Vous avez intérêt à avoir sur vous votre certificat de mariage quand vous sortez avec votre épouse. Il pourra vous tirer d’un mauvais pas…Oui, ce n’est pas une mauvaise blague.
Les autorités disent vouloir en découdre avec certaines pratiques immorales, notamment la prostitution et l’adultère. « Ils vont à l’encontre de la dignité humaine et des valeurs burundaises. On ne peut pas les tolérer, il faut les décourager, les faire disparaître. »
Une police pour la protection des mineurs et des moeurs a, par ailleurs, été créée à cette fin. Bonnes mesures, tout cela. Sur papier, bien sûr.
Sur terrain, hélas, la pratique est autre. Iwacu a mené une enquête dans ces lieux qui « souillent » la société : les hôtels et les maisons de passage des quartiers populaires.
Personne n’échappe aux rafles de la police : vieux, adultes, jeunes. Couple marié ? Seul le certificat de mariage peut vous sauver.
Deux cents mille francs sont exigés à une personne attrapée dans ces endroits « pervers ». Gare à celui qui n’obtempère pas.
Questions : Sur quelle base doit-on payer cet argent puisque la loi n’est pas encore promulguée ? Même le code pénal n’exige pas un tel montant. «L’adultère est puni d’une amende de 20 mille à 100 mille Fbu, selon l’article 527. Et la poursuite ou la condamnation ne peut avoir lieu que sur plainte du conjoint offensé (art 529). »
« La prostitution est punie de 1 an à cinq ans de servitude pénale et d’une amende de 50 mille à 200 mille Fbu selon l’art 539. »
Où va cet argent puisque, dans la plupart des cas, les reçus ne sont pas octroyés ?
Au fait, combien de couples se déplacent avec leurs certificats de mariage, le seul document qui peut vous sauver quand vous êtes « attrapé »? Quid des conséquences psychologiques sur le couple accusé à tort « d’adultère » ?
Le porte-parole assure que « les policiers qui effectuent ces rafles ont la capacité de juger si telle ou telle personne est une prostituée ou pas ». Au public d’apprécier.
Une autre interrogation : pourquoi ces contrôles se font dans des hôtels et maisons de passage des quartiers populaires et non dans les grands hôtels des quartiers huppés de la capitale? Peut-être que le vice ne se retrouve que chez les pauvres…
Trouvez des strategies pour des problemes tres graves qui gangrenent le pays: Corruption generalisee, criminalite incroyable (fosses communes, enlevements, disparition) et laissez en paix de pauvres malheureuses qui survivent souvent grace a la prostitution. Beaucoup arrivent a cette extremite a cause de la mauvaise gouvernance
@ Orignal
Je n’avais pas bien lu et je m’excuse monsieur « Orignal! Finalement, « izina niryo muntu! »: savez-vous ce qu’est un orignal ? Allez voir au dictionnaire. C’est édifiant!
@ Mayugi , je ne crois pas que j’ai besoin d’aller consulter le dictionnaire , je connais suffisamment cet animal et j’ai déjà savouré sa bonne viande . Il est tout naturel et ne se prostitue jamais . Le sexe pour cet animal, c’est une fois par année pour la reproduction . J’avais souvent pensé que c’était seulement les occidentaux qui sont pervers mais finalement je constate que parmi les miens aussi les sodomites ne manquent pas. Que l’on se mette d’accord , chaque acte aura sa récompense . Dieu n’est pas injuste pour mettre les débauchées dans le même sac que ses fidèles les chrétiens .
Il y a plus de deux mille ans que votre noble prostitution existe , ce qui veut dire que depuis tout ce temps il y avait mauvaise gouvernance si j’ai bien compris .
Juste un mot pour Original. Savez vous combien de religions il y a sur terre. Savez vous que le christianisme n est meme pas la religion la plus ancienne. Que vos histoires d Adam ou Eve ou pommes ne signifient strictement rien pour un japonais, un Indien ou un chinois.
