A 4 mois de la conférence des bailleurs de fond à Paris, la PARCEM (Parole et Action pour le Réveil des Consciences et l’Evolution des Mentalités) a organisé, ce 29 mai, un café de presse pour analyser les conséquences des violations des droits de l’homme au Burundi.
<doc4120|left>Le professeur Barumwete Siméon, chargé des questions de gouvernance à la PARCEM, souligne que la cause principale de la violation des droits de l’Homme est l’impunité qui prévaut dans ce pays.
D’autres causes ont aussi été évoquées comme la pauvreté, la banalisation de la violence, une démographie galopante qui engendre des conflits fonciers, une culture qui valorise toujours la loi de la jungle…
Faustin Ndikumana, président de la PARCEM, soutient que toutes ces violations sont, par la suite, « consignées » dans des rapports produ