Ce bilan, auquel s’ajoutent cinq distilleries fermées, est donné par le procureur général près la Cour d’Appel de Bujumbura. C’était ce mardi 10 septembre.
Selon cette autorité, la commission chargée de l’opération doit se réunir pour décider sur la suite à donner à tout un stock de produits se trouvant dans les usines scellées par le parquet général. Ce sont notamment les flacons non encore utilisés ou des liqueurs encore en fermentation dans des fûts au moment de la fermeture de ces usines.
Une précision, pourtant : les policiers de la sécurité publique rencontrés au chef-lieu de la commune Kinama ce dimanche précisent que seules sont interdites les liqueurs emballées dans des sachets, raison pour laquelle ils ne s’en prennent pas aux boutiquiers.
Elie Niyongabo, procureur général de Bujumbura et président de la commission chargée de l’opération de destruction de ces produits désormais prohibés donne un éclairage : « La campagne se poursuivra jusqu’à ce qu’aucun flacon en plastique ne soit plus trouvable dans une boutique de Bujumbura. »
Jusqu’à présent, les indiens propriétaires des distilleries fermées font la tête basse. Mais des hommes de lois estiment que passé le moment de bouleversement suite à l’émotion causée par une perte sèche évaluée en termes de centaines de millions de francs burundais, ces opérateurs économiques expatriés tenteront à coup sûr de se lancer dans un baroud d’honneur judiciaire contre l’État burundais.
La campagne en cours sur tout le territoire du pays fait suite à la décision N° 750/1103/2013 portant interdiction d’importation, de fabrication et de commercialisation des liqueurs emballées en sachet et bouteille plastique.
Hi! Frankly ,I appreciate the decision to put an end to the production of those toxic drinks. However, I think that those factories got the authorization before they starting running their production. If so, the ones who have to make such decision have to analyze all legal aspects and follow the required procedures in order to avoid losing trial in a case of the government is charged, hopefully they did. I would also suggest to extend the ban to the selling and consummation of alcohol to under 21years old. Also, to ban the driving to any driver who has drunk.
None ga Zelectron,
Au moment d’installer ces distilleries, qu’est ce qui était convenu?
Quels sont les manquements qu’on reproche aux distilleries?
Pourquoi est-ce que le journaliste donne une information non complète.
En répondant à mon commentaire, pourquoi n’éclairez-vous pas l’opinion?
Ntaco mfise nobivugako, mugabo reka turindire ingaruka y’izo ngingo zifatwa giturumbuka tutazi icinyegeje inyuma. None uwo mu porokireri ko yize amategeko ntazotubwira iyo biva n’iyo bija? Niyirambire.
C’est une bne décision à encourager! Félicition cher procureur et autres. Peut être que bcp d déga causés par xa vont diminuer.
Ico gikorwa ni ciza gose, ni murondere aho zose ziri kuko ni ukudandaza ubumara.
I do agree with the banning of the plastic packaging and bottles, but i am also of the opinion that the Government would have given them some times to get rid of their stocks, prior to completly stopping its prduction.
In the otherside the same decree should also put a stop on the Brarudi beer, such as; Amstel, Primus and so on.
Mpebentwenge « République bananière » c’est toi qui es bananier dans la tête none barazemereye bakabona harico vyonona bice biguma gurtyo? erega la loi/l’agrément ni dynamique.
c’est pas mal ça.
Pourriez vous nous detailer la chaine d’approvisionnement et de production.
None ces indiens se sont installés au Burundi sans autorisation?
Quelle république bananière?
Félicitations! C´est une bonne decision. Il en va de la santé de la population. Que ces indiens ou autres asiatiquent aillent les vendre ailleurs et chez-eux. Ils cherchent les clients (malades) pour leurs hôpitaux en Inde en fabriquant des liqueurs sans laboratoire d´analyse et des clients pour leurs médicaments fabriqués ou reconditionnés dans leurs garages et dépôts.
Si on les laisse produire ces poisons, pourquoi ne pas produire et vendre publiquement « Rutuku, Kanyanga, umunanasi, etc.?
Bravo au Procureur , Bravo au Ministre de la Santé, au Ministre de la Justice et celui du Commerce ! Nos autorités au plus haut niveau doivent continuer à prendre la question au sérieux , sinon notre peuple et surtout notre jeunesse est en danger !
Pour information à Jean, les autres pays ont déjà chassé ces boissons et le Burundi avait été choisi comme dépotoir !!
je suis pour la destruction de ces boissons alcoolisees , bravo a cette personne qui a pris l’initiative de sauver quelques ames , et ces Indiens ou asiatiques muvuga ngo bazokwitarira uburundi ca c’est trop rigolant comment donner raison quelqu un qui amene du poison au Bdi ; est ce que vous pensez que chez eux ils osent monter ces industries de liquefaction ? il faut pas jouer avec la sante de toute une population , je me fatigue pas pour penser comment ils ont eu les autorisations aupres du gvt Bdi ………………..on sait comment ca se passe….oohhh traites dirigeant africains prets a sacrifier toute leur population pour des miettes , pour revenir apres quemander les voix aupres de ces meme pauvres paysans aux urnes , qui vivra verra !