Nous sommes heureux que vous soyez si nombreux à nous suivre sur le web.
Nous avons fait le choix de mettre en accès gratuit une grande partie de nos contenus, mais une information
rigoureuse, vérifiée et de qualité n'est pas gratuite. Nous avons besoin de votre
soutien pour continuer à vous proposer un journalisme ouvert, pluraliste et indépendant.
Chaque contribution, grande ou petite, permet de nous assurer notre avenir à long terme.
Soutenez Iwacu à partir de seulement 1 euro ou 1 dollar, cela ne prend qu'une minute. Vous pouvez aussi
devenir membre du Club des amis d'Iwacu, ce qui vous ouvre un accès illimité à toutes nos archives
ainsi qu'à notre magazine dès sa parution au Burundi.
Tant que les consommateurs resteront inactifs face aux hausses repetitifs des prix,il est clair que la Brasserie continuera a proceder a la hausse des prix.Dans les bistrots,il n’est pas rare d’entendre certains ivrognes commenter au lendemain d’une hausse des prix des produits de la Brasserie:<maintenant que les prix viennet d'augmenter, nous allons voir qui est chien et qui est homme au cabaret (imbga n'umugabo bagira baboneke).certains consommateurs sont tellement accroches a la biere (Helas moi-meme y compris!) qu'ils preferent reduire la ration familiale de la nourriture plutot que de se passer de la bierre! C'est justement cette attitude des consommateurs qu'exploite la brasserie. Alors, a qui la faute?la balle est dans le camp des consommateurs.
Tant que les consommateurs resteront inactifs face aux hausses repetitifs des prix,il est clair que la Brasserie continuera a proceder a la hausse des prix.Dans les bistrots,il n’est pas rare d’entendre certains ivrognes commenter au lendemain d’une hausse des prix des produits de la Brasserie:.certains consommateurs sont tellement accroches a la biere (Helas moi-meme y compris!) qu’ils preferent reduire la ration familiale de la nourriture plutot que de se passer de la bierre! C’est justement cette attitude des consommateurs qu’exploite la brasserie. Alors, a qui la faute?la balle est dans le camp des consommateurs.