LE BURUNDI EST UN ETAT LAIC. FULL STOP
Je me demande s’il est vraiment important de discuter avec une personne qui est purement bleue dans une matière comme la religion . Mon cher Rurihose , comme tu t’es déjà jugé toi même indigne de la vie éternelle , manges et bois car demain tu mourras ou tu seras enterré car déjà mort !!!
On dirait que tous les commentateurs de cet article on appris la langue de Moliere pour se dresser contre la loi de Dieu et le gouvernement du Burundi
Et pour nous les musulmans , nous avons quand meme droit à 4 femmes non ?
Ma foi! On dirait qu’on est en plein cour de religion ici! Laissez les religions et Dieu en dehors de la loi! Si nous commensons à appliquer la loi en nous fondant sur les restrictions des religions, nous risquons de transformer notre pays en réservoir d’intégristes.
Personne n’a le droit ni intérêt à engager un peuple sur cette voie! Les conséquences risqueraient d’être plus dommageables que la salvation.
Il y a plus urgent/important que faire la chasse aux (petits)sorciers! Après avoir mangé le fruit de l’arbre qui permettait d’identifier le bien et le mal, Le Créateur a tout simplement demandé à Adam et Eve de travailler dur pour gagner leur pain quotidien. Quant à la prostitution et au concubinage, la chasse pourrait bien arranger les choses mais ne devrait pas commencer par les petites maisons de passe de Bwiza, Kamenge ou d’ailleurs. Elle devrait d’abord identifier les « gros bonnets » qui vont dans les hôtel de luxe.-
Hamwe Uburundi twogira abantu igihumbi nka Gacece vyoba birangiye isi yokubama. Nico gituma Yesu agiye kugaruka gutora abiwe hanyuma aturire abo bose bashigikiye ibibi bakongera bakabikora .
@ Original
Vous êtes un chrétien intégriste et dangereux. Vous ignorez surement que le Burundi est une République laïque et que tous les Burundais ne sont pas des chrétiens! Vous avez le droit de croire à tout ce que vous voulez mais la religion ne doit d’aucune façon teinter les décisions des agents de l’État! Ce que font deux adultes dans leur intimité ne regarde personne d’autre! C’est si difficile que ça à comprendre ? Les policiers devraient se concentrer sur des cas de sollicitation sur la voie publique ou lorsqu’il y a plainte. Mais qui a le droit de me dire si je peux ou non avoir des relations sexuelles avec la personne de mon choix et qui deviendra peut-être ma femme ou mon mari ? Pourquoi diantre je devrais demander à la fille qui me plaît si elle est mariée ou non ? Ce qu’elle fait ne regarde qu’elle. Mariage ne signifie pas « possession de l’autre ». Chacun garde sa liberté de choix. Finalement, ce n’est pas pour rien que nous sommes les derniers au monde…quant au développement humain, on n’est pas sorti du bois.
Courage mon frère !!!
@ Original
J’espère que vous avez compris nos commentaires.
J’ai entendu mais je ne suis pas ici pour mener une discussion inutile . Si tu me le permets , sur la terre nous avons deux groupes de gens: les croyants et les incrédules ou incroyants . Tu peux te choisir toi même dans lequel tu voudrais appartenir . Il s’agit du jeu du libre arbitre . C’est la démocratie non ?
@Original
Nk’uko nkunda kubibwira abanzi, Yesu canke Yezu ni yaza, na jewe azobimbwira kuko nanje ndi umwana w’Imana n’aho ugomba kunkumira.
Ibijanye n’ibibi navyo, umuntu umwe wese ni we amenya ubwiwe ico yita ikibi n’ico yita iciza.
Wosimbira hanze gatoyi ugashika mu gihugu c’i Buraya citwa Hollande (Pays-Bas), wosanga ko vyemerewe kugura urumogi nk’uko woba uriko uragura agatasi k’icayi canke k’ikawa. Kandi birarekuriwe no kwigurira umukobwa mukamarana umwanya mushatse. Birakorwa ku mugaragaro kandi nta n’umwe babibuza, yaba umu Hollandais canke uwundi ahagendeye. Ko batarasha none?
