Question on ne peut plus embarrassante pour l’imagerie internationale et même pour celle des Congolais de l’Ouest ou du Sud de la R.D.C qui n’ont de l’Est du pays qu’un prisme déformant… Globalement, on n’y voit qu’un trou noir où tourbillonnent des vagues interminables de violences, de viols, menées par des groupes armés toujours renouvelés, d’enfants soldats et d’inépuisables déplacés de guerres.