« Cette promesse faite au Secrétaire général des Nations unies est donc à prendre avec des réserves car, depuis le début de cette crise, Bujumbura tient rarement sa parole», a réagi Jérémie Minani, porte-parole du Cnared, ce mardi 23 février. C’est suite à la déclaration de Ban Ki-Moon à la presse, ce mardi matin, que le président Nkurunziza a promis la libération de 2.000 prisonniers et un dialogue inclusif.
D’après M.Minani, l’opposition attend des actes concrets et pas de simples paroles. Par ailleurs, a-t-il rappelé, ce dialogue doit se tenir en dehors du Burundi sous une médiation internationale.
Concernant la libération des prisonniers, il est important de se souvenir, insiste-t-il, que ces personnes derrière les barreaux sont des innocents. Et de déclarer : « Cette promesse semble manquer de sens car, au moment où le régime promet de libérer ces prisonniers, ses agents continuent d’arrêter arbitrairement des dizaines d’innocents».
Mahoro, la loi de la jungle, ne conviendraient pas. Le Burundi et les burundais sont independants depuis plus de cinquante ans. C’est vraiment dommage qu’ils y aient encore des burundais qui pensent comme toi, ngo : « uwo ntashaka apfe canke azimangane » !!!! pour une bonne gouvernance, seule la dignite des dirigeants prime.
Ico Nkurunziza nabo bamushigikiye bomenya, ni uko yaba bari mu kuri, mu mategeko, igihugu kiba gitekanye, nabo nyene baba batekaniwe. Birababaje kubona umuntu yatwaye igihugu imyaka icumi, akaba ariwe yisubiriye, hanyuma igihugu kigatemba abona. Equipe yiwe nayo, ntawuzi ico yayishimye canke igituma ari abo yahisemwo, kuko ntitubona ico bamwungura. Kuva Uburundi bubaho, nta chao nkiyo bwari bwigere bubamwo. Eka na Africa yose nta gihugu kirashikirwa n’ibiri mu Burundi ubu. Amaraso y’abarundi aguma aseseka ngo bariko barwanya, bahonya abadashigikiye ikiringo ca gatatu. Mu kwerekana ko yarakwiye kubandanya atwara, ko ico kiringo yari agikwiye, ni uko, yari gushira imbere ibiteza imbere abarundi bose, amahoro kuri bose n’umwumvikano, ntiyari gushira igihugu mu ntambara, abarundi akabafata mu mirwi kandi igihugu ari kimwe.. N’abamurwanya yari guheza akaronka ingene abibamenyesha, akabibumvisha mu mahoro. None biteye ison n’agahinda. Ariko ineza niyo yama isumba inabi. Iyumvire neza.
Abarundi mwibagira ningoga ???
Chers tous,
Il faut que nos positions évoluent pour permettre à notre patrie de redémarrer….
Le pays a besoin d’une opposition qui propose des choses réalistes et non une opposition qui s’oppose pour s’opposer. En relisant les commentaires du directeur adjoint de cabinet de son excellence Léonard Nyangoma, M. Niyonkuru Anicet, ce dernier précise que parmi les 4 responsables des partis politiques rencontrés par Ban-Ki M., deux sont du CNARED à savoir Léonce Ngendakumana et Nditije. Mais alors qui retient les autres membres de ce CRARED à l’étranger? Il faut qu’ils rentrent – puisque d’autres membres vivent au pays- pour participer au dialogue inclusif à l’intérieur du pays….Parler de négociation sous la médiation internationale veut dire agenda caché dans ce cas.
Puisse Jérémie Minani, être un gars humble, humaniste, et non mégalo!
Moi je ne comprend pas le CNARED ni ses positions. Vous chantez négociations tout le temps mais on ne peut pas discuter avec un sourd muet. Vous êtes les seuls à ignorer que Bujumbura ne négociera jamais et vous nous casser les oreilles à longueur de journée avec ce mot négociation qui n’est pas dans l’académie de la littérature DD.
Le CENARED et l’opposition radicale finiront par agacer; car en face, le pouvoir légitime et reconnu internationalement, qu’on le veuille ou non, fait plusieurs pas en avant, alors que cette opposition hétéroclite et apparemment sans unité ni projet viable, ne propose rien de réaliste.