Ivyo babitanguye kuva kera ariko sindumva bangahe Yesu wawe yoba amaze guturira. Ivyo bibi biri mu mutwe wawe hamwe no mu wo ababikwigishije.
Umuntu akuze nta n’umwe afise uburenganzira bwo kumubohera ku mugabo canke ku mugore atagikunda canke atagishaka, canke atakimukunda canke atakimushaka. Ico ni co coba ari ikibi.
Yezu ni hagera ko aza azobitumenyesha twese. Si wewe azotuma kubitubwira.
Woba uturushije iki wewe gushika aho yobibwira wewe wenyene hamwe n’abo musangiye idini?
Imana nticagura abo ikunda n’abo idakunda, ikunda abana bayo bose.
Toi aussi bon courage !!!
mbega nikuki badakurikirana abo bica bakiba abanyagihugu. egome ubusambanyi si bwiza, nihabe itegeko ribibuza, urirenzeko ahanwe niryo tegeko badacaguye. haba kuri banyarucari canke kuri abo bategetsi nyene kuko ivyo bakorera abakenyezi babandi ngo nuko ari umutegetsi namayobera.ariko, ntaco ivyo vyose babikora kugira bibe abanyagihugu, ariko bizoteba bibaherane abarundi bacubwenge bareke guhendwa ngu umuhutu canke umututsi. ubu dukeneye kwigisha iterambere nurukundo mubarundi.
Ni mugwe hiyo iyo mana yabazungu musenga niyo basogokuruza basenga imbere ko baja mu bu coloni? Abanya africa turi ibibijuju ndakurahiye uwo yezu muvuga nta numwe aramubona muga umupfungakiwani wese ariyadukiza ngo yesu ibi canke biriya mbe ko ba pastori bama bambara neza abakirisu bashonje?mwarimuzi ko umwirabure yabaye umukirisu numuja icarimwe kumbura mukanure mureke kuba ibijuju mukundane mwubahirize abandi mureke kwitwaza ivyo binyoma vyama dini nosiguye vyinshi muga nta mwanya nikibanza mfise ngaha kwari kubarya akara
Faut il en rire ou en pleurer.
Non en pleurer.On est un pays laic mais maintenant tout discours officiel commence par des prieres.
L integrisme mele avec la corruption donne un melange explosif
… « tout discours officiel commence par des prieres ».
Je sais de bonne source que ce tintouin pharisaïque, ça l’ennuie prodigieusement, ce Dieu que la Présidence voudrait annexer.
JerryCan, banni en cours de récréation. Jean-Pierre, vous avez le bonjour d’Alfred.
@Gacece
« La prostitution, c’est quand il y a monnayage de services sexuels; la pédophilie, c’est quand il y a monnayage ou pas de services sexuels impliquant au moins une personne mineure et une autre adulte. Ceux-là sont des actes criminels et ils doivent être combattus. »
En s’attaquant au plus vieux métier du monde on risque de se casser les dents. Ce n’est pas par hasard que ce métier a eu autant de longévité!
La pédophilie ou abus sur mineurs par contre, reste un cas à part à combattre avec énergie!
@Moral
Voulez-vous sous-entendre qu’il faudrait qu’on légalise la prostitution? Je ne crois pas que les Barundi aient atteint un niveau suffisant d’évolution pour se le permettre sans provoquer une certaine rupture dans les moeurs et la cohésion sociale.
L’adultère!!!!!! la moitié des burundais irait en prison….Notre Peter national aurait dû construire des prisons à la place des stades de football!!!!
On peut dire que l’Etat n’a plus les moyens de payer ses policiers, du coup on octroi à la police le permis d’arnaquer en contournant les lois tout simplement. Il n y a pas si longtemps, c’était la chasse au mini-jupe, aujourd’hui c’est ça, et demain peut être ils vont demander à tous les burundais d’être à l’église chaque dimanche matin, je pense qu’il y a beaucoup des similitudes avec DAESH.
