Le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon a proposé lundi 30 novembre au Conseil de sécurité trois options pour dénouer la crise prévalent au Burundi : une mission de maintien de la paix sous mandat de l’ONU, une mission politique spéciale ou une équipe de soutien chargée de la promotion d’un dialogue politique entre le gouvernement et l’opposition.
Cependant, l’envoi de Casques bleus n’a pas été une option privilégiée par le Secrétaire général de l’ONU dans l’immédiat. Dans sa lettre Ban Ki-moon recommande au Conseil d’adopter pour l’instant la troisième possibilité.
Selon lui, c’est la seule réaliste ’’étant donné les réalités politiques existantes et les conditions de sécurité sur le terrain’’. L’émissaire de l’ONU pour le Burundi, Jamal Benomar, a précisé que l’équipe de l’ONU devrait se rendre sur place ’’bientôt’’.
Depuis que le président Pierre Nkurunziza a décidé en avril dernier de briguer un mandat de plus contesté par l’opposition, le Burundi s’est retrouvé plongé dans une nouvelle crise politique.
La Communauté internationale redoute une intensification des violations des droits de l’homme et un embrasement régional. Les violences ont déjà fait plus de 240 personnes tuées et plus de 200.000 réfugiés.
Merci Abbas. Tu ne traînailles pas, tu vas droit au but. Pas d’envoi de Casques bleus au Burundi, pour le moment . Contrairement aux autres journalistes dont les titres de leurs articles ne cadrent pas souvent avec le contenu, toi Abbas, tu es très laconiques et précis. Tu ne cherche pas à désorienter les lecteurs par des détails sans issus. Chapeau! Je sais que ton père et ta mère étaient des parents qui donnaient à leurs enfants une éducation adéquate et digne d’un homme intègre. Gardes toi de ceux qui voudront de dicter ce que tu dois écrire. Reste toi même mon frère et le Ciel t’aidera. Indero yo kuziko harya irakomeye.
Mr Kazima ayo na maranga mutima ko wahereye 1993 ntuvuge 1972 abantu nka mwebwe mwubakiye kumacakubiri.
kandi nivyiyunviro vyanyu ntivyubaka ahubwo birasanbura,muri make ntaco bimaze.
none ubundiho boje gukoriki? nta ntanbara iri mu Burundi.
Peut etre que je ne suis pas Cale en la matiere, mais que font les casques bleus? Au rwanda, ils n ont pas empeche un genocide de 800000 personnes touted ethnies con fondues, en RDC des millions de refugies massacres en presences des casques bleus meme recement a Beni, plus de 500 personnes tuees par des rebelles en presence des onusiens et la je ne parle pas de somalie, Lybie Urak, Syrie, Ukraine, Centre Afrique,…La solution est simple et doit etre armee d’un grand courage:on laisse tomber les histoires de mandat, on negocie les modalities de retour, on se prepare pour 2020. Ou bien on se bat et après 3000000 de morts, on fait les accords et on repart a zero. Personne ds la communaute international accepte les combats terrestres desormais, Syrie un exemple, ici il y a rien a bombarder, alors???????!!!!
En termes plus clairs: abarundi ni mwibeko. Mutamutujije sitwe tuzoza kubafasha. Bien dit Ban Ki-Moon. Ikibwigwa ni icumva.
nakare ntaco baza gukora, nibareke, ntibatwononere Urugamba , imishikirano na casques bleus ni hanyuma
Cher Karundi, ainsi tu insinues que tes soeurs se prostituent aux etrangers et que donc leur venue sous forme de BNUB est bienvenue pour elles? Un peu de respect pour les burundaises cher Monsieur. Sinon je ne vois pas pourquoi tu te surnommes Karundi. Honte a toi.
Erega amakungu aremera ingabo z’Uburundi. Abarundi muzikengera ni muteterwe rero. Nayo akantu genre ONUB nikiyizire ntihazobura abahakura akazi, cane cane bashiki bacu: ntuzi ko muri UN « les candidatures sont VIVEMENT encouragées ». Hari abantu baciye akenge mu kwiyegereza ivyiza hewe.
Une fois passe, deux fois lassent, trois fois cassent
Négociations, dialogue : Vigilance citoyens !!!
Les ratés des négociations d’Arusha
Les négociations d’Arusha, quels que soient quelques retombés positifs, ont laissé un goût d’inachevé, de marchandage auto protecteur et d’assurance emploi et impunité. Et pour cause !
La qualité des participants et leurs objectifs inavoués.
Après la victoire du FRODEBU aux élections de 1993, ce dernier a été décapité lors du Coup d’état sanglant. Pour rendre la monnaie, ce dernier s’est lancé dans un génocide contre les tutsis et les hutus non acquis à ce funeste programme, « pour venger leur Président ».
Dans ce chaos macabre, les partis d’opposition, menés par L’Uprona, leur a d’abord dénié la légitimité de revenir au Pouvoir après ces pogroms du « code Juin ».
Sous la pression de la Communauté Internationale, chacun devant ses brulantes responsabilités, ils trouveront un modus vivendi à travers les négociations de Kigobe et Kajaga, pour partager les postes aux seules fins matérielles et protection judiciaire, en pertes et profits des victimes innocentes de leurs témérités et barbaries.
