Plus d’une année après l’incendie du marché central de Bujumbura, le marché de Cotebu est sur le point d’ouvrir. La cellule de crise n’attende que la clôture des travaux de finissage pour fixer les critères de sélection pour avoir un stand.
La ruelle autour du marché de Cotebu est déjà achevée. A l’intérieur, les constructions sont presque terminées. Des ouvriers sont en train d’assembler des tôles pour les souder et fabriquer des gouttières. Les compartiments pour les commerçants sont déjà délimités et numérotés. Les petites voies entre les hangars sont pavées pour faciliter la circulation.
« Nous sommes en plein travaux de finissage », affirme Candide Kazatsa, porte-parole de la mairie. Le marquage au sol pour délimiter les stands, la fabrication des gouttières, l’installation des bacs à ordures et les guérites pour les militaires en charge de la sécurité. « Dès la fin des travaux, nous allons ouvrir le marché, mais nous ne pouvons pas préciser le jour exact », fait savoir Mme Kazatsa. Elle explique que les travaux de finissage ont été retardés parce que le marché n’était pas encore alimenté en électricité pour certains travaux. De plus, la mairie a été obligée de demander à la Mutec (microfinance) un crédit de 100 millions de Fbu pour les travaux de finissage. « Cette somme n’était pas prévue dans notre budget », note-t-elle. Et d’ajouter aussitôt : « Aujourd’hui, le marché est fourni en courant électrique. Nous sommes persuadés que les travaux vont se terminer très vite. » Les places disponibles atteignent les 2.500.
Melchior Simbaruhije, porte-parole à la 2ème Vice-présidence, indique que les commerçants recensés au marché central de Bujumbura étaient au nombre de 5600. En 1994, rappelle-t-il, le marché comptait un peu plus de 2000 commerçants. L’argent utilisé s’élève à plus ou moins 1 milliard et demi. Cette somme est venue des partenaires, de l’Etat et de la population. Signalons que le 2ème Vice-président est le président de la cellule de crise chargée de la gestion et du suivi de tous les travaux. Ceux-ci ont commencé un mois après l’incendie du marché central de Bujumbura, qui s’est déclaré le 27 janvier 2013. M. Simbaruhije signale que les critères de sélection seront établis après les travaux par la cellule de crise.
… « Le marquage au sol pour délimiter les stands…. », ntimumbwire ko bazorekura abantu bakubaka des stands en bois ou meme des kiosk!! uko koba ari ugusubiza mw’ihumbi abantu kuko avec des kiosks en bois bamwe baturira amasoko baba boroherejwe. Ni nde yombwira ko isoko yo mu Ruvumera ikingiwe bihagije?? Constructions modernes au contours, des stands et kioks en bois à l’intérieur!!!!!!!!! Abazokorera kuri cotbebu, baraba barasenga hakiri kare.
Mwubake hanyuma musubire muturire kubera kutamenya icarico respect et protection de la chose publique. Aho wosanga isoko yahiye ata leçon nimwe de sécurité mwakuyemwo.
Kazoza we! C’est vraiment trop bas pour un nom qui incarne l’avenir! D’un nom « Kazoza », on aurait dû attendre mieux dont espoirs et encouragements.
Nibahez ningoga kuva aho bahendey abantu ngo barahejej. Isoko bari bavuzeko izokwubakwa muri 3mois ubu hakaba haheze 1.5ans c’est une honte pour notre pays pour ca manque d’organisation
Espérons qu’il ouvrira bientôt.
A chaque matin que je quittais mon lit pour aller en ville, je me disais que j’allais croiser des commerçants et ceux qui vont faire leurs achats au « Marché-COTEBU »! Enfin, cette fois le rêve va se réaliser.