Cela n’a peut-être rien à voir, mais je trouve ridicule qu’un gouvernement qui fuit le tribunal international se mette à la chasse des prostituées. Un politicien véreux n’est-il pas plus dangereux qu’une prostituée ?
« Ils vont à l’encontre de la dignité humaine et des valeurs burundaises. On ne peut pas les tolérer, il faut les décourager, les faire disparaître. »
Est-ce une blague ou une idée farfelue comme on en voit de plus en plus chez nos hommes de pouvoir, qui, ne sachant rien nous proposer pour notre développement économique, cherchent à nous distraire par des bêtises?
Bien dit!
bien dit mon frere
Entre adultes consentants, il ne devrait y avoir aucun mal. Il ne faut pas transformer la lutte contre la prostitution et la pédophilie en chasse aux sorcières non plus.
La prostitution, c’est quand il y a monnayage de services sexuels; la pédophilie, c’est quand il y a monnayage ou pas de services sexuels impliquant au moins une personne mineure et une autre adulte. Ceux-là sont des actes criminels et ils doivent être combattus.
Mais quand deux personnes adultes, mariés ou pas mariés l’une ou l’autre, décident d’avoir une aventure ensemble, la police n’a rien à faire et ne devrait pas s’immiscer dans une affaire (ou une relation) qui ne les concerne pas.
Si la personne mariée qui décide d’avoir une relation extra-conjugale parvient à la dissimuler à son époux ou épouse, pourquoi la police devrait-elle s’en mêler?
Et même si celui ou celle qui est trompé le découvre, c’est à lui ou à elle d’entamer les démarches pour y faire suite. Pas à la police, ni aux autorités, s’il n’y a eu aucune demande de la personne qui s’estime lésée. Les démarches peuvent inclure une procédure de divorce (qui devrait être un droit), une consultation d’un ou des conseillers familiaux, sociaux, religieux ou psychologues,.., ou tout simplement la résignation/laisser-aller (laisser son époux ou épouse continuer comme si de rien n’était).
Quand on s’attaque aux relations de personnes à personnes, on risque de mener un combat perdu d’avance parce qu’on s’attaque à l’essence même de la liberté d’expression et d’association, peu importe la nature de la relation. C’est une ligne très mince sur laquelle on essaie de danser… ou marcher.
Don’t mess with that!
« entre adultes consentants »
Comme on parle d’adultère, il y a au moins trois adultes en jeu. Deux sont – selon toute probabilité – consentants, mais ils n’ont en général pas demandé leur avis aux partenaires légaux.
On ne peut pas dire qu’il n’y a aucun mal, mals les causes et suites de l’adultère relèvent plutôt du conseiller conjugal que du tribunal, qu’on ne devrait impliquer qu’en dernier ressort.
Quand au racket de la police dénoncé dans l’article, il est sans doute justifié par la rigueur des temps …
JerryCan
@roger crettol
Moi je me suis juste limité aux deux seuls qui sont « consentants ». Le ou la troisième ne peut être invoqué(e) que quand il ou elle découvre que son ou sa partenaire légale le trompe.
Si un mari trompe sa femme avec une autre et que personne ne découvre rien, il est où ton problème? On ne peut pas interdire à quelqu’un les personnes avec qui il doit ou ne doit pas avoir de relation. C’est pour cela que les divorces existent légalement.
Et puis, deux célibataires adultes (fiancés ou pas) peuvent avoir une relation consentie, et un copain peut tromper sa copine. La question de la légalité ou de la légitimité de l’un par rapport à l’autre dans la relation ne se pose même pas dans ce dernier cas.
Je vous invite à pousser votre raisonnement encore un peu plus loin.
L’adultère se définit traditionnellement comme « violation du serment de fidélité conjugale ». Selon cette définition, pour qu’il y ait adultère, un des partenaires au moins doit être marié.
Personnellement, je n’ai pas de problème, mais votre expression » et que personne ne découvre rien » indique qu’il s’agit d’une démarche qui comporte un risque, et qui pourrait affecter, selon le cas, des personnes innocentes – les enfants. A chacun d’agir selon sa conscience.
