Ce meeting devait se tenir ce vendredi 26 juin à la permanence de ce parti de Rwagasore située au quartier Nyakabiga II à la 9ème avenue. Des tentes étaient déjà érigées, des chaises bien disposées et l’endroit décoré pour accueillir le candidat à la présidentielle, Gérard Nduwayo.
Mais quand des jeunes gens ont appris qu’un meeting était prévu dans ce quartier, des barricades faites de pierres ont été érigées sur l’avenue de la République séparant Nyakabiga I et II. Des pneus ont été brûlés et ces jeunes ont commencé à scander des slogans anti troisième mandat ponctués de coups de sifflet assourdissants. Des policiers étaient à chaque carrefour sur cet axe principal. Ils n’ont pas voulu intervenir, ils se sont contentés de circonscrire ces manifestants dans leur quartier.
Le meeting s’est finalement tenu devant le mur du Lycée Scheppers sur l’avenue de l’Université où des upronistes venus de plusieurs quartiers de la capitale et même de Bubanza, se sont regroupés sous une haute protection policière et militaire. Parmi les invités de marque, il y avait, le premier vice-président de le République, la ministre du Commerce, le nouveau directeur de la radio nationale, le secrétaire général de l’Uprona ainsi que la présidente de ce parti.
Tout ce monde attendait le discours du candidat du parti de Rwagasore à la présidentielle. Mais plusieurs invités à ce meeting sont partis avant la fin de discours de leur candidat, les bus les attendaient et les chauffeurs semblaient impatients et inquiets voire nerveux, pressés de partir.
j’approuve ce point de vue dans l’ensemble. Nos jeunes sont victimes de leurs aînés qui sont sans coeur pour eux, qui ont pensé burkunabiser le burundi, et n’es sont jamais arrivé à 5%. La réalité est tetue, les preuves sont là: sur 123 communes du Burundi a-t-on manifesté sur au moins dix communes? Sur les quelques communes où il y a ces soit disants manifedtations, coment manifestent-ils? pacifiquement? avec des pierres, avec des grenades? quelle est la valeur de leur démarche? Les occidentaux qui les soutiennent sr rendront de plus en plus compte qu’ils ne représentent qu’une majorité brouillante du Burundi. Et c’est cela la vérité.
A Kinshasa, ils ont taxé ces membres des adsociations de terroristes. alors su’ils n’avaient pas jetté autanr de pierre, empêcher les membre de leur quartiers de vaquer librement à leur occupation, les journalistes n’ont jamais fait de reportage dur cette majorité emprisonnée pat les vrais terriristes dénomés manifestant, ils ne les ont jamais approché pour faire constater dans quel état d’enivrement par drogues ils agissent.
Ces terroristes en herbes détruisent nos route de Nos cher quartiers construits du temps Micombero et Bagaza,alors queles quartiers construits sous le cynique Buyoya, le malheureux Ndayizeye et le perseverant Pieter N.
L’histoire de ce pays est écrite et continue à. s’écrire par nos propres mains les traces indélébiles parlent d’eux même Nous detruisons notre propre avenir, alors que ceux qui nous envoient ne songent qu’a nous cacher leurs méfaits anterieurs
Abo Bantu bararondera irindi zina biyita s’abaporona. Ariko Komuzi kahise k’Uburundi, abo bagabo n’abagore bari gushobora gukorana n’Umuganwa Rwagasore n’ubukunzi bw’inda bagaragaje?
Ces gens de Nyakabiga ne cessent de donner raison au gouvernement. Au depart il y avait suffisament de moyen pour se payer des bennes de moellons servant a bloquer les routes. La Police a tout pris. Maintenant ce sont des routes recus gratuitement qui font les frais de l’ignorance. Uwutema urwiwe bamutiza umuhoro. Sachez ceci ces financements pour l’insurrection c’est comme une allumette; elle ne br peut pas bruler jusqu’a la fin de l’incendie. De meme ces moyens vont bientot tarir et maintenant vous allez payer vous meme.
Reka kwisamburirako nkimene!
@Busorongo
Ce message est bon a envoyer a Nkurunziza et votre gouvernement qui n’ont aucune raison de leur barbarie. Ariko atema ishami yicayeko azokorokana naryo. Nyakabiga n’ayo yari yiwe, kuki ashaka kuyisenya, kubera bavuga ko 3eme mandat itajanye n’amategeko ? C’est leurs droits et ils ont le droit de se defendre quand on fait tout pour les priver de ce droit. Au lieu de te soucier de ces vies humaines qui font les frais de l’ignorance de Nkurunziza, tu a pitie des . Abantu babayeho mumahoro bazoyubaka. Dis a Nkurunziza kwariko atema uwriwe ariko l’Imana des burundais bagomba kumwaka umuhoro kandi ntawuzomutiza uwundi.
« scander des slogans anti troisième mandat ponctués de coups de sifflet assourdissants. »
Connaissez-vous « Balai citoyen » au Burkina Faso , « Y en marre » au Sénégal, « Filimbi » à Kinshasa ?
Pourra-t-on parler de « Sifflets ou Filimbi » au Burundi. Mais attention « Filimbi » vient d’être qualifiée d’organisation terroriste par le pouvoir de Kinshasa.