Ils accoucheront des dosages du gouvernement de transition de Ntaryamira d’abord, et Ntibantunganya ensuite. La population ne se laissant pas démonter en poursuivant certains procès contre les mégas du système hybride (dans la mort de Ndadaye et les leaders du Frodebu aux affaires), le terrible Buyoya, comme un chien qui sent sa queue brûler, reviendra comme pour bétonner l’impunité et organiser sa consécration à Arusha, qu’il cherche à légitimer par le cachet de la Communauté Internationale. Craignant la détermination du peuple, comme à son habitude, il va chercher cette légitimation auprès de la Communauté Internationale.
La représentation du G10, autoproclamée représenter les tutsis, était dominée par les délégués du Parti UPRONA, dont certains, et pas des moindres, avaient à craindre d’un éventuel procès pour l’assassinat du Président NDADAYE, dont plusieurs sources donnaient Buyoya comme commanditaire. Ce qui n’aurait pas tardé sans leur présence aux instances décisionnelles d’après négociations, pour bâillonner la Justice. Déjà !
La représentation du G7, autoproclamée représenter les Hutus, étaient menée par les déléguées du Parti FRODEBU, avec les mêmes tares, les mêmes craintes et objectifs, que leurs « protagonistes » et en même temps complices en face, cette fois pour les massacres de paisibles citoyens Tutsis et Hutus upronistes.
Il sied de rappeler que des audiences judiciaires contre des accusés de l’assassinat de Ndadaye et ses collaborateurs étaient en cours devant la Cour Suprême, et que plusieurs procès sur les massacres des Tutsis et des Hutus de l’Uprona étaient en cours, notamment celui du Président de l’Assemblée, Léonce Ngendakumana, sous instruction chez le Procureur Général de la République, pour sa responsabilité présumée dans les massacres, en 1933, des tutsis de Bujumbura rural dont il était élu.
Mais et surtout, que le Conseil de Sécurité des NU était saisi du dossier des massacres de 1993, par le Président NTIBANTUNGANYA lui-même, pour être finalement qualifiés de génocide, par sa Commission ad hoc. Dans la même perversité de courir à l’impunité, c’est le même BUYOYA, revenu au Pouvoir par son nième coup d’état, qui s’empressa de prier le Conseil de Sécurité de l’ONU de sursoir à sa réunion (qui devait se tenir le lendemain de son coup d’Etat SVP) pour entériner et permettre la publication de ce rapport, « pour donner une chance à la paix » ! Cqd.
A l’issu des négociations d’Arusha, non seulement on consacre l’impunité, mais on accepte que les responsables en soient couronnés, dividendes du crime à l’appui ! Pour la première fois de l’Histoire du Droit pénal, on coule l’impunité dans la Loi, avec une immunité provisoirement définitif. Je fais ici remarquer que jusqu’aujourd’hui les déplacés intérieurs sont encore dans ces camps et certains réfugiés extérieurs de l’époque ne sont toujours pas de retour, malgré « la paix retrouvée ».
Le porte-parole du FNL, Magera, vient déjà de donner la couleur aux négociations de Kampala : muri Assemblée bongeremwo abantu bavuye muyindi migambwe, muri Sénat gurtyo, n’ahandi….. !!!
Et Ndabirabe de dire, qu’avant de condamner y, il faut d’abord voir si le comportement de x n’a pas induit le comportement de y……
Pas plus tard qu’hier, Mr GAKUNZI, plus que probablement proche du CNARED, vient de déclarer qu’ à travers les négociations, il faudra que NKURUNZIZA accepte « d’ouvrir les institutions aux autres forces politiques » !
C’est dans cette logique que le CNDD-FDD, devant ses responsabilités criminelles disqualifiantes, sous d’autres cieux, préparent les prochaines négociations à sa façon. En agitant des mandats d’arrêts dignes d’un délire hallucinatoire, impliquant intempestivement, tous azimut et pèle mêle, tout ce qui peut figurer sur la liste des futures de négociateurs de son opposition , toute cette agitation n’a d’autre signification que pour chercher la base des négociations de l’immunité « réciproque ».
Autres temps autres mœurs. Si l’opposition politique, et surtout les représentants de la SOCIETE CIVILE, se laissent prendre à ce piège, le peuple restera debout, les reniera dans leur illégitimité et les chassera avec leurs bourreaux du CNDD-FDD dont ils se seront rendus complices.
Il est déjà de peu de sens, de décence et de moralité, de demander à « dialoguer, négocier » avec un Parti qui forme, arme et entretien une milice pour commettre un génocide au vu et au su de tout le monde ! En l’état, si le CNARED est impuissant à le disqualifier et le démettre, il a néanmoins peu de place à des concessions dont on a l’habitude.
Debout citoyens. Nos martyrs ne sont pas morts pour les dividendes des politiciens, mais pour une cause noble, juste et durable : la DIGNITE, la JUSTICE et la LOI, POUR TOUS.
La confiance n’exclue pas le contrôle !!!!
Tiens mais toi qui écrit ainsi serais tu doté d un esprit???? Fait vraiment rare, apprend donc aux autres la raison de l esprit
Merci beaucoup monsieur Kazima pour votre message tres encourragentes tres digne pour un Burundais qui aime son
pays et qui voit et qui vive ce moment dure du Burundi Je suis 100/00 avec toi
Nos martys ne sont pas mort pour les dividentes ils sont mort pour une noble cause, on les oubliront jamais
La dignite la loi et l amour de notre patrie notre devise pour sauver le peuple Burundais