La disparition de notre ami Eddy Sinzinkayo nous laisse sans voix. Sidérés.
Comment trouver des mots pour évoquer Eddy ? Difficile…
Un garçon brillant depuis le lycée Vugizo. Une licence en économie décrochée avec brio. Eddy avait une intelligence naturelle, spontanée.
Eddy, un gars simple. Ouvert. Toujours disponible. Souriant . Engagé. Généreux. Debout pour les droits.
Eddy… Difficile de trouver les mots.
Nos pensées vont vers sa famille, ses enfants. RIP ami.
Mes sinceres condoleances à sa famille. La mort d’Eddy est tombé comme une bombe, inattendue et ca a frappé tout le monde, la famille, les ami (es) le collegues. Personne ne peut imaginer qu’Eddy n’est plus de ce monde. Que son ame repose en paix eternelle et Que dieu tout puissant fortifie sa famille en ces moments de dures epreuves. Ce n’est qu’un aurevoir cher Eddy.We will meet again
Je connais en personne Antoine Kaburahe depuis son enfance comme écolier à Gitega pour avoir été un camarade de classe de son grand frère Charles.
Que Antoine soit à la tête de la quintessence de l’éthique de la plume du Journal Iwacu, à mon humble avis, rien ne m’étonne. Je ne trouve pas les mots de la langue pour décrire son esprit unitariste et même Voltaire aurait toutes les peines du monde à exhiber mon sentiment d’admiration à l’endroit du patron du Journal Iwacu.
Et pour clore mon pauvre français englouti tout au moins par les nouvelles langues dans lesquelles mon nouveau sort m’engouffre tel l’américain mais pas synonyme de l’anglais,
je terminerais en écrivant que Antoine reflète l’Ethique de l’enseignement des disciplines de Saint Ignace de Loyola, les Pères Jésuites et dont il a bénéficié par la grâce de Dieu au Collège du Saint-Esprit de Bujumbura, Burundi.
Des suites d’une maladie? ? Je le connais chez son pere colonel sinzinkayo