Selon l’agence Associated Press, la France est en train de consulter les membres du Conseil de sécurité des Nations Unies pour un projet d’une nouvelle résolution avec un accent sur la participation internationale au Burundi. La Grande-Bretagne entend y inclure « un élément de maintien de la paix’’.
Pour l’ambassadeur de France à l’ONU, François Delattre, la nouvelle résolution aura pour but de réduire les violences et les tensions dans ce pays de la région des Grands lacs.
L’autre objectif est de pouvoir stimuler un ’’dialogue inter-burundais véritablement inclusif’’ et promouvoir le respect des droits humains.
Selon lui, l’envoi d’une force de police des Nations Unies au Burundi « est potentiellement une idée productive.
C’est au nom de la prévention des conflits que l’ambassadeur britannique à l’ONU, Matthew Rycroft, appelle le Conseil de Sécurité de ’’garder les projecteurs braqués sur l’escalade de la violence au Burundi’’.
Ce diplomate britannique fiat savoir que le ’’Conseil de Sécurité doit collaborer avec l’UA et la Communauté Est Africaine sur la médiation et d’autres aspects qui pourraient même inclure un élément de maintien de l’ordre’’.
Signalons que la Belgique et le Canada se sont déjà prononcés pour un appui au déploiement d’une force de maintien de la paix au Burundi.
L’ONU estime que plus de 230.000 personnes ont fui vers les pays voisins depuis les manifestations d’avril et que plus de 430 personnes ont été tuées.
Une délégation du Conseil de Sécurité s’est rendue au Burundi au mois de janvier pour tenter de convaincre le président Pierre Nkurunziza à accepter l’envoi d’une force africaine de maintien de la paix et appeler au dialogue politique inclusif.
Mais Bujumbura a rejeté toute idée de déploiement de troupes au Burundi. Bujumbura se dit également opposé à tout dialogue avec ce qu’il qualifie de putschistes.
Ces troupes des NU doivent etre envoyes au Rwanda pour stopper les actes de terrorismes que les Rwandais et/ou les refugies formes par le Gouvernement Rwandais commettent au Burundi.
On vous a déjà expliqué maintes fois qu’Iwacu est un média indépendant qui ne relaie pas la propagande pro-gouvernementale, mais vous êtes à l’image de vos employeurs : particulièrement têtus.
Donc Yves, vous êtes quoi par rapport à Iwacu pour vous attaquer à HIMA au nom du Journal?
Je m’attaque à qui je veux, et je ne le fais pas au nom du journal mais en mon nom propre. Ce média est le dernier qui offre la possibilité de porter un regard critique sur l’action néfaste du gouvernement burundais. Merci de respecter cela