Maximilien Nshimayezu, son directeur Général, indique que cette organisation a été mise en place, en mai 2011, dans le but d’appuyer et de promouvoir les opérateurs économiques indépendants. <doc3271|left>« Lorsqu’un opérateur indépendant ou un des siens tombe malade, non seulement la production diminue, mais aussi toutes ses économies sont liquidées jusqu’à à entamer même le capital », fait remarquer Maximilien Nshimayezu. D’autres clients sont d’après lui, les transporteurs des biens et des personnes, les travailleurs de petites et moyennes entreprises, le personnel des écoles privées non assurées, les domestiques, … Afin de donner l’opportunité à ses affiliés de choisir le type d’assurance qu’ils préfèrent en fonction de leurs capacités financières, Maximilien Nshimayezu signale qu’on a scindé la clientèle en quatre catégories : A, B, C et D. A chacune, indique-t-il, correspond un seuil de cotisation mensuelle et un genre de traitement. Pour être affilié à la mutualité Solis, une demande doit être formulée par l’intéressé ou alors par son employeur (en cas de travailleur d’une entreprise). Ensuite, ajoute-t-il, il faut payer les frais d’adhésion en fonction du type d’assurance choisi : « La mutualité Solis offre un livret d’adhésion dans lequel doit figurer l’identité de l’affilié et celle de ses ayants droit (conjointe et trois enfants de moins de 18 ans). Les prestations prises en charge sont entre autres les consultations curatives, la vaccination, les soins infirmiers, les consultations pré et post natales, les accouchements simples, les analyses de base, le transport du village, les actes chirurgicaux et médicaux, la maternité dystocique, les examens et analyses de laboratoire, l’imagerie médicale, les médicaments et kits chirurgicaux, les soins dentaires hors prothèses. Elle collabore avec des structures médicales locales. _____ <doc3272|center> _____