Mr. Nyambere il me semble que vous voulez jeter la responsabilité la crise au Burundi sur le l’opposition! Ils doivent être vigilants, ils ne doivent pas céder aux bobards du pouvoir. Le responsable de la crise au Burundi, c’est bien Mr. Nkurunziza et lui seul !! Dire qu’il est légitime c’est vous qui le dites, et peut être d’autres comme vous qui ignore comment il a confisqué le pouvoir, je n’y reviens pas. Il est parti prenante au conflit, c’est ne pas à lui de choisir qui participe à la négociation et qui ne participe pas? Donc la tache de choir les parties aux renégociations revient aux médiateurs.
Mr MUHIMA, et où ce que tu met le rôle du peuple qui a voté majoritairement pour NKURUNZIZA?
lLes choses ne sont pas faciles que ç a, et le médiateur doit tenir compte de cette paramètre!
Tu es un mauvais leader. Pour toi, quand tu seras president tu vas laisser les gens qui vont lancer les grenades se promener partout et faire du n’importe quoi. Ca c’est une insulte au peuple burundais que tu veux servir.
Mr. Pepe, il faut lier le fait a la causalité ! Savez-vous « La loi du talion »? Il s’agit de » œil pour œil, dent pour dent » Si Nkurunziza et ses escadrons de la mort n’avait pas choisie de massacrer les manifestants et les jeunes des cartiers contestataires, le torture et autres actes dégradants, les choses n’auraient pas tournées à la dérive !! La férocité de la police et Imbonerakure vis a vis des contestataires a fini par la création des groupes d’autodéfense, et ainsi leurs bourreaux doivent payer de la même monnaie = » œil pour œil, dent pour dent » . Mr. Pepe Lorsqu’on se trouve face à un lion, inutile de raisonner trop longtemps, il faut vite choisir entre le combat et la fuite. A forcer de massacrer vos compatriotes ils ont choisie de se battre et peu importe le moyen.
Battez vous alors!
Vous parlez de se défendre en lançant des grenades au centre ville où des simples citoyens luttent pour la survie en vaquant à leurs activités quotidiennes ?
N’importe quoi !
Avant d’exercer la politique, tu choisis une des trois: collaborer avec le pouvoir; fuir ou la mort
Certains Burundais sont déterminés à détruire leur pays. Pensent-ils à leur postérité? Ils savent que leurs prétendues revendications ne pourront nullement prospérer et ce, en tout état de cause.
La Burundi a un président irréfutablement légitime. Ce n’est pas en chantant sur tous les toits que Nkurunziza est un président illégitime et conséquemment n’est pas président qu’il ne le soit pas en fait et en droit d’une part et qu’il ne soit pas reconnu comme tel par les maîtres du monde et l’ONU d’autre part.
Au lieu d’offrir au monde un spectacle quotidien pitoyable et décevant, qu’ils se réorganisent pour préparer un projet politique crédible qu’ils présenteront au Peuple Burundais dans moins de cinq ans. S’ils sont crédibles comme ils le prétendent, ils gagneront l’élection présidentielle.
D’emblée, en allant demander l’aide à un président tyrannique pour détruire leur pays et tuer les pauvres gens ainsi que les policiers, ces gens se sont eux-mêmes discrédités. Ils ont fait preuve de leur incapacité de diriger leur pays. Comment peuvent se livrer à la commission de crimes ou soutenir les auteurs de crimes contre les Burundais, leurs compatriotes et les policiers et prétendre avoir un dessein pour le pays c’est-à-dire ceux-là même qu’ils tuent froidement, indifféremment d’âge et de sexe? Comment les gens qui prétendent avoir un projet pour le Burundi peuvent-ils venir ici au Rwanda demander à Kagame, un tyran sanguinaire notoire, de les aider à détruire leur pays ? Ils font une confusion entre le Burundi et le président Nkurunziza. Le Burundi vient du fond des âges. Il est éternel. Les trois premiers présidents burundais ont commis des crimes abominables contre leurs concitoyens Hutu. Que sont-ils devenus ? Ont-ils réduit les Hutu à la proportion qu’ils avaient établie ? Quel intérêt à court, moyen et log terme ont-ils à détruire des vies humaines et leur pays ? Que le Plus Haut ait pitié d’eux.