à ce problème est proche.Voice ci-dessous ces explications:
1)La pénurie du carburant est justifiée par « le nombre croissant de véhicules au Burundi ». Voilà l’explication du président burundais lors d’une réunion qu’il a tenue jeudi 01 juin 2017 en commune de Mpanda avec les natifs de Bubanza (Nord-Ouest du Burundi).Il semble tranquilliser les demandeurs de l’or noir que sa pénurie aura trouvé la solution d’ici peu comme l’a expliqué le porte parole adjoint du président de la République.Alain Diomède Nzeyimana parle de l’augmentation de 30% des véhicules depuis 2015
2)Alors qu’il était à Kayanza dans une réunion avec les administratifs et les cadres de cette province le18 mai 2017, le président de l’Assemblée Nationale, Pascal Nyabenda, a indiqué que la pénurie est due au fait que les commerçants burundais arrivent tardivement au port du Kenya. Il a expliqué que les bateaux qui vont s’approvisionner en carburant traînent.
3)Quant au ministre de l’énergie et mines, c’est le manque des moyens adéquats pour le déchargement des camions citernes contenant le carburant qui cause cette pénurie. Il avait en outre parlé de manque de devises pendant qu’i répondait aux questions orales des élus du peuple.
Voilà les raisons fondementales m’ayant poussé à admettre que les dirigeants DD au sommet du Burundi n’ont pas la capicité intellectuelle de diriger ce pays,qu’ils retournent d’abord étudier en commençant au maternel,primaire,secondaire puis université.
Nous sommes dirigés par des illetrés et c’est la raison principale du déclin du Burundi.
Le diagnostic de la maladie étant mal faite,les prescriptions médicales au malade ne peuvent être que fausses et la maladie ne sera guerrie.
A BON ENTENDEUR,SALUT!
Mentez,mentez,il en restera quelque chose!Le mensonge descends par l’ascenseur,mais la verité vient par l’escalier et elle arrive quand -même.De telles explications sont celles du Moyen -Age.Je suis desolé de tenir ces propos.
@Busorongo
Umwizero w-igikere wakibujije kumera umurizo. L’action est instantanée, n’attendez pas le messie !
Uwutema urwiwe bamutiza umuhoro. Vous dites le Messie! Nibaza tuzomukurikira tutarinze kumubaza.
@Come MANIRAKIZA
« Cette autorité avait alors fait savoir que l’approvisionnement était en cours »
Avec ces propos inconscients et qui ne tiennent pas la route, on prend les Burundais pour des moutons, je crois..! Heureusement plus personne ne prête attention à leurs balivernes. Le ridicule ne tue pas!
De quel week end parle t il?
Il me semble que lors des questions parlementaires, le minstre a parlé de mauvaise utilisation des devises allouées à l importation du fuel.
What kind of technical problems is he talking about?
Igitoro kizoboneka musijali muzobura amahera yo kukigura gusa ! !
Même si le titre traite du problème de carburant, j’aimerais demander à quand l’innauguration du central hydro-électrique sur la rivière Kaburantwa dont la construction a été annoncée par le Ministère de l’énergie il y a déjà quelques années par une société indienne.
Heureux finalement ceux qui dirigent les Barundi, un peuple docile. Même Nyangoma avait mis du temps pour mobiliser une rébellion qui lui a échappé d’ailleurs après. Sans la pression extérieure, Buyoya n’aurait jamais négocié. Nkuru tant qu’il a l’appui de ses collègues, il peut dormir sur ses deux oreilles. Sous d’autres cieux, hommes, femmes et enfants auraient pris les devants pour déboulonner ces dirigeants qui ne défendent que leurs intérêts tout en les laissant dans la misère.
@Ndavuga
Ja imbere wewe utari docile tugukurikire. Ariko ubanze utwereke ico uzanye gishasha kandi ciza.