On le voit venir l’intégrisme religieux. Personne, absolument personne ne doit s’ingérer dans une relation humaine, quelque que soit sa nature entre deux adultes consentants. Sous la République, il y a plusieurs croyances, religieuses ou pas. Tout le monde doit être respecté là-dedans. Il y a des athées et il faut les respecter aussi. Il y a même des pays où la prostitution est légale et ils ne se portent pas pire que le Burundi, au contraire. C’est vrai que le Burundi « profond » ou mieux « hypocrite » n’est probablement pas prêt à ça. Par contre, tout le monde a droit à une sexualité récréative. Et l’intimité de tous les Burundais et étrangers vivant au Burundi doit absolument être respectée. Sous d’autres cieux, ces policiers qui violent l’intimité des gens finiraient en prison.
Bientôt on nous dira quand et comment avoir nos rapports intimes avec nos femmes! Honteux.
@roger crettol
Cacher une relation peut avoir plusieurs motivations dont entre autres : protection de sa vie privée, éviter que la relation soit sabotée par d’autres prétendants, des ennemis ou des jaloux, protéger l’autre relation existante dans le cas de mariage ou d’existence d’autres partenaires (certainEs femmes/hommes peuvent avoir plusieurs femmes « à côté » en même temps), en attendant le moment opportun pour l’annoncer,…
Le devoir des parents envers leurs enfants exige que ces derniers n’aient pas à souffrir des hauts et bas qui pourraient survenir dans la relation entre leurs parents. Mais j’avoue que c’est plus facile à dire qu’à faire. Certains agissant sans « cette conscience » dont vous parlez.
Quant à l’adultère, c’est un péché religieux qui n’a rien à voir avec l’aspect légal d’une relation extra-conjugale. Les moeurs et les traditions évoluent. Si certainEs religions-Etats interdisent toute relation sexuelle avant le mariage, d’autres (parfois les mêmes) autorisent la polygamie. Et d’autres bannissent la polygamie tout en fermant les yeux sur les relations copain-copine, allant même aux triangles amoureux.
Tout cela pour simplement dire qu’une loi juste devrait permettre à chacun de nouer et de dénouer ses relations (incluant le mariage, le divorce, le concubinage,…) avec qui il veut, quand il veut!
Par contre, si l’État ne permet pas la polygamie, se marier une seconde fois (à ne pas confondre avec avoir un amant ou une maîtresse) sans avoir divorcé ne devrait pas être autorisé. Et si une femme ou un mari découvre que son époux ou épouse le (la) trompe, entamer des procédures légales (divorce, consultation, séparation…) pour mettre fin à la situation devrait être un droit inaliénable.
J’espère que cela a été un peu plus constructif.
Pas grand’chose à ajouter …
L’article parle d’adultère; ce n’est pas moi qui ai introduit le terme dans la discussion.
Quant à l’intégrisme religieux – ou avez-vous lu une condamnation des adultes « adultères » dans mes commentaires ? J’ai simplement attiré l’attention sur le fait que des enfants – s’il y en a – pourraient pâtir des conséquences de cette liaison extra-conjugale.
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Mes convictions religieuses … s’il faut en parler, je dirais qu’elles ont très mal résisté aux tirbulations d’une vie un peu cahotique. Des « adultères » anciens – quelques générations avant moi – et répétés ont laissé des traces diverses dans la descendance.
L’héritage n’est pas qu’une question de biens matériels. Cet héritage laisse à ma génération et celle de mes enfants la tâche de nous confronter à nos propres manquements et de renforcer nos relations.
Pour tenter d’éviter de nouveaux drames à la génération montante …
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Cette discussion des questions d’héritage – pour personnelle et déplacée qu’elle puisse être – est pour moi également liée aux problèmes que les crises répétées ont provoqués au Burundi et qu’un processus de Vérité et Réconciliation pourrait permettre d’aborder de manière constructive et, finalement, apaisante.
Amen.